Dès 7 ans
Linda veut du poulet !
2023 - France - Durée : 1h 16minDe Sébastien Laudenbach, Chiara Malta
Avec Mélinée Leclerc, Clotilde Hesme, Laetitia Dosch, Estéban, Patrick Pineau, Claudine Acs, Jean-Marie Fonbonne, Milan Cerisier
Avec Mélinée Leclerc, Clotilde Hesme, Laetitia...
Blue Giant
2024 - Japon - Durée : 2h 00minDe Yuzuru Tachikawa
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama, Yusuke Kondoh, Mirei Suda, Kenji Nomura, Hiroki Touchi, Yutaka Aoyama, Masayuki Katô, Sayaka Kinoshita, Hidenobu Kiuchi, Gou Shinomiya, Shinya Takahashi, Hiroki Touchi
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama,...
Blue Giant
2024 - Japon - Durée : 2h 00minDe Yuzuru Tachikawa
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama, Yusuke Kondoh, Mirei Suda, Kenji Nomura, Hiroki Touchi, Yutaka Aoyama, Masayuki Katô, Sayaka Kinoshita, Hidenobu Kiuchi, Gou Shinomiya, Shinya Takahashi, Hiroki Touchi
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama,...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
Blue Giant
2024 - Japon - Durée : 2h 00minDe Yuzuru Tachikawa
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama, Yusuke Kondoh, Mirei Suda, Kenji Nomura, Hiroki Touchi, Yutaka Aoyama, Masayuki Katô, Sayaka Kinoshita, Hidenobu Kiuchi, Gou Shinomiya, Shinya Takahashi, Hiroki Touchi
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama,...
Chien de la casse
2023 - France - Durée : 1h 33minDe Jean-Baptiste Durand
Avec Anthony Bajon, Raphaël Quenard, Galatéa Bellugi, Dominique Reymond, Bernard Blancan, Nathan Le Graciet, Mélanie Martinez, Mike Reilles, Mathieu Amilien, Evelina Pitti, Kader Bouallaga, Marysole Fertard
Avec Anthony Bajon, Raphaël Quenard, Galatéa...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
Blue Giant
2024 - Japon - Durée : 2h 00minDe Yuzuru Tachikawa
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama, Yusuke Kondoh, Mirei Suda, Kenji Nomura, Hiroki Touchi, Yutaka Aoyama, Masayuki Katô, Sayaka Kinoshita, Hidenobu Kiuchi, Gou Shinomiya, Shinya Takahashi, Hiroki Touchi
Avec Yuki Yamada, Shotaro Mamiya, Amane Okayama,...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
La Nouvelle femme
2024 - France - Durée : 1h 39minDe Léa Todorov
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura Borelli, Agathe Bonitzer, Pietro Ragusa, Leïla Bekhti, Emily Di Ronza, Rafaëlle Sonneville-Caby, Nancy Huston, Sébastien Pouderoux
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
La Nouvelle femme
2024 - France - Durée : 1h 39minDe Léa Todorov
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura Borelli, Agathe Bonitzer, Pietro Ragusa, Leïla Bekhti, Emily Di Ronza, Rafaëlle Sonneville-Caby, Nancy Huston, Sébastien Pouderoux
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura...
La Nouvelle femme
2024 - France - Durée : 1h 39minDe Léa Todorov
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura Borelli, Agathe Bonitzer, Pietro Ragusa, Leïla Bekhti, Emily Di Ronza, Rafaëlle Sonneville-Caby, Nancy Huston, Sébastien Pouderoux
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
Smoke Sauna Sisterhood
2024 - Estonie - Durée : 1h 29minDe Anna Hints
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, Marianne Liiv, Eva Kübar, Liis Kuresoo, Eda Veeroja, Maria Aasa, Merit Kask, Leno Kuura, Kerttu Kuslap, Sandra Lepik, Signe Mallö, Kaarin Parts
Avec Kadi Kivilo, Maria Meresaar, Elsa Saks, ...
La Nouvelle femme
2024 - France - Durée : 1h 39minDe Léa Todorov
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura Borelli, Agathe Bonitzer, Pietro Ragusa, Leïla Bekhti, Emily Di Ronza, Rafaëlle Sonneville-Caby, Nancy Huston, Sébastien Pouderoux
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura...
La Nouvelle femme
2024 - France - Durée : 1h 39minDe Léa Todorov
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura Borelli, Agathe Bonitzer, Pietro Ragusa, Leïla Bekhti, Emily Di Ronza, Rafaëlle Sonneville-Caby, Nancy Huston, Sébastien Pouderoux
Avec Jasmine Trinca, Raffaele Esposito, Laura...
Inchallah un fils
2024 - Jordanie / France - Durée : 1h 53minDe Amjad Al Rasheed
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, Mohammad Al Jizawi, Eslam Al-Awadi, Haitham Omari, Seleena Rababah, Serene Huleileh, Mohammad Suleiman, Siranoush Sultanian
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, ...
Inchallah un fils
2024 - Jordanie / France - Durée : 1h 53minDe Amjad Al Rasheed
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, Mohammad Al Jizawi, Eslam Al-Awadi, Haitham Omari, Seleena Rababah, Serene Huleileh, Mohammad Suleiman, Siranoush Sultanian
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, ...
Inchallah un fils
2024 - Jordanie / France - Durée : 1h 53minDe Amjad Al Rasheed
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, Mohammad Al Jizawi, Eslam Al-Awadi, Haitham Omari, Seleena Rababah, Serene Huleileh, Mohammad Suleiman, Siranoush Sultanian
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, ...
Inchallah un fils
2024 - Jordanie / France - Durée : 1h 53minDe Amjad Al Rasheed
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, Mohammad Al Jizawi, Eslam Al-Awadi, Haitham Omari, Seleena Rababah, Serene Huleileh, Mohammad Suleiman, Siranoush Sultanian
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, ...
Inchallah un fils
2024 - Jordanie / France - Durée : 1h 53minDe Amjad Al Rasheed
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, Mohammad Al Jizawi, Eslam Al-Awadi, Haitham Omari, Seleena Rababah, Serene Huleileh, Mohammad Suleiman, Siranoush Sultanian
Avec Mouna Hawa, Salwa Nakkara, Yumna Marwan, ...
Tous les films du mercredi 13 au mardi 19 (semaine 202411)
DANS LE CADRE DU FESTIVAL TELERAMA
L’espèce humaine est frappée par un mal étrange qui pousse certains à se transformer en animal. Alors que sa mère est contaminée, Louis et son père s’élancent à sa recherche en s’enfonçant dans une forêt désormais interdite…
L’auteur des Combattants signe une fable fantastique et écologique. Étonnamment drôle, le cinéaste insuffle un questionnement sur notre rejet de la différence et la déshumanisation qu’elle engendre.
Hansel et Gretel, Poucette, Blanche-Neige... Ces histoires sont bien connues, mais gagnent une poésie et une beauté nouvelles quand Lotte Reiniger, grande pionnière du cinéma d’animation, s’en empare pour en restituer, sur grand écran, toute la magie !
Découvrez quatre contes par la grande inspiratrice de Michel Ocelot !
Puisqu'il y en aura bientôt un peu partout en France, il faut donc apprendre à « vivre avec les loups ». Dans une démarche constructive et pragmatique, le réalisateur nous amène à percevoir différemment la nature qui nous entoure et les animaux qui l’habitent. Après La Vallée des loups et Marche avec les loups, Jean-Michel Bertrand nous entraîne à nouveau dans des réflexions naturalistes et philosophiques sur la nature avec son style inimitable.
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
L'idée aurait pu venir de Perec. En visite dans un immeuble, un homme voit se dessiner, à travers l'architecture du bâtiment, la carte de ses amours perdues.
Hong Sang-Soo revient à l'une de ses thématiques préférées : le jeu sur les temporalités pour reconstituer la vie sentimentale de ses personnages. Le prolifique cinéaste signe une nouvelle fable sur les intermittences du coeur, émouvante de bout en bout.
Dans la réserve de Pine Ridge, une jeune policière croule sous le travail, tandis que sa nièce s’élance dans un voyage en quête de réponses…
Énigmatique, l’intrigue d’Eureka l’est assurément. Mais il suffit, comme Sadie, de se laisser prendre au vol dans ce périple entre le temps et l’espace, en terres autochtones. C’est là que se niche toute la beauté de ce film onirique, dont l'étrange poésie rappelle celle d'Apitchapong Weerasethakul.
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
Deux jolies contrebandières décident de se livrer une guerre sans merci quand elles découvrent partager le même amant.
Filmant avec joie cette curieuse cavale à travers les Alpes du Sud, Luc Moullet nous donne à voir une aventure étrange, qui nous laisse rêveur.se bien après son visionnage !
Les séances du film seront précédées du court métrage "RIEN A SAUVER" (4')
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
En janvier, le Luxy a fait appel à des cinéastes ivryen.nes pour proposer des courts métrages en lien avec la journée de lutte internationale des droits des femmes et la ville d'Ivry : un défi relevé avec brio ! Rendez-vous donc le samedi 16 mars à partir de 18h pour une projection exceptionnelle des projets récoltés, en entrée libre ! Et en deuxième partie de soirée, à 19h30, la Cata Roller Derby et l'USI Roller Derby se joindront à nous pour une séance du film de Drew Barrymore : Bliss !
Une séance en entrée libre !
DANS LE CADRE DU FESTIVAL TELERAMA
« Je suis innocent », martèle Pierre Goldman à son deuxième procès. Il reconnaît l’adolescence turbulente, les aspirations révolutionnaires, les petits braquages. Mais avec les meurtres dont on l’accuse, il ne veut rien avoir à faire. Et se défendra pied à pied, avec son avocat Georges Kiejman, pour lutter contre ce « complot policier » qui lui aurait valu d’être accusé.
On entre dans cette salle d’audience pour en ressortir médusé, autant par la complexité du personnage titre que par l’habileté avec laquelle
Cédric Kahn nous fait vivre l’intensité de ce procès, qui, au-delà du destin d’un homme, interroge toute la société française des années 70 : héritage de la guerre, idéaux de la résistance, désillusions de la révolution, mais aussi antisémitisme et racisme d’un monde englué dans ses préjugés, qui éclatent au grand jour lors de ce procès palpitant.
Bliss Cavendar veut échapper à sa petite ville perdue du Texas et à sa mère qui est convaincue que sa seule chance de réussir dans la vie est de gagner les concours de beauté locaux. Mais Bliss rêve d'autre chose… Elle découvre le Roller Derby, et rejoint en secret une équipe à Austin !
Dans le cadre du festival Best of doc
Robert vit avec Doris, sa seconde épouse. Son premier mariage avait pris fin à la promulgation d'une loi de « classification », catégorisant soudain Robert comme « métis » et sa femme et ses enfants comme « blancs ». Confrontant l'absurdité du régime de l’apartheid au lien puissant qui unit Robert et Doris, Yolande Zauberman réalise tout autant un puissant film sur le racisme qu'un film d’amour absolument bouleversant.
Une mère voit disparaître ses deux filles aînées, parties rejoindre Daesch. Une réalisatrice lui propose de rejouer ce drame intime, accompagnée de ses deux filles cadettes et de deux actrices.
Voilà le pari fou que lance Kaouther Ben Hania, qui parvient ici à délivrer une œuvre unique et d’une force étonnante : l’artificialité assumée, loin de plomber le discours, nous plonge ici pleinement dans une mise en scène cathartique qui laisse transparaître la violence d’un traumatisme tristement banal au sein de la société tunisienne
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
DANS LE CADRE DU FESTIVAL TELERAMA
L’espèce humaine est frappée par un mal étrange qui pousse certains à se transformer en animal. Alors que sa mère est contaminée, Louis et son père s’élancent à sa recherche en s’enfonçant dans une forêt désormais interdite…
L’auteur des Combattants signe une fable fantastique et écologique. Étonnamment drôle, le cinéaste insuffle un questionnement sur notre rejet de la différence et la déshumanisation qu’elle engendre.
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Petite salle
Hansel et Gretel, Poucette, Blanche-Neige... Ces histoires sont bien connues, mais gagnent une poésie et une beauté nouvelles quand Lotte Reiniger, grande pionnière du cinéma d’animation, s’en empare pour en restituer, sur grand écran, toute la magie !
Découvrez quatre contes par la grande inspiratrice de Michel Ocelot !
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Grande salle
Puisqu'il y en aura bientôt un peu partout en France, il faut donc apprendre à « vivre avec les loups ». Dans une démarche constructive et pragmatique, le réalisateur nous amène à percevoir différemment la nature qui nous entoure et les animaux qui l’habitent. Après La Vallée des loups et Marche avec les loups, Jean-Michel Bertrand nous entraîne à nouveau dans des réflexions naturalistes et philosophiques sur la nature avec son style inimitable.
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Grande salle / Version SME sur demande
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
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Petite salle
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Grande salle
L'idée aurait pu venir de Perec. En visite dans un immeuble, un homme voit se dessiner, à travers l'architecture du bâtiment, la carte de ses amours perdues.
Hong Sang-Soo revient à l'une de ses thématiques préférées : le jeu sur les temporalités pour reconstituer la vie sentimentale de ses personnages. Le prolifique cinéaste signe une nouvelle fable sur les intermittences du coeur, émouvante de bout en bout.
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Petite salle
Dans la réserve de Pine Ridge, une jeune policière croule sous le travail, tandis que sa nièce s’élance dans un voyage en quête de réponses…
Énigmatique, l’intrigue d’Eureka l’est assurément. Mais il suffit, comme Sadie, de se laisser prendre au vol dans ce périple entre le temps et l’espace, en terres autochtones. C’est là que se niche toute la beauté de ce film onirique, dont l'étrange poésie rappelle celle d'Apitchapong Weerasethakul.
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Petite salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
vo
Petite salle
Dans la réserve de Pine Ridge, une jeune policière croule sous le travail, tandis que sa nièce s’élance dans un voyage en quête de réponses…
Énigmatique, l’intrigue d’Eureka l’est assurément. Mais il suffit, comme Sadie, de se laisser prendre au vol dans ce périple entre le temps et l’espace, en terres autochtones. C’est là que se niche toute la beauté de ce film onirique, dont l'étrange poésie rappelle celle d'Apitchapong Weerasethakul.
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Grande salle
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Petite salle
L'idée aurait pu venir de Perec. En visite dans un immeuble, un homme voit se dessiner, à travers l'architecture du bâtiment, la carte de ses amours perdues.
Hong Sang-Soo revient à l'une de ses thématiques préférées : le jeu sur les temporalités pour reconstituer la vie sentimentale de ses personnages. Le prolifique cinéaste signe une nouvelle fable sur les intermittences du coeur, émouvante de bout en bout.
vo
Grande salle
Dans la réserve de Pine Ridge, une jeune policière croule sous le travail, tandis que sa nièce s’élance dans un voyage en quête de réponses…
Énigmatique, l’intrigue d’Eureka l’est assurément. Mais il suffit, comme Sadie, de se laisser prendre au vol dans ce périple entre le temps et l’espace, en terres autochtones. C’est là que se niche toute la beauté de ce film onirique, dont l'étrange poésie rappelle celle d'Apitchapong Weerasethakul.
Deux jolies contrebandières décident de se livrer une guerre sans merci quand elles découvrent partager le même amant.
Filmant avec joie cette curieuse cavale à travers les Alpes du Sud, Luc Moullet nous donne à voir une aventure étrange, qui nous laisse rêveur.se bien après son visionnage !
Les séances du film seront précédées du court métrage "RIEN A SAUVER" (4')
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Grande salle
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Petite salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Petite salle
En janvier, le Luxy a fait appel à des cinéastes ivryen.nes pour proposer des courts métrages en lien avec la journée de lutte internationale des droits des femmes et la ville d'Ivry : un défi relevé avec brio ! Rendez-vous donc le samedi 16 mars à partir de 18h pour une projection exceptionnelle des projets récoltés, en entrée libre ! Et en deuxième partie de soirée, à 19h30, la Cata Roller Derby et l'USI Roller Derby se joindront à nous pour une séance du film de Drew Barrymore : Bliss !
Une séance en entrée libre !
DANS LE CADRE DU FESTIVAL TELERAMA
« Je suis innocent », martèle Pierre Goldman à son deuxième procès. Il reconnaît l’adolescence turbulente, les aspirations révolutionnaires, les petits braquages. Mais avec les meurtres dont on l’accuse, il ne veut rien avoir à faire. Et se défendra pied à pied, avec son avocat Georges Kiejman, pour lutter contre ce « complot policier » qui lui aurait valu d’être accusé.
On entre dans cette salle d’audience pour en ressortir médusé, autant par la complexité du personnage titre que par l’habileté avec laquelle
Cédric Kahn nous fait vivre l’intensité de ce procès, qui, au-delà du destin d’un homme, interroge toute la société française des années 70 : héritage de la guerre, idéaux de la résistance, désillusions de la révolution, mais aussi antisémitisme et racisme d’un monde englué dans ses préjugés, qui éclatent au grand jour lors de ce procès palpitant.
vo
Grande salle
Dans la réserve de Pine Ridge, une jeune policière croule sous le travail, tandis que sa nièce s’élance dans un voyage en quête de réponses…
Énigmatique, l’intrigue d’Eureka l’est assurément. Mais il suffit, comme Sadie, de se laisser prendre au vol dans ce périple entre le temps et l’espace, en terres autochtones. C’est là que se niche toute la beauté de ce film onirique, dont l'étrange poésie rappelle celle d'Apitchapong Weerasethakul.
vo
Petite salle
Hansel et Gretel, Poucette, Blanche-Neige... Ces histoires sont bien connues, mais gagnent une poésie et une beauté nouvelles quand Lotte Reiniger, grande pionnière du cinéma d’animation, s’en empare pour en restituer, sur grand écran, toute la magie !
Découvrez quatre contes par la grande inspiratrice de Michel Ocelot !
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Grande salle
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Petite salle
Bliss Cavendar veut échapper à sa petite ville perdue du Texas et à sa mère qui est convaincue que sa seule chance de réussir dans la vie est de gagner les concours de beauté locaux. Mais Bliss rêve d'autre chose… Elle découvre le Roller Derby, et rejoint en secret une équipe à Austin !
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Petite salle
Puisqu'il y en aura bientôt un peu partout en France, il faut donc apprendre à « vivre avec les loups ». Dans une démarche constructive et pragmatique, le réalisateur nous amène à percevoir différemment la nature qui nous entoure et les animaux qui l’habitent. Après La Vallée des loups et Marche avec les loups, Jean-Michel Bertrand nous entraîne à nouveau dans des réflexions naturalistes et philosophiques sur la nature avec son style inimitable.
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Grande salle / version SME sur demande
Hansel et Gretel, Poucette, Blanche-Neige... Ces histoires sont bien connues, mais gagnent une poésie et une beauté nouvelles quand Lotte Reiniger, grande pionnière du cinéma d’animation, s’en empare pour en restituer, sur grand écran, toute la magie !
Découvrez quatre contes par la grande inspiratrice de Michel Ocelot !
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Petite salle
L'idée aurait pu venir de Perec. En visite dans un immeuble, un homme voit se dessiner, à travers l'architecture du bâtiment, la carte de ses amours perdues.
Hong Sang-Soo revient à l'une de ses thématiques préférées : le jeu sur les temporalités pour reconstituer la vie sentimentale de ses personnages. Le prolifique cinéaste signe une nouvelle fable sur les intermittences du coeur, émouvante de bout en bout.
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Petite salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Deux jolies contrebandières décident de se livrer une guerre sans merci quand elles découvrent partager le même amant.
Filmant avec joie cette curieuse cavale à travers les Alpes du Sud, Luc Moullet nous donne à voir une aventure étrange, qui nous laisse rêveur.se bien après son visionnage !
Les séances du film seront précédées du court métrage "RIEN A SAUVER" (4')
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Petite salle
Dans le cadre du festival Best of doc
Robert vit avec Doris, sa seconde épouse. Son premier mariage avait pris fin à la promulgation d'une loi de « classification », catégorisant soudain Robert comme « métis » et sa femme et ses enfants comme « blancs ». Confrontant l'absurdité du régime de l’apartheid au lien puissant qui unit Robert et Doris, Yolande Zauberman réalise tout autant un puissant film sur le racisme qu'un film d’amour absolument bouleversant.
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Petite salle
Une mère voit disparaître ses deux filles aînées, parties rejoindre Daesch. Une réalisatrice lui propose de rejouer ce drame intime, accompagnée de ses deux filles cadettes et de deux actrices.
Voilà le pari fou que lance Kaouther Ben Hania, qui parvient ici à délivrer une œuvre unique et d’une force étonnante : l’artificialité assumée, loin de plomber le discours, nous plonge ici pleinement dans une mise en scène cathartique qui laisse transparaître la violence d’un traumatisme tristement banal au sein de la société tunisienne
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Grande salle
Dans la réserve de Pine Ridge, une jeune policière croule sous le travail, tandis que sa nièce s’élance dans un voyage en quête de réponses…
Énigmatique, l’intrigue d’Eureka l’est assurément. Mais il suffit, comme Sadie, de se laisser prendre au vol dans ce périple entre le temps et l’espace, en terres autochtones. C’est là que se niche toute la beauté de ce film onirique, dont l'étrange poésie rappelle celle d'Apitchapong Weerasethakul.
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Grande salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Petite salle
L'idée aurait pu venir de Perec. En visite dans un immeuble, un homme voit se dessiner, à travers l'architecture du bâtiment, la carte de ses amours perdues.
Hong Sang-Soo revient à l'une de ses thématiques préférées : le jeu sur les temporalités pour reconstituer la vie sentimentale de ses personnages. Le prolifique cinéaste signe une nouvelle fable sur les intermittences du coeur, émouvante de bout en bout.
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Grande salle
L'idée aurait pu venir de Perec. En visite dans un immeuble, un homme voit se dessiner, à travers l'architecture du bâtiment, la carte de ses amours perdues.
Hong Sang-Soo revient à l'une de ses thématiques préférées : le jeu sur les temporalités pour reconstituer la vie sentimentale de ses personnages. Le prolifique cinéaste signe une nouvelle fable sur les intermittences du coeur, émouvante de bout en bout.
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Petite salle
On devait déjà à Terence Davies un très beau portrait de la poétesse Emily Dickinson, où le feu couvait en permanence sous la glace, et où les conventions ne parvenaient pas à étouffer l’amour de la poésie. Cet amour est partagé par le poète Siegfried Sassoon, personnage éponyme de ces Carnets de Siegfried.
Disparu en 2023, Terence Davies prouve une dernière fois dans ce film posthume sa très fine observation de l’Angleterre du XXe siècle et ses évolutions, particulièrement dans les rapports de classes. Il fait de son poète le témoin douloureux de mondes qui disparaissent les uns après les autres, livrant un film aussi intime qu’émouvant sur le temps qui passe.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "HÔTEL NUIT NOIRE" (7') :
- Mercredi 6 à 20h
- Vendredi 8 à 20h
- Samedi 9 à 20h45
- Dimanche 10 à 16h45
- Lundi 11 à 17h30
- Mardi 12 à 20h15
- Jeudi 14 à 20h
- Dimanche 17 à 20h
- Lundi 18 à 20h
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Grande salle
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Tous les films du mercredi 20 au mardi 26 (semaine 202412)
La mère de Linda l’a accusée à tort d’avoir volé sa bague ! Pour se faire pardonner, elle propose à sa fille de lui cuisiner un poulet aux poivrons. Mais c’est jour de grève, et il n’est pas si facile de mettre la main sur le poulet !
Très ancré dans le monde contemporain, ce film émerveille par son mélange de réalisme et de poésie : chacun des personnages a par exemple sa propre couleur, révélatrice d’une personnalité et d’un caractère unique. Le cheminement drôle et décalé de Linda et de sa mère va leur permettre de se retrouver et d’avancer ensemble vers la vie.
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
La vie du jeune Dai Miyamoto change lorsqu'il découvre le jazz et arrive à convaincre le talentueux pianiste Yukinori de monter un groupe. Au fil des concerts, il se rapproche de son but : se produire au So Blue, le club de jazz le plus célèbre du Japon.
Le réalisateur nous embarque avec frénésie dans le milieu du jazz en adaptant le manga de Shinichi Ishizuka. La bande originale a été composée par la pianiste Hiromi Uehara !
Découvrez trois contes inspirés de légendes persanes, racontés
avec des morceaux de tissu, du papier découpé... Le cinéma
rencontre les arts plastiques !
Chèvres, poissons et autres animaux seront au rendez-vous
pour faire rêver petits et grands, au détour d’histoires colorées
et inventives !
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
Une école allemande est victime d’une série de vols. Après de nombreux entretiens avec les élèves et pour enrayer le climat de délation, une jeune enseignante décide de placer une caméra pour découvrir l’identité du coupable.
Ilker Çatak nous entraîne dans ce thriller haletant, où les idéaux d’une jeune femme se referment sur elle tel un terrible piège. Un questionnement sur notre rapport au bien et au mal, dans un film à la tension permanente.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "THE GOODBYE PLACE" (8'48) :
- Vendredi 22 à 18h
- Dimanche 24 à 21h15
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
Sandra est écrivaine, et a l’habitude de choisir ses mots avec soin. Mais cette fois, l’enjeu est terrible, puisque cette mère de famille est accusée d’avoir assassiné son mari.
Avec Victoria, Justine Triet avait déjà filmé un procès, sur le mode comique, puisqu’un chien était convoqué comme témoin principal de l’affaire. Cette fois, la problématique judiciaire occupe une grande part du film, et devient le moyen de décortiquer le fonctionnement d’un couple, à travers le personnage d’une femme hésitante, qui ne maîtrise ni les codes du procès ni la langue de ses interrogateurs.
Un éblouissant film de procès, aussi implacable que palpitant, où la vérité et le mensonge ne cessent de s’entremêler, révélant les noirceurs de l’âme humaine.
1996. Le journaliste Gary Webb découvre une possible implication du gouvernement américain dans un trafic de cocaïne, en lien avec le Nicaragua. Déterminé, il se lance dans une enquête dont il est loin de mesurer les conséquences. Un film trépidant, dans la lignée des Hommes du Président ou de Spotlight !
Qui d’autre que Luc Moullet pour tourner, en 1971, un western complètement fou en Haute-Provence, avec l’icône de la Nouvelle Vague, Jean-Pierre Léaud, dans le rôle principal ?
Et qui mieux que son auteur pour en parler : « Ce qui choque le plus, c’était le mélange de western, de comique pur, de parodie et d’émotion liée aux sentiments amoureux des personnages et à l’intensité de la musique pop. »
Chantal Akerman filme le New York des années 70, son tintamarre comme son ennui. Sur ce décor abstrait, la cinéaste livre aussi son intimité : sa voix nous porte tandis qu'elle lit les lettres envoyées à sa mère en Belgique.
Une carte blanche organisée dans le cadre de l'exposition La Huaca pleure de Louidgi Beltrame, à voir au Crédac jusqu'au 31 mars.
La justice restaurative propose une médiation entre des personnes victimes d’un crime et des inculpés. Un moment pour parler, face à face, des conséquences qu’un acte peut parfois avoir sur une vie.
Dans l’émouvant "Pupille", Jeanne Herry avait déjà prouvé son art de faire le portrait de multiples personnages, unis par une expérience commune. La récit et l’échange sont au cœur de ce nouveau film, qui interroge sans manichéisme les trajectoires de chacun. "Je verrai toujours vos visages"émeut par sa sensibilité et l’espoir qu’il place dans le pouvoir libérateur de la parole.
Rémi Chayé propose ici un récit d’aventure au féminin dans
ce western qui se déroule dans les grandes plaines de l'Ouest.
Calamity ne rêve que de galoper et de conduire des chariots,
sans se soucier de jupons ou de travaux ménagers. Mais en
1863, rien n’autorise les femmes à occuper cette place !
La petite fille devra réinventer sa propre destinée, faisant fi
des préjugés et des attentes des autres. Et elle prouvera à
tous et toutes qu'elle saura parfaitement devenir, non pas un
« garçon manqué » mais une « fille réussie ».
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
Mirales et Dog sont inséparables, amis depuis toujours. Mirales fier d’être lettré, est pourtant le premier à rabrouer son compagnon, bien plus taciturne et timide. Mais quand Dog le délaisse pour Elsa, Mirales voit son monde s’écrouler.
"Chien de la casse" nous plonge dans le quotidien, un peu morne, un peu endormi, d’un petit village du sud de la France, où chacun se connaît, et où la nouveauté est rare. Auscultant le rapport aussi fusionnel que toxique entre ces deux amis si différents, il raconte une douloureuse sortie de l’enfance et une émancipation mutuelle.
La mère de Linda l’a accusée à tort d’avoir volé sa bague ! Pour se faire pardonner, elle propose à sa fille de lui cuisiner un poulet aux poivrons. Mais c’est jour de grève, et il n’est pas si facile de mettre la main sur le poulet !
Très ancré dans le monde contemporain, ce film émerveille par son mélange de réalisme et de poésie : chacun des personnages a par exemple sa propre couleur, révélatrice d’une personnalité et d’un caractère unique. Le cheminement drôle et décalé de Linda et de sa mère va leur permettre de se retrouver et d’avancer ensemble vers la vie.
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Petite salle
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
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Grande salle
La vie du jeune Dai Miyamoto change lorsqu'il découvre le jazz et arrive à convaincre le talentueux pianiste Yukinori de monter un groupe. Au fil des concerts, il se rapproche de son but : se produire au So Blue, le club de jazz le plus célèbre du Japon.
Le réalisateur nous embarque avec frénésie dans le milieu du jazz en adaptant le manga de Shinichi Ishizuka. La bande originale a été composée par la pianiste Hiromi Uehara !
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Petite salle
Découvrez trois contes inspirés de légendes persanes, racontés
avec des morceaux de tissu, du papier découpé... Le cinéma
rencontre les arts plastiques !
Chèvres, poissons et autres animaux seront au rendez-vous
pour faire rêver petits et grands, au détour d’histoires colorées
et inventives !
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Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Une école allemande est victime d’une série de vols. Après de nombreux entretiens avec les élèves et pour enrayer le climat de délation, une jeune enseignante décide de placer une caméra pour découvrir l’identité du coupable.
Ilker Çatak nous entraîne dans ce thriller haletant, où les idéaux d’une jeune femme se referment sur elle tel un terrible piège. Un questionnement sur notre rapport au bien et au mal, dans un film à la tension permanente.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "THE GOODBYE PLACE" (8'48) :
- Vendredi 22 à 18h
- Dimanche 24 à 21h15
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Petite salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
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Petite salle
Sandra est écrivaine, et a l’habitude de choisir ses mots avec soin. Mais cette fois, l’enjeu est terrible, puisque cette mère de famille est accusée d’avoir assassiné son mari.
Avec Victoria, Justine Triet avait déjà filmé un procès, sur le mode comique, puisqu’un chien était convoqué comme témoin principal de l’affaire. Cette fois, la problématique judiciaire occupe une grande part du film, et devient le moyen de décortiquer le fonctionnement d’un couple, à travers le personnage d’une femme hésitante, qui ne maîtrise ni les codes du procès ni la langue de ses interrogateurs.
Un éblouissant film de procès, aussi implacable que palpitant, où la vérité et le mensonge ne cessent de s’entremêler, révélant les noirceurs de l’âme humaine.
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Petite salle
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
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Petite salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle
1996. Le journaliste Gary Webb découvre une possible implication du gouvernement américain dans un trafic de cocaïne, en lien avec le Nicaragua. Déterminé, il se lance dans une enquête dont il est loin de mesurer les conséquences. Un film trépidant, dans la lignée des Hommes du Président ou de Spotlight !
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Sandra est écrivaine, et a l’habitude de choisir ses mots avec soin. Mais cette fois, l’enjeu est terrible, puisque cette mère de famille est accusée d’avoir assassiné son mari.
Avec Victoria, Justine Triet avait déjà filmé un procès, sur le mode comique, puisqu’un chien était convoqué comme témoin principal de l’affaire. Cette fois, la problématique judiciaire occupe une grande part du film, et devient le moyen de décortiquer le fonctionnement d’un couple, à travers le personnage d’une femme hésitante, qui ne maîtrise ni les codes du procès ni la langue de ses interrogateurs.
Un éblouissant film de procès, aussi implacable que palpitant, où la vérité et le mensonge ne cessent de s’entremêler, révélant les noirceurs de l’âme humaine.
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Grande salle / Version SME sur demande
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
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Petite salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Une école allemande est victime d’une série de vols. Après de nombreux entretiens avec les élèves et pour enrayer le climat de délation, une jeune enseignante décide de placer une caméra pour découvrir l’identité du coupable.
Ilker Çatak nous entraîne dans ce thriller haletant, où les idéaux d’une jeune femme se referment sur elle tel un terrible piège. Un questionnement sur notre rapport au bien et au mal, dans un film à la tension permanente.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "THE GOODBYE PLACE" (8'48) :
- Vendredi 22 à 18h
- Dimanche 24 à 21h15
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Grande salle
Qui d’autre que Luc Moullet pour tourner, en 1971, un western complètement fou en Haute-Provence, avec l’icône de la Nouvelle Vague, Jean-Pierre Léaud, dans le rôle principal ?
Et qui mieux que son auteur pour en parler : « Ce qui choque le plus, c’était le mélange de western, de comique pur, de parodie et d’émotion liée aux sentiments amoureux des personnages et à l’intensité de la musique pop. »
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Petite salle
Chantal Akerman filme le New York des années 70, son tintamarre comme son ennui. Sur ce décor abstrait, la cinéaste livre aussi son intimité : sa voix nous porte tandis qu'elle lit les lettres envoyées à sa mère en Belgique.
Une carte blanche organisée dans le cadre de l'exposition La Huaca pleure de Louidgi Beltrame, à voir au Crédac jusqu'au 31 mars.
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Petite salle version SME sur demande
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
vo
Grande salle
Une école allemande est victime d’une série de vols. Après de nombreux entretiens avec les élèves et pour enrayer le climat de délation, une jeune enseignante décide de placer une caméra pour découvrir l’identité du coupable.
Ilker Çatak nous entraîne dans ce thriller haletant, où les idéaux d’une jeune femme se referment sur elle tel un terrible piège. Un questionnement sur notre rapport au bien et au mal, dans un film à la tension permanente.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "THE GOODBYE PLACE" (8'48) :
- Vendredi 22 à 18h
- Dimanche 24 à 21h15
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Petite salle
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
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Grande salle
Découvrez trois contes inspirés de légendes persanes, racontés
avec des morceaux de tissu, du papier découpé... Le cinéma
rencontre les arts plastiques !
Chèvres, poissons et autres animaux seront au rendez-vous
pour faire rêver petits et grands, au détour d’histoires colorées
et inventives !
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La vie du jeune Dai Miyamoto change lorsqu'il découvre le jazz et arrive à convaincre le talentueux pianiste Yukinori de monter un groupe. Au fil des concerts, il se rapproche de son but : se produire au So Blue, le club de jazz le plus célèbre du Japon.
Le réalisateur nous embarque avec frénésie dans le milieu du jazz en adaptant le manga de Shinichi Ishizuka. La bande originale a été composée par la pianiste Hiromi Uehara !
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle
La justice restaurative propose une médiation entre des personnes victimes d’un crime et des inculpés. Un moment pour parler, face à face, des conséquences qu’un acte peut parfois avoir sur une vie.
Dans l’émouvant "Pupille", Jeanne Herry avait déjà prouvé son art de faire le portrait de multiples personnages, unis par une expérience commune. La récit et l’échange sont au cœur de ce nouveau film, qui interroge sans manichéisme les trajectoires de chacun. "Je verrai toujours vos visages"émeut par sa sensibilité et l’espoir qu’il place dans le pouvoir libérateur de la parole.
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Petite salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Rémi Chayé propose ici un récit d’aventure au féminin dans
ce western qui se déroule dans les grandes plaines de l'Ouest.
Calamity ne rêve que de galoper et de conduire des chariots,
sans se soucier de jupons ou de travaux ménagers. Mais en
1863, rien n’autorise les femmes à occuper cette place !
La petite fille devra réinventer sa propre destinée, faisant fi
des préjugés et des attentes des autres. Et elle prouvera à
tous et toutes qu'elle saura parfaitement devenir, non pas un
« garçon manqué » mais une « fille réussie ».
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Petite salle
Qui d’autre que Luc Moullet pour tourner, en 1971, un western complètement fou en Haute-Provence, avec l’icône de la Nouvelle Vague, Jean-Pierre Léaud, dans le rôle principal ?
Et qui mieux que son auteur pour en parler : « Ce qui choque le plus, c’était le mélange de western, de comique pur, de parodie et d’émotion liée aux sentiments amoureux des personnages et à l’intensité de la musique pop. »
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Grande salle
La vie du jeune Dai Miyamoto change lorsqu'il découvre le jazz et arrive à convaincre le talentueux pianiste Yukinori de monter un groupe. Au fil des concerts, il se rapproche de son but : se produire au So Blue, le club de jazz le plus célèbre du Japon.
Le réalisateur nous embarque avec frénésie dans le milieu du jazz en adaptant le manga de Shinichi Ishizuka. La bande originale a été composée par la pianiste Hiromi Uehara !
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Petite salle
Une école allemande est victime d’une série de vols. Après de nombreux entretiens avec les élèves et pour enrayer le climat de délation, une jeune enseignante décide de placer une caméra pour découvrir l’identité du coupable.
Ilker Çatak nous entraîne dans ce thriller haletant, où les idéaux d’une jeune femme se referment sur elle tel un terrible piège. Un questionnement sur notre rapport au bien et au mal, dans un film à la tension permanente.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "THE GOODBYE PLACE" (8'48) :
- Vendredi 22 à 18h
- Dimanche 24 à 21h15
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Grande salle
Qui d’autre que Luc Moullet pour tourner, en 1971, un western complètement fou en Haute-Provence, avec l’icône de la Nouvelle Vague, Jean-Pierre Léaud, dans le rôle principal ?
Et qui mieux que son auteur pour en parler : « Ce qui choque le plus, c’était le mélange de western, de comique pur, de parodie et d’émotion liée aux sentiments amoureux des personnages et à l’intensité de la musique pop. »
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Petite salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle
Mirales et Dog sont inséparables, amis depuis toujours. Mirales fier d’être lettré, est pourtant le premier à rabrouer son compagnon, bien plus taciturne et timide. Mais quand Dog le délaisse pour Elsa, Mirales voit son monde s’écrouler.
"Chien de la casse" nous plonge dans le quotidien, un peu morne, un peu endormi, d’un petit village du sud de la France, où chacun se connaît, et où la nouveauté est rare. Auscultant le rapport aussi fusionnel que toxique entre ces deux amis si différents, il raconte une douloureuse sortie de l’enfance et une émancipation mutuelle.
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Petite salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
1969, en Guinée-Bissau. La guerre fait rage, entre les occupants portugais et les indépendantistes, que rejoint bientôt le jeune Nome.
S’inspirant de sa propre expérience, le réalisateur interroge la douloureuse histoire de son pays. Dans le gouffre de la guerre, bien des traditions et des manières de voir le monde se sont abîmées.
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Petite salle
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
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Grande salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle version SME sur demande
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
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Petite salle
La vie du jeune Dai Miyamoto change lorsqu'il découvre le jazz et arrive à convaincre le talentueux pianiste Yukinori de monter un groupe. Au fil des concerts, il se rapproche de son but : se produire au So Blue, le club de jazz le plus célèbre du Japon.
Le réalisateur nous embarque avec frénésie dans le milieu du jazz en adaptant le manga de Shinichi Ishizuka. La bande originale a été composée par la pianiste Hiromi Uehara !
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Petite salle
Téhéran, le levé du jour sur l’horizon. Des Iraniens et Iraniennes que rien ne relie dialoguent avec un interlocuteur invisible.
Voilà le point de départ des saynètes grinçantes d’Ali Asgari et Alireza Khatami, qui dressent un portrait acerbe de l’Iran contemporain et de
son gouvernement, qui n'est plus ici représenté que comme un quatrième) mur.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "GODZALINA" (4'55) :
- Mercredi 20 à 18h
- Jeudi 21 à 21h
- Samedi 23 à 21h15
- Dimanche 24 à 15h
- Lundi 25 à 18h30
Mardi 26 à 20h45
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Grande salle
Tous les films du mercredi 27 au mardi 02 (semaine 202413)
Avec ses Belles de nuit, Carole Wrona nous fait découvrir l'envers d'un décor, celui de la vie des courtisanes au XIXe siècle.
Découvrez le film en entrée libre à 19h, suivi d'une rencontre avec la réalisatrice, Carole Wrona.
Et restez à 20h45 pour La Nouvelle Femme, de Léa Todorov !
Une stakhanoviste de l’ANPE s’entiche d’un chômeur professionnel. Elle est bien décidée à lui trouver du travail, au grand dam de ce dernier.
On retrouve Luc Moullet, cinéaste de l’humour absurde et pince-sans-rire dans une comédie caustique sur le marché de l’emploi !
Une cruelle Renarde vole sa maison à un Lièvre, qui cherche
de l’aide. Un garçon secourt une Antilope magique, traquée par
un cruel Radjah...
Deux contes par deux maîtres de l’animation russe, qui nous
apprennent à ne pas nous fier aux apparences !
Partez pour un beau voyage, des forêts de Russie à la jungle
sauvage de l’Inde !
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
Pour ce premier long métrage, la réalisatrice emprunte aux codes du fantastique pour évoquer la vie d’une jeune fille malaisienne en pleine puberté. Zaffan, 12 ans, réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles.
Si le film dénonce les structures rigides qui régissent la vie des jeunes femmes il est surtout une parabole pour incarner le combat intime que les femmes livrent chaque jour pour embrasser leur indépendance. Un récit d’émancipation qui bouscule !
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "OUR UNIFORM" (7') :
- Mercredi 27 à 16h15
- Jeudi 28 à 18h15
- Samedi 30 à 20h30
- Mardi 2 à 20h15
Chili, une prison pour mineurs. Angel Franco purgent leur peine. Tout change avec l’arrivée de Jaime, qui va leur offrir la possibilité d’une évasion, mais à quel prix ?
La réalisatrice met en lumière avec empathie le quotidien des adolescents emprisonnés au Chili et questionne le drame réel qui a inspiré ce film.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "/IMAGINE" (2'06) :
- Jeudi 28 à 18h
- Samedi 30 à 19h
- Lundi 1er à 20h30
- Mardi 2 à 20h30
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
Dans La Nouvelle Femme, une courtisane et sa fille, atteinte d’un handicap mental, rencontrent une femme aux méthodes d’éducation novatrices : Maria Montessori.
Un jour, Anna questionne sa mère : pourquoi avoir choisi d’avoir un enfant seule ?
À partir de ses questionnements intimes, la réalisatrice ouvre une réflexion sur les thèmes du militantisme, de la mémoire et de la transmission. Alors que les images d’archives et les témoignages affluent, une idée émerge : celle que le cinéma, medium collectif, a toujours fait partie des luttes féministes, d’hier à aujourd’hui.
Les Tanukis vivaient autrefois en paix avec les humains. Mais un projet de construction menace leur forêt...Un chef d’oeuvre du cinéma d’animation, qui interroge avec humour et intelligence notre rapport à la nature.
Mao dirige une entreprise de palettes en banlieue parisienne. Il décide de construire une mosquée pour ces employés, mais ne consulte personne pour le choix de l’imam. Ce choix met le feu aux poudres, et les tensions larvées explosent soudain.
Rabah Ameur-Zaïmeche confirmait avec ce film qu’il était l’un des plus fins observateurs de la France contemporaine et des conflits qui l’animent. Au-delà d’une question religieuse, c’est bien du rapport de force dans le monde du travail dont il est ici question, dans le décor à la fois ouvert et fermé de ces palettes qu’inlassablement, on peint d’un rouge vif étouffant et sanglant.
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
Avec ses Belles de nuit, Carole Wrona nous fait découvrir l'envers d'un décor, celui de la vie des courtisanes au XIXe siècle.
Découvrez le film en entrée libre à 19h, suivi d'une rencontre avec la réalisatrice, Carole Wrona.
Et restez à 20h45 pour La Nouvelle Femme, de Léa Todorov !
Une stakhanoviste de l’ANPE s’entiche d’un chômeur professionnel. Elle est bien décidée à lui trouver du travail, au grand dam de ce dernier.
On retrouve Luc Moullet, cinéaste de l’humour absurde et pince-sans-rire dans une comédie caustique sur le marché de l’emploi !
vo
Grande salle
Une cruelle Renarde vole sa maison à un Lièvre, qui cherche
de l’aide. Un garçon secourt une Antilope magique, traquée par
un cruel Radjah...
Deux contes par deux maîtres de l’animation russe, qui nous
apprennent à ne pas nous fier aux apparences !
Partez pour un beau voyage, des forêts de Russie à la jungle
sauvage de l’Inde !
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Grande salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle version SME sur demande
Pour ce premier long métrage, la réalisatrice emprunte aux codes du fantastique pour évoquer la vie d’une jeune fille malaisienne en pleine puberté. Zaffan, 12 ans, réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles.
Si le film dénonce les structures rigides qui régissent la vie des jeunes femmes il est surtout une parabole pour incarner le combat intime que les femmes livrent chaque jour pour embrasser leur indépendance. Un récit d’émancipation qui bouscule !
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "OUR UNIFORM" (7') :
- Mercredi 27 à 16h15
- Jeudi 28 à 18h15
- Samedi 30 à 20h30
- Mardi 2 à 20h15
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Petite salle
Chili, une prison pour mineurs. Angel Franco purgent leur peine. Tout change avec l’arrivée de Jaime, qui va leur offrir la possibilité d’une évasion, mais à quel prix ?
La réalisatrice met en lumière avec empathie le quotidien des adolescents emprisonnés au Chili et questionne le drame réel qui a inspiré ce film.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "/IMAGINE" (2'06) :
- Jeudi 28 à 18h
- Samedi 30 à 19h
- Lundi 1er à 20h30
- Mardi 2 à 20h30
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Petite salle
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
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Petite salle
Dans La Nouvelle Femme, une courtisane et sa fille, atteinte d’un handicap mental, rencontrent une femme aux méthodes d’éducation novatrices : Maria Montessori.
Chili, une prison pour mineurs. Angel Franco purgent leur peine. Tout change avec l’arrivée de Jaime, qui va leur offrir la possibilité d’une évasion, mais à quel prix ?
La réalisatrice met en lumière avec empathie le quotidien des adolescents emprisonnés au Chili et questionne le drame réel qui a inspiré ce film.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "/IMAGINE" (2'06) :
- Jeudi 28 à 18h
- Samedi 30 à 19h
- Lundi 1er à 20h30
- Mardi 2 à 20h30
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Petite salle
Pour ce premier long métrage, la réalisatrice emprunte aux codes du fantastique pour évoquer la vie d’une jeune fille malaisienne en pleine puberté. Zaffan, 12 ans, réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles.
Si le film dénonce les structures rigides qui régissent la vie des jeunes femmes il est surtout une parabole pour incarner le combat intime que les femmes livrent chaque jour pour embrasser leur indépendance. Un récit d’émancipation qui bouscule !
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "OUR UNIFORM" (7') :
- Mercredi 27 à 16h15
- Jeudi 28 à 18h15
- Samedi 30 à 20h30
- Mardi 2 à 20h15
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Grande salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Petite salle
Une stakhanoviste de l’ANPE s’entiche d’un chômeur professionnel. Elle est bien décidée à lui trouver du travail, au grand dam de ce dernier.
On retrouve Luc Moullet, cinéaste de l’humour absurde et pince-sans-rire dans une comédie caustique sur le marché de l’emploi !
vo
Grande salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
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Grande salle
Un jour, Anna questionne sa mère : pourquoi avoir choisi d’avoir un enfant seule ?
À partir de ses questionnements intimes, la réalisatrice ouvre une réflexion sur les thèmes du militantisme, de la mémoire et de la transmission. Alors que les images d’archives et les témoignages affluent, une idée émerge : celle que le cinéma, medium collectif, a toujours fait partie des luttes féministes, d’hier à aujourd’hui.
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Petite salle
Les Tanukis vivaient autrefois en paix avec les humains. Mais un projet de construction menace leur forêt...Un chef d’oeuvre du cinéma d’animation, qui interroge avec humour et intelligence notre rapport à la nature.
Une cruelle Renarde vole sa maison à un Lièvre, qui cherche
de l’aide. Un garçon secourt une Antilope magique, traquée par
un cruel Radjah...
Deux contes par deux maîtres de l’animation russe, qui nous
apprennent à ne pas nous fier aux apparences !
Partez pour un beau voyage, des forêts de Russie à la jungle
sauvage de l’Inde !
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Grande salle
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
vo
Petite salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle version SME sur demande
Chili, une prison pour mineurs. Angel Franco purgent leur peine. Tout change avec l’arrivée de Jaime, qui va leur offrir la possibilité d’une évasion, mais à quel prix ?
La réalisatrice met en lumière avec empathie le quotidien des adolescents emprisonnés au Chili et questionne le drame réel qui a inspiré ce film.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "/IMAGINE" (2'06) :
- Jeudi 28 à 18h
- Samedi 30 à 19h
- Lundi 1er à 20h30
- Mardi 2 à 20h30
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Petite salle
Pour ce premier long métrage, la réalisatrice emprunte aux codes du fantastique pour évoquer la vie d’une jeune fille malaisienne en pleine puberté. Zaffan, 12 ans, réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles.
Si le film dénonce les structures rigides qui régissent la vie des jeunes femmes il est surtout une parabole pour incarner le combat intime que les femmes livrent chaque jour pour embrasser leur indépendance. Un récit d’émancipation qui bouscule !
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "OUR UNIFORM" (7') :
- Mercredi 27 à 16h15
- Jeudi 28 à 18h15
- Samedi 30 à 20h30
- Mardi 2 à 20h15
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Grande salle
Dans La Nouvelle Femme, une courtisane et sa fille, atteinte d’un handicap mental, rencontrent une femme aux méthodes d’éducation novatrices : Maria Montessori.
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Dans La Nouvelle Femme, une courtisane et sa fille, atteinte d’un handicap mental, rencontrent une femme aux méthodes d’éducation novatrices : Maria Montessori.
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Grande salle version SME sur demande
Une cruelle Renarde vole sa maison à un Lièvre, qui cherche
de l’aide. Un garçon secourt une Antilope magique, traquée par
un cruel Radjah...
Deux contes par deux maîtres de l’animation russe, qui nous
apprennent à ne pas nous fier aux apparences !
Partez pour un beau voyage, des forêts de Russie à la jungle
sauvage de l’Inde !
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Petite salle
Mao dirige une entreprise de palettes en banlieue parisienne. Il décide de construire une mosquée pour ces employés, mais ne consulte personne pour le choix de l’imam. Ce choix met le feu aux poudres, et les tensions larvées explosent soudain.
Rabah Ameur-Zaïmeche confirmait avec ce film qu’il était l’un des plus fins observateurs de la France contemporaine et des conflits qui l’animent. Au-delà d’une question religieuse, c’est bien du rapport de force dans le monde du travail dont il est ici question, dans le décor à la fois ouvert et fermé de ces palettes qu’inlassablement, on peint d’un rouge vif étouffant et sanglant.
Pour ce premier long métrage, la réalisatrice emprunte aux codes du fantastique pour évoquer la vie d’une jeune fille malaisienne en pleine puberté. Zaffan, 12 ans, réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles.
Si le film dénonce les structures rigides qui régissent la vie des jeunes femmes il est surtout une parabole pour incarner le combat intime que les femmes livrent chaque jour pour embrasser leur indépendance. Un récit d’émancipation qui bouscule !
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "OUR UNIFORM" (7') :
- Mercredi 27 à 16h15
- Jeudi 28 à 18h15
- Samedi 30 à 20h30
- Mardi 2 à 20h15
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Grande salle
Une stakhanoviste de l’ANPE s’entiche d’un chômeur professionnel. Elle est bien décidée à lui trouver du travail, au grand dam de ce dernier.
On retrouve Luc Moullet, cinéaste de l’humour absurde et pince-sans-rire dans une comédie caustique sur le marché de l’emploi !
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Grande salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Petite salle
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
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Grande salle
Une cruelle Renarde vole sa maison à un Lièvre, qui cherche
de l’aide. Un garçon secourt une Antilope magique, traquée par
un cruel Radjah...
Deux contes par deux maîtres de l’animation russe, qui nous
apprennent à ne pas nous fier aux apparences !
Partez pour un beau voyage, des forêts de Russie à la jungle
sauvage de l’Inde !
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Petite salle
Au coeur de l’hiver, des femmes de tout âge se rassemblent dans l’intimité enfumée d’un sauna. Là, elles prennent soin de leur corps, et parlent. De ce que c’est que de devenir une femme, de vivre dans des sociétés contraignantes, de découvrir son corps. Ces corps, Anna Hints les filme avec amour, montrant la beauté de chacun, dans leurs pleins et leurs creux, nimbés d’une lumière qui évoque la peinture de Rubens.
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Grande salle
Dans La Nouvelle Femme, une courtisane et sa fille, atteinte d’un handicap mental, rencontrent une femme aux méthodes d’éducation novatrices : Maria Montessori.
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Petite salle version SME sur demande
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle
Chili, une prison pour mineurs. Angel Franco purgent leur peine. Tout change avec l’arrivée de Jaime, qui va leur offrir la possibilité d’une évasion, mais à quel prix ?
La réalisatrice met en lumière avec empathie le quotidien des adolescents emprisonnés au Chili et questionne le drame réel qui a inspiré ce film.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "/IMAGINE" (2'06) :
- Jeudi 28 à 18h
- Samedi 30 à 19h
- Lundi 1er à 20h30
- Mardi 2 à 20h30
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Petite salle
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
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Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Grande salle
Dans La Nouvelle Femme, une courtisane et sa fille, atteinte d’un handicap mental, rencontrent une femme aux méthodes d’éducation novatrices : Maria Montessori.
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Petite salle
Pour ce premier long métrage, la réalisatrice emprunte aux codes du fantastique pour évoquer la vie d’une jeune fille malaisienne en pleine puberté. Zaffan, 12 ans, réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle lorsqu'une crise d'hystérie collective frappe l’école. La peur se répand et un médecin intervient pour chasser le démon qui hante les filles.
Si le film dénonce les structures rigides qui régissent la vie des jeunes femmes il est surtout une parabole pour incarner le combat intime que les femmes livrent chaque jour pour embrasser leur indépendance. Un récit d’émancipation qui bouscule !
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "OUR UNIFORM" (7') :
- Mercredi 27 à 16h15
- Jeudi 28 à 18h15
- Samedi 30 à 20h30
- Mardi 2 à 20h15
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Petite salle
Chili, une prison pour mineurs. Angel Franco purgent leur peine. Tout change avec l’arrivée de Jaime, qui va leur offrir la possibilité d’une évasion, mais à quel prix ?
La réalisatrice met en lumière avec empathie le quotidien des adolescents emprisonnés au Chili et questionne le drame réel qui a inspiré ce film.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage "/IMAGINE" (2'06) :
- Jeudi 28 à 18h
- Samedi 30 à 19h
- Lundi 1er à 20h30
- Mardi 2 à 20h30
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Grande salle
Tous les films du mercredi 03 au mardi 09 (semaine 202414)
Un jour, Asmae demande à sa mère de lui montrer des photos d’elle enfant. Mais elle n'en a pas. De ce petit événement, la cinéaste tire un questionnement : grâce à de petites marionnettes et une gigantesque maquette - un travail d’orfèvre - elle fait alors elle-même revivre les fantômes de son passé : ceux de sa famille, mais aussi ceux de son pays natal, le Maroc.
Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
Après trois années d’attente, qui auront semblées bien longues à beaucoup, nous revoilà plongé dans le plus célèbre désert du cinéma contemporain, le décor somptueux et inquiétant de Dune, avec ses précieuses épices et ses vers des sables.
Notre héros, Paul Paul Atreides, continue à porter la lourde responsabilité d’un pouvoir qu’il peine à contrôler tout en apprenant à devenir un meneur d’hommes, aidé par Chani. Entre vengeance, jeux politiques et passions bien humaines, le nouveau volet de la fresque signée Denis Villeneuve continue à s’affirmer comme un film d’action particulièrement efficace, un spectacle épique qui rappelle les grandes heures d’un certain cinéma hollywoodien.
Tout de blanc vêtue, une femme élégante rejoint un hôtel, perché dans la montagne. Là-bas, elle cherche quelqu’un, un homme…
On n’en dira pas plus, tant l’étonnant film de Maxime Rappaz joue sur l’opacité de ce personnage féminin, qui se dévoile peu à peu. Incarnée par une Jeanne Balibar de feu et de glace, Claudine, au débit si particulier, à l’élocution élégante, abrite en elle autant d’amour que de peur. Le charme du film tient alors à cette ligne claire, à la simplicité de son histoire, qui ne tient en rien du renoncement, mais plutôt de la croyance dans une possibilité de renouveau.
Sasha, adolescente vampire, n’a rien du caractère sanguinaire qui caractérise certains de ses pairs. Si elle a elle aussi besoin de boire du sang humain, elle répugne à tuer. Elle rencontre alors Paul, jeune homme au bout du rouleau, qui serait prêt à se sacrifier pour elle. A condition qu’elle l’aide à accomplir ses dernières volontés.
Voici un nouveau petit bijou venu du Canada ! Jouant avec tous les clichés, cette comédie à l’humour noir s’empare de tous les clichés autour des vampires pour dresser un portrait aussi sensible que mordant de l’adolescence.
Alvin Straight, vétéran sexagénaire, n’a pas parlé à son frère depuis dix ans. Lorsqu’il apprend que celui-ci a été victime d’une attaque, il décide de parcourir les routes pour le retrouver sur le seul moyen de locomotion dont il dispose : sa tondeuse à gazon !
Voilà une heureuse anomalie dans la filmographie de David Lynch : loin de ses univers cauchemardesques ou oniriques, il livre ici une histoire pleine d’une simple, belle et grande humanité.
À travers la lutte d'une mère au foyer qui se bat pour offrir un avenir meilleur à sa fille, Paola Cortellesi offre une relecture contemporaine des thématiques du néoréalisme italien, menée avec force dans un premier long métrage maîtrisé !
Dans un monde où humains et créatures surnaturelles coexistent, un jeune garçon solitaire se retrouve perdu dans le monde des bêtes après avoir fui sa famille. Il est accueilli par Kumatetsu, qui devient son mentor et fait de lui un guerrier. À travers sa superbe animation, le film raconte une belle histoire sur l’amitié et le fait de grandir. La relation tumultueuse entre ses personnages attachants offre tension, humour et émotions.
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
Dans le monde virtuel de U, chacun peut devenir ce qu’il désire. Cet endroit est un exutoire pour Suzu, adolescente timide. Mais l’équilibre de ce monde est rompu par l’arrivée d’une bête que les internautes veulent chasser.
Avec Belle, relecture de La Belle et la Bête, Hosoda s’attaque à un thème qui travaillait déjà son oeuvre : le rapport aux identités doubles et à l’animalité.
Paul Atreides est voué à connaître un destin hors du commun. Sur la planète désertique mais stratégique Arakis, il assiste son père, chargé par l’Empereur Shaddam IV, de superviser les récoltes d’Épice, la ressource la plus précieuse de l’univers. C’est là-bas, au coeur d’un conflit économique et politique, qu’il va commencer à prendre conscience de sa véritable identité.
Denis Villeneuve, en pleine période science-fiction après Premier Contact et Blade Runner 2049, propose une nouvelle adaptation du roman de Frank Herbert. Si, par son côté blockbuster américain, on retient surtout l’aspect spectaculaire du rendu visuel, il est aussi très tentant de voir Dune comme un prolongement de notre réalité, tant les parallèles avec le monde d’aujourd’hui semblent évident.
C’est la dernière usine à fabriquer du papier recyclé en France, et elle doit fermer ses portes. Mais trois délégués du personnel, représentants des 217 salariés, n’ont pas dit leur dernier mot…
"L'Usine, le bon, la brute et le truand" est un film de lutte, où chaque discussion est une partie d’échecs ou un combat, filmé au jour le jour par Marianne Lère Laffitte. On ressort haletants et exaltés de cette course contre la montre où se joue le destin de centaines de familles.
Un jour, Asmae demande à sa mère de lui montrer des photos d’elle enfant. Mais elle n'en a pas. De ce petit événement, la cinéaste tire un questionnement : grâce à de petites marionnettes et une gigantesque maquette - un travail d’orfèvre - elle fait alors elle-même revivre les fantômes de son passé : ceux de sa famille, mais aussi ceux de son pays natal, le Maroc.
vo
Petite salle
Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
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Grande salle
Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
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Grande salle
Après trois années d’attente, qui auront semblées bien longues à beaucoup, nous revoilà plongé dans le plus célèbre désert du cinéma contemporain, le décor somptueux et inquiétant de Dune, avec ses précieuses épices et ses vers des sables.
Notre héros, Paul Paul Atreides, continue à porter la lourde responsabilité d’un pouvoir qu’il peine à contrôler tout en apprenant à devenir un meneur d’hommes, aidé par Chani. Entre vengeance, jeux politiques et passions bien humaines, le nouveau volet de la fresque signée Denis Villeneuve continue à s’affirmer comme un film d’action particulièrement efficace, un spectacle épique qui rappelle les grandes heures d’un certain cinéma hollywoodien.
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Petite salle
Tout de blanc vêtue, une femme élégante rejoint un hôtel, perché dans la montagne. Là-bas, elle cherche quelqu’un, un homme…
On n’en dira pas plus, tant l’étonnant film de Maxime Rappaz joue sur l’opacité de ce personnage féminin, qui se dévoile peu à peu. Incarnée par une Jeanne Balibar de feu et de glace, Claudine, au débit si particulier, à l’élocution élégante, abrite en elle autant d’amour que de peur. Le charme du film tient alors à cette ligne claire, à la simplicité de son histoire, qui ne tient en rien du renoncement, mais plutôt de la croyance dans une possibilité de renouveau.
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Grande salle version SME sur demande
Sasha, adolescente vampire, n’a rien du caractère sanguinaire qui caractérise certains de ses pairs. Si elle a elle aussi besoin de boire du sang humain, elle répugne à tuer. Elle rencontre alors Paul, jeune homme au bout du rouleau, qui serait prêt à se sacrifier pour elle. A condition qu’elle l’aide à accomplir ses dernières volontés.
Voici un nouveau petit bijou venu du Canada ! Jouant avec tous les clichés, cette comédie à l’humour noir s’empare de tous les clichés autour des vampires pour dresser un portrait aussi sensible que mordant de l’adolescence.
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Petite salle
Alvin Straight, vétéran sexagénaire, n’a pas parlé à son frère depuis dix ans. Lorsqu’il apprend que celui-ci a été victime d’une attaque, il décide de parcourir les routes pour le retrouver sur le seul moyen de locomotion dont il dispose : sa tondeuse à gazon !
Voilà une heureuse anomalie dans la filmographie de David Lynch : loin de ses univers cauchemardesques ou oniriques, il livre ici une histoire pleine d’une simple, belle et grande humanité.
À travers la lutte d'une mère au foyer qui se bat pour offrir un avenir meilleur à sa fille, Paola Cortellesi offre une relecture contemporaine des thématiques du néoréalisme italien, menée avec force dans un premier long métrage maîtrisé !
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Petite salle
À travers la lutte d'une mère au foyer qui se bat pour offrir un avenir meilleur à sa fille, Paola Cortellesi offre une relecture contemporaine des thématiques du néoréalisme italien, menée avec force dans un premier long métrage maîtrisé !
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Grande salle
Sasha, adolescente vampire, n’a rien du caractère sanguinaire qui caractérise certains de ses pairs. Si elle a elle aussi besoin de boire du sang humain, elle répugne à tuer. Elle rencontre alors Paul, jeune homme au bout du rouleau, qui serait prêt à se sacrifier pour elle. A condition qu’elle l’aide à accomplir ses dernières volontés.
Voici un nouveau petit bijou venu du Canada ! Jouant avec tous les clichés, cette comédie à l’humour noir s’empare de tous les clichés autour des vampires pour dresser un portrait aussi sensible que mordant de l’adolescence.
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Petite salle
Un jour, Asmae demande à sa mère de lui montrer des photos d’elle enfant. Mais elle n'en a pas. De ce petit événement, la cinéaste tire un questionnement : grâce à de petites marionnettes et une gigantesque maquette - un travail d’orfèvre - elle fait alors elle-même revivre les fantômes de son passé : ceux de sa famille, mais aussi ceux de son pays natal, le Maroc.
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Grande salle
Dans un monde où humains et créatures surnaturelles coexistent, un jeune garçon solitaire se retrouve perdu dans le monde des bêtes après avoir fui sa famille. Il est accueilli par Kumatetsu, qui devient son mentor et fait de lui un guerrier. À travers sa superbe animation, le film raconte une belle histoire sur l’amitié et le fait de grandir. La relation tumultueuse entre ses personnages attachants offre tension, humour et émotions.
Un jour, Asmae demande à sa mère de lui montrer des photos d’elle enfant. Mais elle n'en a pas. De ce petit événement, la cinéaste tire un questionnement : grâce à de petites marionnettes et une gigantesque maquette - un travail d’orfèvre - elle fait alors elle-même revivre les fantômes de son passé : ceux de sa famille, mais aussi ceux de son pays natal, le Maroc.
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Petite salle
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Petite salle
Dans le monde virtuel de U, chacun peut devenir ce qu’il désire. Cet endroit est un exutoire pour Suzu, adolescente timide. Mais l’équilibre de ce monde est rompu par l’arrivée d’une bête que les internautes veulent chasser.
Avec Belle, relecture de La Belle et la Bête, Hosoda s’attaque à un thème qui travaillait déjà son oeuvre : le rapport aux identités doubles et à l’animalité.
Paul Atreides est voué à connaître un destin hors du commun. Sur la planète désertique mais stratégique Arakis, il assiste son père, chargé par l’Empereur Shaddam IV, de superviser les récoltes d’Épice, la ressource la plus précieuse de l’univers. C’est là-bas, au coeur d’un conflit économique et politique, qu’il va commencer à prendre conscience de sa véritable identité.
Denis Villeneuve, en pleine période science-fiction après Premier Contact et Blade Runner 2049, propose une nouvelle adaptation du roman de Frank Herbert. Si, par son côté blockbuster américain, on retient surtout l’aspect spectaculaire du rendu visuel, il est aussi très tentant de voir Dune comme un prolongement de notre réalité, tant les parallèles avec le monde d’aujourd’hui semblent évident.
Sasha, adolescente vampire, n’a rien du caractère sanguinaire qui caractérise certains de ses pairs. Si elle a elle aussi besoin de boire du sang humain, elle répugne à tuer. Elle rencontre alors Paul, jeune homme au bout du rouleau, qui serait prêt à se sacrifier pour elle. A condition qu’elle l’aide à accomplir ses dernières volontés.
Voici un nouveau petit bijou venu du Canada ! Jouant avec tous les clichés, cette comédie à l’humour noir s’empare de tous les clichés autour des vampires pour dresser un portrait aussi sensible que mordant de l’adolescence.
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Petite salle
Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
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Petite salle
Après trois années d’attente, qui auront semblées bien longues à beaucoup, nous revoilà plongé dans le plus célèbre désert du cinéma contemporain, le décor somptueux et inquiétant de Dune, avec ses précieuses épices et ses vers des sables.
Notre héros, Paul Paul Atreides, continue à porter la lourde responsabilité d’un pouvoir qu’il peine à contrôler tout en apprenant à devenir un meneur d’hommes, aidé par Chani. Entre vengeance, jeux politiques et passions bien humaines, le nouveau volet de la fresque signée Denis Villeneuve continue à s’affirmer comme un film d’action particulièrement efficace, un spectacle épique qui rappelle les grandes heures d’un certain cinéma hollywoodien.
Tout de blanc vêtue, une femme élégante rejoint un hôtel, perché dans la montagne. Là-bas, elle cherche quelqu’un, un homme…
On n’en dira pas plus, tant l’étonnant film de Maxime Rappaz joue sur l’opacité de ce personnage féminin, qui se dévoile peu à peu. Incarnée par une Jeanne Balibar de feu et de glace, Claudine, au débit si particulier, à l’élocution élégante, abrite en elle autant d’amour que de peur. Le charme du film tient alors à cette ligne claire, à la simplicité de son histoire, qui ne tient en rien du renoncement, mais plutôt de la croyance dans une possibilité de renouveau.
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Petite salle
Un jour, Asmae demande à sa mère de lui montrer des photos d’elle enfant. Mais elle n'en a pas. De ce petit événement, la cinéaste tire un questionnement : grâce à de petites marionnettes et une gigantesque maquette - un travail d’orfèvre - elle fait alors elle-même revivre les fantômes de son passé : ceux de sa famille, mais aussi ceux de son pays natal, le Maroc.
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Grande salle
Tout de blanc vêtue, une femme élégante rejoint un hôtel, perché dans la montagne. Là-bas, elle cherche quelqu’un, un homme…
On n’en dira pas plus, tant l’étonnant film de Maxime Rappaz joue sur l’opacité de ce personnage féminin, qui se dévoile peu à peu. Incarnée par une Jeanne Balibar de feu et de glace, Claudine, au débit si particulier, à l’élocution élégante, abrite en elle autant d’amour que de peur. Le charme du film tient alors à cette ligne claire, à la simplicité de son histoire, qui ne tient en rien du renoncement, mais plutôt de la croyance dans une possibilité de renouveau.
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Petite salle version SME sur demande
Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
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Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
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Petite salle
Après trois années d’attente, qui auront semblées bien longues à beaucoup, nous revoilà plongé dans le plus célèbre désert du cinéma contemporain, le décor somptueux et inquiétant de Dune, avec ses précieuses épices et ses vers des sables.
Notre héros, Paul Paul Atreides, continue à porter la lourde responsabilité d’un pouvoir qu’il peine à contrôler tout en apprenant à devenir un meneur d’hommes, aidé par Chani. Entre vengeance, jeux politiques et passions bien humaines, le nouveau volet de la fresque signée Denis Villeneuve continue à s’affirmer comme un film d’action particulièrement efficace, un spectacle épique qui rappelle les grandes heures d’un certain cinéma hollywoodien.
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Grande salle
Alvin Straight, vétéran sexagénaire, n’a pas parlé à son frère depuis dix ans. Lorsqu’il apprend que celui-ci a été victime d’une attaque, il décide de parcourir les routes pour le retrouver sur le seul moyen de locomotion dont il dispose : sa tondeuse à gazon !
Voilà une heureuse anomalie dans la filmographie de David Lynch : loin de ses univers cauchemardesques ou oniriques, il livre ici une histoire pleine d’une simple, belle et grande humanité.
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À travers la lutte d'une mère au foyer qui se bat pour offrir un avenir meilleur à sa fille, Paola Cortellesi offre une relecture contemporaine des thématiques du néoréalisme italien, menée avec force dans un premier long métrage maîtrisé !
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Grande salle
Sasha, adolescente vampire, n’a rien du caractère sanguinaire qui caractérise certains de ses pairs. Si elle a elle aussi besoin de boire du sang humain, elle répugne à tuer. Elle rencontre alors Paul, jeune homme au bout du rouleau, qui serait prêt à se sacrifier pour elle. A condition qu’elle l’aide à accomplir ses dernières volontés.
Voici un nouveau petit bijou venu du Canada ! Jouant avec tous les clichés, cette comédie à l’humour noir s’empare de tous les clichés autour des vampires pour dresser un portrait aussi sensible que mordant de l’adolescence.
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Petite salle
Tout de blanc vêtue, une femme élégante rejoint un hôtel, perché dans la montagne. Là-bas, elle cherche quelqu’un, un homme…
On n’en dira pas plus, tant l’étonnant film de Maxime Rappaz joue sur l’opacité de ce personnage féminin, qui se dévoile peu à peu. Incarnée par une Jeanne Balibar de feu et de glace, Claudine, au débit si particulier, à l’élocution élégante, abrite en elle autant d’amour que de peur. Le charme du film tient alors à cette ligne claire, à la simplicité de son histoire, qui ne tient en rien du renoncement, mais plutôt de la croyance dans une possibilité de renouveau.
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Petite salle
Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
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Grande salle
Un jour, Asmae demande à sa mère de lui montrer des photos d’elle enfant. Mais elle n'en a pas. De ce petit événement, la cinéaste tire un questionnement : grâce à de petites marionnettes et une gigantesque maquette - un travail d’orfèvre - elle fait alors elle-même revivre les fantômes de son passé : ceux de sa famille, mais aussi ceux de son pays natal, le Maroc.
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Grande salle
Après trois années d’attente, qui auront semblées bien longues à beaucoup, nous revoilà plongé dans le plus célèbre désert du cinéma contemporain, le décor somptueux et inquiétant de Dune, avec ses précieuses épices et ses vers des sables.
Notre héros, Paul Paul Atreides, continue à porter la lourde responsabilité d’un pouvoir qu’il peine à contrôler tout en apprenant à devenir un meneur d’hommes, aidé par Chani. Entre vengeance, jeux politiques et passions bien humaines, le nouveau volet de la fresque signée Denis Villeneuve continue à s’affirmer comme un film d’action particulièrement efficace, un spectacle épique qui rappelle les grandes heures d’un certain cinéma hollywoodien.
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À travers la lutte d'une mère au foyer qui se bat pour offrir un avenir meilleur à sa fille, Paola Cortellesi offre une relecture contemporaine des thématiques du néoréalisme italien, menée avec force dans un premier long métrage maîtrisé !
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À travers la lutte d'une mère au foyer qui se bat pour offrir un avenir meilleur à sa fille, Paola Cortellesi offre une relecture contemporaine des thématiques du néoréalisme italien, menée avec force dans un premier long métrage maîtrisé !
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Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner nous emmène découvrir de nouveaux et surprenants héros : un renard qui se prend pour une poule, un lapin qui fait la cigogne et un canard qui veut remplacer le Père Noël. Tout un programme ! Des histoires drôles et trépidantes où la solidarité et l’amitié l’emportent.
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Grande salle
Sasha, adolescente vampire, n’a rien du caractère sanguinaire qui caractérise certains de ses pairs. Si elle a elle aussi besoin de boire du sang humain, elle répugne à tuer. Elle rencontre alors Paul, jeune homme au bout du rouleau, qui serait prêt à se sacrifier pour elle. A condition qu’elle l’aide à accomplir ses dernières volontés.
Voici un nouveau petit bijou venu du Canada ! Jouant avec tous les clichés, cette comédie à l’humour noir s’empare de tous les clichés autour des vampires pour dresser un portrait aussi sensible que mordant de l’adolescence.
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Grande salle
C’est la dernière usine à fabriquer du papier recyclé en France, et elle doit fermer ses portes. Mais trois délégués du personnel, représentants des 217 salariés, n’ont pas dit leur dernier mot…
"L'Usine, le bon, la brute et le truand" est un film de lutte, où chaque discussion est une partie d’échecs ou un combat, filmé au jour le jour par Marianne Lère Laffitte. On ressort haletants et exaltés de cette course contre la montre où se joue le destin de centaines de familles.
Tout de blanc vêtue, une femme élégante rejoint un hôtel, perché dans la montagne. Là-bas, elle cherche quelqu’un, un homme…
On n’en dira pas plus, tant l’étonnant film de Maxime Rappaz joue sur l’opacité de ce personnage féminin, qui se dévoile peu à peu. Incarnée par une Jeanne Balibar de feu et de glace, Claudine, au débit si particulier, à l’élocution élégante, abrite en elle autant d’amour que de peur. Le charme du film tient alors à cette ligne claire, à la simplicité de son histoire, qui ne tient en rien du renoncement, mais plutôt de la croyance dans une possibilité de renouveau.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 10 au mardi 16 (semaine 202415)
La dernière femme du roi Henri VIII craint que son sort ne rejoigne celui de celles qui l'ont précédée. La Reine parviendra-t-elle à tirer son épingle du jeu ?
Le cinéaste brésilien offre une relecture inspirée de la vie de la dernière femme de ce Barbe Bleue, qu'un Jude Law méconnaissable incarne avec un mélange de séduction et de violence terrifiante. Face à lui, une Alicia Vikander moins vulnérable qu'il n'y parait !
Il en résulte un conte féministe remarquablement mené, aussi cruel que palpitant, qui nous emporte dans l'univers des Tudor.
Astérix et ses amis doivent faire face à une menace : la construction
d’un riche complexe immobilier destiné aux Romains à proximité
de leur village. Et avec elle, une foule de touristes !
Dans sa classe de latin, Delphine met des notes excellentes à ses élèves, s'ils ne lui demandent pas de travailler. Mais l’existence même du cours est menacée. Une seule solution : faire gagner à ses élèves un concours de latin.
Un plaisant moment de comédie, porté par des acteurs qui s’en donnent à cœur joie !
Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
Dans sa famille, personne n’a échoué à l'examen de fin d'études. Mais le jeune Abel vient de le rater. Cet échec va peu à peu se transformer en une véritable affaire, où la politique se mêle à l’intime.
À travers trois personnages, Gábor Reisz dresse le portrait de son pays, la Hongrie. Il raconte sans manichéisme un pays et des êtres qui ne cessent de chercher leur voie, peinant à concilier idéologie et désir de liberté.
En Jordanie, une femme seule ne peut percevoir l’héritage de son mari défunt qu’à la condition d’avoir un fils : c'est là l’unique espoir de Nawal, jeune mère qui tente de sauver l’avenir de sa fille.
Amjad Al Rasheed réalise ici un film poignant sur le poids du patriarcat dans la société jordanienne, où l’accumulation d’injustices fait peu à peu grandir un sentiment de révolte porté par des femmes courageuses.
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
Ginger, poule audacieuse, a un plan pour s’échapper de la ferme où ses congénères et elles sont enfermées par une femme cruelle. Elle va mettre le poulailler sens dessus dessous !
Du 13 au 30 avril : Festival Télérama Enfants
Toutes les places pour les films du festival sont à 3.5€ !
C’est quoi une maman normale ? Lu ne le sait pas trop, mais elle a bien conscience que sa maman ne l’est pas tout à fait, normale. Ou ordinaire. D’ailleurs, elle la connaît mal, puisque cette dernière l’a laissée dans un foyer d’accueil. Et puis un jour, cette maman pas comme les autres revient, et entraîne la fillette sur les routes.
Quoi de mieux qu’un road movie pour (re)nouer une relation mère-fille ? Avec ce film attachant, Zara Dwinger raconte les retrouvailles de deux âmes en peine, un peu paumées, entre émotion et humour. On pense à une "Alice dans les villes" avec un brin de folie !
Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret.
Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
La dernière femme du roi Henri VIII craint que son sort ne rejoigne celui de celles qui l'ont précédée. La Reine parviendra-t-elle à tirer son épingle du jeu ?
Le cinéaste brésilien offre une relecture inspirée de la vie de la dernière femme de ce Barbe Bleue, qu'un Jude Law méconnaissable incarne avec un mélange de séduction et de violence terrifiante. Face à lui, une Alicia Vikander moins vulnérable qu'il n'y parait !
Il en résulte un conte féministe remarquablement mené, aussi cruel que palpitant, qui nous emporte dans l'univers des Tudor.
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Petite salle
Astérix et ses amis doivent faire face à une menace : la construction
d’un riche complexe immobilier destiné aux Romains à proximité
de leur village. Et avec elle, une foule de touristes !
vo
Grande salle
Dans sa classe de latin, Delphine met des notes excellentes à ses élèves, s'ils ne lui demandent pas de travailler. Mais l’existence même du cours est menacée. Une seule solution : faire gagner à ses élèves un concours de latin.
Un plaisant moment de comédie, porté par des acteurs qui s’en donnent à cœur joie !
vo
Petite salle version SME sur demande
Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
vo
Grande salle
Dans sa famille, personne n’a échoué à l'examen de fin d'études. Mais le jeune Abel vient de le rater. Cet échec va peu à peu se transformer en une véritable affaire, où la politique se mêle à l’intime.
À travers trois personnages, Gábor Reisz dresse le portrait de son pays, la Hongrie. Il raconte sans manichéisme un pays et des êtres qui ne cessent de chercher leur voie, peinant à concilier idéologie et désir de liberté.
vo
Grande salle
En Jordanie, une femme seule ne peut percevoir l’héritage de son mari défunt qu’à la condition d’avoir un fils : c'est là l’unique espoir de Nawal, jeune mère qui tente de sauver l’avenir de sa fille.
Amjad Al Rasheed réalise ici un film poignant sur le poids du patriarcat dans la société jordanienne, où l’accumulation d’injustices fait peu à peu grandir un sentiment de révolte porté par des femmes courageuses.
vo
Petite salle
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Ginger, poule audacieuse, a un plan pour s’échapper de la ferme où ses congénères et elles sont enfermées par une femme cruelle. Elle va mettre le poulailler sens dessus dessous !
Du 13 au 30 avril : Festival Télérama Enfants
Toutes les places pour les films du festival sont à 3.5€ !
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Grande salle
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Petite salle
La dernière femme du roi Henri VIII craint que son sort ne rejoigne celui de celles qui l'ont précédée. La Reine parviendra-t-elle à tirer son épingle du jeu ?
Le cinéaste brésilien offre une relecture inspirée de la vie de la dernière femme de ce Barbe Bleue, qu'un Jude Law méconnaissable incarne avec un mélange de séduction et de violence terrifiante. Face à lui, une Alicia Vikander moins vulnérable qu'il n'y parait !
Il en résulte un conte féministe remarquablement mené, aussi cruel que palpitant, qui nous emporte dans l'univers des Tudor.
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Grande salle
Dans sa famille, personne n’a échoué à l'examen de fin d'études. Mais le jeune Abel vient de le rater. Cet échec va peu à peu se transformer en une véritable affaire, où la politique se mêle à l’intime.
À travers trois personnages, Gábor Reisz dresse le portrait de son pays, la Hongrie. Il raconte sans manichéisme un pays et des êtres qui ne cessent de chercher leur voie, peinant à concilier idéologie et désir de liberté.
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Petite salle
Dans sa classe de latin, Delphine met des notes excellentes à ses élèves, s'ils ne lui demandent pas de travailler. Mais l’existence même du cours est menacée. Une seule solution : faire gagner à ses élèves un concours de latin.
Un plaisant moment de comédie, porté par des acteurs qui s’en donnent à cœur joie !
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Grande salle
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
Astérix et ses amis doivent faire face à une menace : la construction
d’un riche complexe immobilier destiné aux Romains à proximité
de leur village. Et avec elle, une foule de touristes !
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Grande salle
Dans sa famille, personne n’a échoué à l'examen de fin d'études. Mais le jeune Abel vient de le rater. Cet échec va peu à peu se transformer en une véritable affaire, où la politique se mêle à l’intime.
À travers trois personnages, Gábor Reisz dresse le portrait de son pays, la Hongrie. Il raconte sans manichéisme un pays et des êtres qui ne cessent de chercher leur voie, peinant à concilier idéologie et désir de liberté.
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Grande salle
Dans sa classe de latin, Delphine met des notes excellentes à ses élèves, s'ils ne lui demandent pas de travailler. Mais l’existence même du cours est menacée. Une seule solution : faire gagner à ses élèves un concours de latin.
Un plaisant moment de comédie, porté par des acteurs qui s’en donnent à cœur joie !
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Petite salle
En Jordanie, une femme seule ne peut percevoir l’héritage de son mari défunt qu’à la condition d’avoir un fils : c'est là l’unique espoir de Nawal, jeune mère qui tente de sauver l’avenir de sa fille.
Amjad Al Rasheed réalise ici un film poignant sur le poids du patriarcat dans la société jordanienne, où l’accumulation d’injustices fait peu à peu grandir un sentiment de révolte porté par des femmes courageuses.
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C’est quoi une maman normale ? Lu ne le sait pas trop, mais elle a bien conscience que sa maman ne l’est pas tout à fait, normale. Ou ordinaire. D’ailleurs, elle la connaît mal, puisque cette dernière l’a laissée dans un foyer d’accueil. Et puis un jour, cette maman pas comme les autres revient, et entraîne la fillette sur les routes.
Quoi de mieux qu’un road movie pour (re)nouer une relation mère-fille ? Avec ce film attachant, Zara Dwinger raconte les retrouvailles de deux âmes en peine, un peu paumées, entre émotion et humour. On pense à une "Alice dans les villes" avec un brin de folie !
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Petite salle
Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
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Grande salle
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Petite salle
La dernière femme du roi Henri VIII craint que son sort ne rejoigne celui de celles qui l'ont précédée. La Reine parviendra-t-elle à tirer son épingle du jeu ?
Le cinéaste brésilien offre une relecture inspirée de la vie de la dernière femme de ce Barbe Bleue, qu'un Jude Law méconnaissable incarne avec un mélange de séduction et de violence terrifiante. Face à lui, une Alicia Vikander moins vulnérable qu'il n'y parait !
Il en résulte un conte féministe remarquablement mené, aussi cruel que palpitant, qui nous emporte dans l'univers des Tudor.
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Petite salle
Dans sa classe de latin, Delphine met des notes excellentes à ses élèves, s'ils ne lui demandent pas de travailler. Mais l’existence même du cours est menacée. Une seule solution : faire gagner à ses élèves un concours de latin.
Un plaisant moment de comédie, porté par des acteurs qui s’en donnent à cœur joie !
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Grande salle
Dans sa classe de latin, Delphine met des notes excellentes à ses élèves, s'ils ne lui demandent pas de travailler. Mais l’existence même du cours est menacée. Une seule solution : faire gagner à ses élèves un concours de latin.
Un plaisant moment de comédie, porté par des acteurs qui s’en donnent à cœur joie !
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Grande salle version SME sur demande
Ginger, poule audacieuse, a un plan pour s’échapper de la ferme où ses congénères et elles sont enfermées par une femme cruelle. Elle va mettre le poulailler sens dessus dessous !
Du 13 au 30 avril : Festival Télérama Enfants
Toutes les places pour les films du festival sont à 3.5€ !
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Retrouvons notre ornithorynque et ses amis pour une grande
aventure : l’espace et le début d’une amitié avec Croâk, un petit
homme vert. Une animation 3D effet pâte à modeler !
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La dernière femme du roi Henri VIII craint que son sort ne rejoigne celui de celles qui l'ont précédée. La Reine parviendra-t-elle à tirer son épingle du jeu ?
Le cinéaste brésilien offre une relecture inspirée de la vie de la dernière femme de ce Barbe Bleue, qu'un Jude Law méconnaissable incarne avec un mélange de séduction et de violence terrifiante. Face à lui, une Alicia Vikander moins vulnérable qu'il n'y parait !
Il en résulte un conte féministe remarquablement mené, aussi cruel que palpitant, qui nous emporte dans l'univers des Tudor.
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Petite salle
En Jordanie, une femme seule ne peut percevoir l’héritage de son mari défunt qu’à la condition d’avoir un fils : c'est là l’unique espoir de Nawal, jeune mère qui tente de sauver l’avenir de sa fille.
Amjad Al Rasheed réalise ici un film poignant sur le poids du patriarcat dans la société jordanienne, où l’accumulation d’injustices fait peu à peu grandir un sentiment de révolte porté par des femmes courageuses.
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Grande salle
Dans sa famille, personne n’a échoué à l'examen de fin d'études. Mais le jeune Abel vient de le rater. Cet échec va peu à peu se transformer en une véritable affaire, où la politique se mêle à l’intime.
À travers trois personnages, Gábor Reisz dresse le portrait de son pays, la Hongrie. Il raconte sans manichéisme un pays et des êtres qui ne cessent de chercher leur voie, peinant à concilier idéologie et désir de liberté.
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Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Ginger, poule audacieuse, a un plan pour s’échapper de la ferme où ses congénères et elles sont enfermées par une femme cruelle. Elle va mettre le poulailler sens dessus dessous !
Du 13 au 30 avril : Festival Télérama Enfants
Toutes les places pour les films du festival sont à 3.5€ !
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Dans son film précédent, Sur l’Adamant, Nicolas Philibert filmait la parole de personnes qui trouvaient un apaisement sur une péniche où avaient lieu des entretiens et des ateliers. Dans ce nouveau documentaire, il va cette fois dans l’hôpital Esquirol dont dépend l’Adamant pour filmer la parole des malades et des soignants. Entre travail intime sur l’échange et l’écoute et réflexion sur les difficultés rencontrées actuellement par le système hospitalier, Nicolas Philibert propose des portraits bouleversants, d’une grande dignité.
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Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret.
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En Jordanie, une femme seule ne peut percevoir l’héritage de son mari défunt qu’à la condition d’avoir un fils : c'est là l’unique espoir de Nawal, jeune mère qui tente de sauver l’avenir de sa fille.
Amjad Al Rasheed réalise ici un film poignant sur le poids du patriarcat dans la société jordanienne, où l’accumulation d’injustices fait peu à peu grandir un sentiment de révolte porté par des femmes courageuses.
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Astérix et ses amis doivent faire face à une menace : la construction
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de leur village. Et avec elle, une foule de touristes !
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En Jordanie, une femme seule ne peut percevoir l’héritage de son mari défunt qu’à la condition d’avoir un fils : c'est là l’unique espoir de Nawal, jeune mère qui tente de sauver l’avenir de sa fille.
Amjad Al Rasheed réalise ici un film poignant sur le poids du patriarcat dans la société jordanienne, où l’accumulation d’injustices fait peu à peu grandir un sentiment de révolte porté par des femmes courageuses.
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Grande salle
La dernière femme du roi Henri VIII craint que son sort ne rejoigne celui de celles qui l'ont précédée. La Reine parviendra-t-elle à tirer son épingle du jeu ?
Le cinéaste brésilien offre une relecture inspirée de la vie de la dernière femme de ce Barbe Bleue, qu'un Jude Law méconnaissable incarne avec un mélange de séduction et de violence terrifiante. Face à lui, une Alicia Vikander moins vulnérable qu'il n'y parait !
Il en résulte un conte féministe remarquablement mené, aussi cruel que palpitant, qui nous emporte dans l'univers des Tudor.
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Grande salle
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Petite salle