Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Tous les films du mercredi 26 au mardi 01 (semaine 202513)
Chez les Felpeto, les paris, c’est de père et mère en fille ! Cette modeste famille de Buenos Aires a réunssi dans les années 1970, à se faire une (petite) place au soleil grâce à ses talents de bookmakers. Mais les temps changent, et le métier devient de plus en plus complexe.
S’inspirant de tout un pan du cinéma de mafia des années 1970, Hernán Rosselli réinvente l’histoire d’une famille. Le réalisateur utilise notamment de vraies images d’archives de la famille, et donne ainsi à revoir une Argentine post-dictature et les évolutions que la société a depuis connues.
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Dans "Qui Voilà ?" et "Coucou nous voilà", on suivait avec bonheur les aventures de Nounourse, Cochonou et leurs ami.es. Dans ces huit nouvelles histoires, on découvre que nos petits héros et héroïnes ont bien grandi, et qu'ils et elles ont aussi des enfants !
Lang travaille tout près du désert de Gobi. Son métier ? Se débarrasser des chiens errants. Pourtant, cet être solitaire finira par se laisser apprivoiser par un chien noir qui le suivra comme son ombre. Œuvre mélancolique, qui n’est pas sans évoquer le Gerry de Gus van Sant, le film surprend aussi par ses instants de poésie burlesques, ses visions inattendues et inoubliables au sein d’une nature qui parfois s’illumine.
Le meurtre, en 1998, de James Byrd, un noir lynché par trois jeunes blancs à Jaspers, au Texas, constitue le point de départ du film. La caméra pénètre dans l'église au moment de l'office à sa mémoire, et capte, entre les chants et les psaumes, l'émotion et la dignité des proches endeuillés
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
Dans le cadre du projet Jeunes Ambassadeur.rices du Luxy et en partenariat avec l'Association des Cinémas de Recherche en IDF (ACRIF)
Les premières amours, les sorties entre filles, les joies et les doutes qui habitent celles qui se voient grandir, la voiture comme outil de drague ou encore la solitude du confinement... Laïs Decaster filme souvent celles qui l'entourent - ses copines de lycée, sa sœur Auréa - les laissant, avec pudeur, dévoiler leurs sentiments intimes. D'une salle de bain à une salle de classe, seules ou en groupes, toutes ces jeunes filles illuminent ces courts métrages de leur vitalité à toute épreuve.
Jesse Eisenberg joue sur un duo comique établi : le Juif new-yorkais angoissé et la tête brûlée, deux cousins qui s’adorent autant qu’ils se tapent sur les nerfs. A Real Pain, souvent drôle, atteint une émotion inattendue quand il s’agit d’interroger la relation qu’une génération née bien après la Shoah peut entretenir avec cette tragédie. Le film se révèle aussi caustique dans sa représentation du tourisme mémoriel, où l’horreur se met à faire recette.
Quels sont les êtres qui peuplent le cinéma de Benoît Chieux ? Des enfants évidemment, comme la petite Coralie, passionnée par les escargots, ou le jeune homme de Tigres à la queue leu leu, qu'on accuse d'être trop paresseux et qui se révélera plein de surprises. Et puis, il y a aussi des animaux et des monstres : tigres et escargots, taupe et géant. Dans les forêts comme dans les jardins magiques, on se perd, on tremble, on découvre des univers fascinants qui nous font tout oublier. L'animation fait naître les mondes qui habitent secrètement nos esprits, interrogeant les peurs enfantines et les fantasmes dans un tourbillon d'émotions.
Trois militants écologistes veulent mener une action autour d’un barrage. Entre préparatifs, doutes et suspicions, le chemin sera long. Kelly Reichardt livre un thriller haletant sur l’activisme écologique. La crise climatique sert la tension du film, mais nourrit surtout le regard fin de la cinéaste, qui questionne les formes et les limites de l’engagement politique.
Carmen et Juliette sont deux sœurs. Un jour, alors qu’elles lisent leur livre préféré, Juliette parvient à ouvrir un portail vers un autre univers... En un éclair, les voilà emportées dans le royaume des courants d’air ! Mais comment retrouveront-elles le monde réel ? Le film déploie un monde aussi coloré que carnavalesque, peuplé par un bestiaire à poils et à plumes qui évoque le surréalisme, oscillant entre le merveilleux et le monstrueux. Une quête bouleversante qui évoque avec pudeur des émotions complexes qui se déploient délicatement à mesure que le film progresse.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
L’une ne va pas sans l’autre. July et September se soutiennent au lycée, jusqu'au jour où l'une d'elle est renvoyée. C’est un récit plein de sensualité, mais aussi de violence. Qu’elles émergent de l’image tournée en pellicule, ou bien de la vitalité de ses deux actrices, Ariane Labed touche autant la trivialité dans son aspect le plus rugueux, que la poésie, dans sa forme la plus métaphysique. Une œuvre toute en dualité, à l’instar de cette sororité tour à tour vitale ou suffocante.
Quelle joie d’aller au fil de l’eau !
De la goutte d’eau à la mer, en passant par les méandres des fleuves, les personnages de ces films nous entraînent dans leurs aventures, qu’on soit marin d’eau douce ou vieux briscard.
L’eau dans tous ses états, dans ces films d’animation aussi doux que poétiques ! On dérive avec plaisir en compagnie de personnages attachants à l’esprit téméraire et à la curiosité aiguisée !
C’est un étonnant projet de vie, et un étonnant projet de film. Mathias Mlekuz, après la mort de son fils Youri, embarque son ami Philippe Rebbot dans une aventure… à bicyclette. L’objectif : aller jusqu’à la mer Noire. Loin des sentiers battus, le film est construit sur la surprise et l’improvisation. Le lien qui unit les deux comédiens leur permet de libérer toutes leurs émotions, que ce soit au cours de mémorables scènes d’engueulade ou de poignants moments de mélancolie.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Chez les Felpeto, les paris, c’est de père et mère en fille ! Cette modeste famille de Buenos Aires a réunssi dans les années 1970, à se faire une (petite) place au soleil grâce à ses talents de bookmakers. Mais les temps changent, et le métier devient de plus en plus complexe.
S’inspirant de tout un pan du cinéma de mafia des années 1970, Hernán Rosselli réinvente l’histoire d’une famille. Le réalisateur utilise notamment de vraies images d’archives de la famille, et donne ainsi à revoir une Argentine post-dictature et les évolutions que la société a depuis connues.
vo
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
vo
Grande salle
Dans "Qui Voilà ?" et "Coucou nous voilà", on suivait avec bonheur les aventures de Nounourse, Cochonou et leurs ami.es. Dans ces huit nouvelles histoires, on découvre que nos petits héros et héroïnes ont bien grandi, et qu'ils et elles ont aussi des enfants !
vo
Grande salle
Lang travaille tout près du désert de Gobi. Son métier ? Se débarrasser des chiens errants. Pourtant, cet être solitaire finira par se laisser apprivoiser par un chien noir qui le suivra comme son ombre. Œuvre mélancolique, qui n’est pas sans évoquer le Gerry de Gus van Sant, le film surprend aussi par ses instants de poésie burlesques, ses visions inattendues et inoubliables au sein d’une nature qui parfois s’illumine.
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Petite salle
Le meurtre, en 1998, de James Byrd, un noir lynché par trois jeunes blancs à Jaspers, au Texas, constitue le point de départ du film. La caméra pénètre dans l'église au moment de l'office à sa mémoire, et capte, entre les chants et les psaumes, l'émotion et la dignité des proches endeuillés
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Grande salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
vo
Petite salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
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Petite salle
Dans le cadre du projet Jeunes Ambassadeur.rices du Luxy et en partenariat avec l'Association des Cinémas de Recherche en IDF (ACRIF)
Les premières amours, les sorties entre filles, les joies et les doutes qui habitent celles qui se voient grandir, la voiture comme outil de drague ou encore la solitude du confinement... Laïs Decaster filme souvent celles qui l'entourent - ses copines de lycée, sa sœur Auréa - les laissant, avec pudeur, dévoiler leurs sentiments intimes. D'une salle de bain à une salle de classe, seules ou en groupes, toutes ces jeunes filles illuminent ces courts métrages de leur vitalité à toute épreuve.
Jesse Eisenberg joue sur un duo comique établi : le Juif new-yorkais angoissé et la tête brûlée, deux cousins qui s’adorent autant qu’ils se tapent sur les nerfs. A Real Pain, souvent drôle, atteint une émotion inattendue quand il s’agit d’interroger la relation qu’une génération née bien après la Shoah peut entretenir avec cette tragédie. Le film se révèle aussi caustique dans sa représentation du tourisme mémoriel, où l’horreur se met à faire recette.
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Grande salle
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
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Petite salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
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Grande salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
vo
Petite salle
Quels sont les êtres qui peuplent le cinéma de Benoît Chieux ? Des enfants évidemment, comme la petite Coralie, passionnée par les escargots, ou le jeune homme de Tigres à la queue leu leu, qu'on accuse d'être trop paresseux et qui se révélera plein de surprises. Et puis, il y a aussi des animaux et des monstres : tigres et escargots, taupe et géant. Dans les forêts comme dans les jardins magiques, on se perd, on tremble, on découvre des univers fascinants qui nous font tout oublier. L'animation fait naître les mondes qui habitent secrètement nos esprits, interrogeant les peurs enfantines et les fantasmes dans un tourbillon d'émotions.
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Grande salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
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Petite salle
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
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Grande salle
Trois militants écologistes veulent mener une action autour d’un barrage. Entre préparatifs, doutes et suspicions, le chemin sera long. Kelly Reichardt livre un thriller haletant sur l’activisme écologique. La crise climatique sert la tension du film, mais nourrit surtout le regard fin de la cinéaste, qui questionne les formes et les limites de l’engagement politique.
vo
Petite salle
Carmen et Juliette sont deux sœurs. Un jour, alors qu’elles lisent leur livre préféré, Juliette parvient à ouvrir un portail vers un autre univers... En un éclair, les voilà emportées dans le royaume des courants d’air ! Mais comment retrouveront-elles le monde réel ? Le film déploie un monde aussi coloré que carnavalesque, peuplé par un bestiaire à poils et à plumes qui évoque le surréalisme, oscillant entre le merveilleux et le monstrueux. Une quête bouleversante qui évoque avec pudeur des émotions complexes qui se déploient délicatement à mesure que le film progresse.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Petite salle
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
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Grande salle
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
vo
Petite salle
L’une ne va pas sans l’autre. July et September se soutiennent au lycée, jusqu'au jour où l'une d'elle est renvoyée. C’est un récit plein de sensualité, mais aussi de violence. Qu’elles émergent de l’image tournée en pellicule, ou bien de la vitalité de ses deux actrices, Ariane Labed touche autant la trivialité dans son aspect le plus rugueux, que la poésie, dans sa forme la plus métaphysique. Une œuvre toute en dualité, à l’instar de cette sororité tour à tour vitale ou suffocante.
Lang travaille tout près du désert de Gobi. Son métier ? Se débarrasser des chiens errants. Pourtant, cet être solitaire finira par se laisser apprivoiser par un chien noir qui le suivra comme son ombre. Œuvre mélancolique, qui n’est pas sans évoquer le Gerry de Gus van Sant, le film surprend aussi par ses instants de poésie burlesques, ses visions inattendues et inoubliables au sein d’une nature qui parfois s’illumine.
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Petite salle
Quelle joie d’aller au fil de l’eau !
De la goutte d’eau à la mer, en passant par les méandres des fleuves, les personnages de ces films nous entraînent dans leurs aventures, qu’on soit marin d’eau douce ou vieux briscard.
L’eau dans tous ses états, dans ces films d’animation aussi doux que poétiques ! On dérive avec plaisir en compagnie de personnages attachants à l’esprit téméraire et à la curiosité aiguisée !
C’est un étonnant projet de vie, et un étonnant projet de film. Mathias Mlekuz, après la mort de son fils Youri, embarque son ami Philippe Rebbot dans une aventure… à bicyclette. L’objectif : aller jusqu’à la mer Noire. Loin des sentiers battus, le film est construit sur la surprise et l’improvisation. Le lien qui unit les deux comédiens leur permet de libérer toutes leurs émotions, que ce soit au cours de mémorables scènes d’engueulade ou de poignants moments de mélancolie.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
vo
Grande salle
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Lang travaille tout près du désert de Gobi. Son métier ? Se débarrasser des chiens errants. Pourtant, cet être solitaire finira par se laisser apprivoiser par un chien noir qui le suivra comme son ombre. Œuvre mélancolique, qui n’est pas sans évoquer le Gerry de Gus van Sant, le film surprend aussi par ses instants de poésie burlesques, ses visions inattendues et inoubliables au sein d’une nature qui parfois s’illumine.
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Grande salle
L’une ne va pas sans l’autre. July et September se soutiennent au lycée, jusqu'au jour où l'une d'elle est renvoyée. C’est un récit plein de sensualité, mais aussi de violence. Qu’elles émergent de l’image tournée en pellicule, ou bien de la vitalité de ses deux actrices, Ariane Labed touche autant la trivialité dans son aspect le plus rugueux, que la poésie, dans sa forme la plus métaphysique. Une œuvre toute en dualité, à l’instar de cette sororité tour à tour vitale ou suffocante.
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Petite salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Grande salle
Le meurtre, en 1998, de James Byrd, un noir lynché par trois jeunes blancs à Jaspers, au Texas, constitue le point de départ du film. La caméra pénètre dans l'église au moment de l'office à sa mémoire, et capte, entre les chants et les psaumes, l'émotion et la dignité des proches endeuillés
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Petite salle
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
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Grande salle
Chez les Felpeto, les paris, c’est de père et mère en fille ! Cette modeste famille de Buenos Aires a réunssi dans les années 1970, à se faire une (petite) place au soleil grâce à ses talents de bookmakers. Mais les temps changent, et le métier devient de plus en plus complexe.
S’inspirant de tout un pan du cinéma de mafia des années 1970, Hernán Rosselli réinvente l’histoire d’une famille. Le réalisateur utilise notamment de vraies images d’archives de la famille, et donne ainsi à revoir une Argentine post-dictature et les évolutions que la société a depuis connues.
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Petite salle
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
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Grande salle
L’une ne va pas sans l’autre. July et September se soutiennent au lycée, jusqu'au jour où l'une d'elle est renvoyée. C’est un récit plein de sensualité, mais aussi de violence. Qu’elles émergent de l’image tournée en pellicule, ou bien de la vitalité de ses deux actrices, Ariane Labed touche autant la trivialité dans son aspect le plus rugueux, que la poésie, dans sa forme la plus métaphysique. Une œuvre toute en dualité, à l’instar de cette sororité tour à tour vitale ou suffocante.
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Petite salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Grande salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
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Petite salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Petite salle
Jesse Eisenberg joue sur un duo comique établi : le Juif new-yorkais angoissé et la tête brûlée, deux cousins qui s’adorent autant qu’ils se tapent sur les nerfs. A Real Pain, souvent drôle, atteint une émotion inattendue quand il s’agit d’interroger la relation qu’une génération née bien après la Shoah peut entretenir avec cette tragédie. Le film se révèle aussi caustique dans sa représentation du tourisme mémoriel, où l’horreur se met à faire recette.
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Grande salle
Lang travaille tout près du désert de Gobi. Son métier ? Se débarrasser des chiens errants. Pourtant, cet être solitaire finira par se laisser apprivoiser par un chien noir qui le suivra comme son ombre. Œuvre mélancolique, qui n’est pas sans évoquer le Gerry de Gus van Sant, le film surprend aussi par ses instants de poésie burlesques, ses visions inattendues et inoubliables au sein d’une nature qui parfois s’illumine.
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Petite salle
Les Afghan.nes réfugié.es en Iran sont des millions. Mais le « pays de nos frères » est aussi un monde violent où règne la discrimination et l’arbitraire envers les immigré.es. Suivis durant 10 ans, les trois personnages principaux du film illustrent la complexité de ce quotidien, chacun et chacune peinant à trouver leur place dans une société qui les renvoie à leur condition de réfugié.e : mariage, études, confrontation entre les générations sont vus par le prisme de cette fragilité initiale. L’enchaînement subtil des récits, le travail sur le temps qui passe autant qu’une mise en scène au cordeau font de Au Pays de nos frères une œuvre audacieuse à découvrir absolument !
Ce film est disponible en version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes. Pour bénéficier des sous-titres, merci d'en faire la demande au moins 10min avant l'heure de la séance, à l'accueil du cinéma.
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Grande salle
La guerre touche à sa fin. Dans un petit village de montagne italien, la famille de l’instituteur continue à mener ses activités quotidiennes : son épouse enceinte élève ses nombreux enfants ; en secret, ses filles aspirent à d’autres vies, entre désir d’aimer et désir d’apprendre. Vermiglio fait la part belle au paysage où évoluent les personnages, et qui semble les avoir façonnés. Une chronique sensible et une critique de tous les impératifs qui brisent les rêves des jeunes filles.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage LA TRAVIATA (Guionne Leroy, 3') :
- Mercredi 19 à 20h
- Jeudi 20 à 18h30
- Vendredi 21 à 20h30
- Samedi 22 à 18h45
- Dimanche 23 à 15h
- Lundi 24 à 20h
- Mardi 25 à 18h
- Mercredi 26 à 20h30
- Jeudi 27 à 18h
- Vendredi 28 à 20h
- Samedi 29 à 18h30
- Dimanche 30 à 20h45
- Lundi 31 à 18h
- Mardi 1er à 20h45
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Petite salle
L’une ne va pas sans l’autre. July et September se soutiennent au lycée, jusqu'au jour où l'une d'elle est renvoyée. C’est un récit plein de sensualité, mais aussi de violence. Qu’elles émergent de l’image tournée en pellicule, ou bien de la vitalité de ses deux actrices, Ariane Labed touche autant la trivialité dans son aspect le plus rugueux, que la poésie, dans sa forme la plus métaphysique. Une œuvre toute en dualité, à l’instar de cette sororité tour à tour vitale ou suffocante.
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Grande salle
Tous les films du mercredi 02 au mardi 08 (semaine 202514)
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Dans "Qui Voilà ?" et "Coucou nous voilà", on suivait avec bonheur les aventures de Nounourse, Cochonou et leurs ami.es. Dans ces huit nouvelles histoires, on découvre que nos petits héros et héroïnes ont bien grandi, et qu'ils et elles ont aussi des enfants !
France, années 1990. Alors qu'Amel lutte chaque jour contre les préjugés qui entourent ses origines arabes, sa fille Mouna voit apparaître un curieux Charles Martel dans son existence… Des petits combats en apparence frivoles d'Amel, aux angoisses enfantines les plus loufoques de Mouna, c’est finalement la lutte pour une dignité de son histoire sans cesse reconsidérée que la réalisatrice met en exergue.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
Trois coloc’ très complices sont à la recherche d’un quatrième larron pour partager leur appartement. Mais leur bonne humeur va être mise à rude épreuve quand ils découvrent un cadavre chez eux… un cadavre qui possédait une valise pleine à craquer de billets de banque.
Le premier film de Danny Boyle a déjà les accents punks et l’énergie folle de "Trainspotting" ! Servi par un trio d’exception, il livre une savoureuse fable immorale, aux accents hitchcockiens (se débarrasser d’un corps) servie avec une bonne dose d’humour so british (et donc, très noir) !
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
Que peuvent offrir les États-Unis à László Tóth, émigrant hongrois rescapé des camps et architecte de génie ? Tout, lui fera-t-on croire…
Le film arrive précédé de sa réputation : la monumentalité des bâtiments érigés par Tóth répond à la monumentalité du film, Adrian Brody livre la prestation de sa carrière… Mais ce dont il faudrait surtout parler, c’est de la violence des rapports de classe et du portrait cinglant de cette terre de liberté, où l’artiste doit apprendre à se frayer un chemin, sous peine d’être écrasé.
Abu Leïla, ancien juge devenu, par la force des choses, chauffeur de taxi, veut rentrer tôt pour célébrer les 7 ans de sa fille. Mais il est bien difficile de deviner comment se déroulera sa journée !
Le taxi devient un microcosme de la société palestinienne, filmée avec humour. Fervent défenseur du droit, Abu Leïla doit faire face aux contradictions de ses contemporains, alors que la guerre affleure par instant.
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
Simon est fasciné par Ariane, une jeune femme qui habite chez lui et dont la vie reste cependant un mystère. Un mystère qu’il veut percer à tout prix…
De Proust, dont elle adapte La Prisonnière, Chantal Akerman rend à merveille le paradoxe du désir de possession : la dérobade de l’autre ne le rend que plus désirable, et une apparente acceptation ne peut que dissimuler un secret. Dans un Paris devenu labyrinthe, Simon en vient à se perdre, comme il s’égare dans les affres de la jalousie qui peu à peu emplit, devient son existence.
Izzeldin Abuelaish a beaucoup perdu dans la guerre : des membres de sa famille, son pays, ce qui faisait sa vie. Pourtant, ce médecin, nominé plusieurs fois au Prix Nobel de la Paix, refuse de s’abandonner à la haine et au désespoir. Sa lutte pour la paix est au centre de ce film, qui le suit dans un monde de plus en plus bouleversé.
C'est l'histoire de deux frères qui viennent à peine de se connaître, mais que tout oppose. Le premier est un chef d'orchestre mondialement connu, l'autre travaille dans une cantine. Mais une chose les réunit : leur amour immodéré de la musique.
Succès surprise de cette fin d'année, En fanfare parvient à mêler comédie et film social. Grâce à des personnages attachants et à une histoire qui évite bien des clichés, le film réussit à déjouer les attentes et réjouit les cœurs !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Petite salle
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Dans "Qui Voilà ?" et "Coucou nous voilà", on suivait avec bonheur les aventures de Nounourse, Cochonou et leurs ami.es. Dans ces huit nouvelles histoires, on découvre que nos petits héros et héroïnes ont bien grandi, et qu'ils et elles ont aussi des enfants !
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Grande salle
France, années 1990. Alors qu'Amel lutte chaque jour contre les préjugés qui entourent ses origines arabes, sa fille Mouna voit apparaître un curieux Charles Martel dans son existence… Des petits combats en apparence frivoles d'Amel, aux angoisses enfantines les plus loufoques de Mouna, c’est finalement la lutte pour une dignité de son histoire sans cesse reconsidérée que la réalisatrice met en exergue.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
Trois coloc’ très complices sont à la recherche d’un quatrième larron pour partager leur appartement. Mais leur bonne humeur va être mise à rude épreuve quand ils découvrent un cadavre chez eux… un cadavre qui possédait une valise pleine à craquer de billets de banque.
Le premier film de Danny Boyle a déjà les accents punks et l’énergie folle de "Trainspotting" ! Servi par un trio d’exception, il livre une savoureuse fable immorale, aux accents hitchcockiens (se débarrasser d’un corps) servie avec une bonne dose d’humour so british (et donc, très noir) !
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Petite salle
Que peuvent offrir les États-Unis à László Tóth, émigrant hongrois rescapé des camps et architecte de génie ? Tout, lui fera-t-on croire…
Le film arrive précédé de sa réputation : la monumentalité des bâtiments érigés par Tóth répond à la monumentalité du film, Adrian Brody livre la prestation de sa carrière… Mais ce dont il faudrait surtout parler, c’est de la violence des rapports de classe et du portrait cinglant de cette terre de liberté, où l’artiste doit apprendre à se frayer un chemin, sous peine d’être écrasé.
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Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Que peuvent offrir les États-Unis à László Tóth, émigrant hongrois rescapé des camps et architecte de génie ? Tout, lui fera-t-on croire…
Le film arrive précédé de sa réputation : la monumentalité des bâtiments érigés par Tóth répond à la monumentalité du film, Adrian Brody livre la prestation de sa carrière… Mais ce dont il faudrait surtout parler, c’est de la violence des rapports de classe et du portrait cinglant de cette terre de liberté, où l’artiste doit apprendre à se frayer un chemin, sous peine d’être écrasé.
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Grande salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Grande salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
Abu Leïla, ancien juge devenu, par la force des choses, chauffeur de taxi, veut rentrer tôt pour célébrer les 7 ans de sa fille. Mais il est bien difficile de deviner comment se déroulera sa journée !
Le taxi devient un microcosme de la société palestinienne, filmée avec humour. Fervent défenseur du droit, Abu Leïla doit faire face aux contradictions de ses contemporains, alors que la guerre affleure par instant.
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
France, années 1990. Alors qu'Amel lutte chaque jour contre les préjugés qui entourent ses origines arabes, sa fille Mouna voit apparaître un curieux Charles Martel dans son existence… Des petits combats en apparence frivoles d'Amel, aux angoisses enfantines les plus loufoques de Mouna, c’est finalement la lutte pour une dignité de son histoire sans cesse reconsidérée que la réalisatrice met en exergue.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Grande salle
Dans "Qui Voilà ?" et "Coucou nous voilà", on suivait avec bonheur les aventures de Nounourse, Cochonou et leurs ami.es. Dans ces huit nouvelles histoires, on découvre que nos petits héros et héroïnes ont bien grandi, et qu'ils et elles ont aussi des enfants !
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Petite salle
Que peuvent offrir les États-Unis à László Tóth, émigrant hongrois rescapé des camps et architecte de génie ? Tout, lui fera-t-on croire…
Le film arrive précédé de sa réputation : la monumentalité des bâtiments érigés par Tóth répond à la monumentalité du film, Adrian Brody livre la prestation de sa carrière… Mais ce dont il faudrait surtout parler, c’est de la violence des rapports de classe et du portrait cinglant de cette terre de liberté, où l’artiste doit apprendre à se frayer un chemin, sous peine d’être écrasé.
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Petite salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Grande salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Grande salle
Après avoir fui la guerre à Alep, Dounia et ses grands-parents vivent de nouvelles aventures au pays des grands arbres et de la neige : le Canada !
Un nouvel environnement auquel Dounia devra s'accoutumer, tout en gardant dans son cœur l'espoir de retrouver son père.
Une animation toujours aussi riche en émotions et en humanité, qui guide le pas de la petite fille aux cheveux étoilés, à travers de magnifiques paysages enneigés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Dans "Qui Voilà ?" et "Coucou nous voilà", on suivait avec bonheur les aventures de Nounourse, Cochonou et leurs ami.es. Dans ces huit nouvelles histoires, on découvre que nos petits héros et héroïnes ont bien grandi, et qu'ils et elles ont aussi des enfants !
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Petite salle
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Petite salle
Simon est fasciné par Ariane, une jeune femme qui habite chez lui et dont la vie reste cependant un mystère. Un mystère qu’il veut percer à tout prix…
De Proust, dont elle adapte La Prisonnière, Chantal Akerman rend à merveille le paradoxe du désir de possession : la dérobade de l’autre ne le rend que plus désirable, et une apparente acceptation ne peut que dissimuler un secret. Dans un Paris devenu labyrinthe, Simon en vient à se perdre, comme il s’égare dans les affres de la jalousie qui peu à peu emplit, devient son existence.
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Grande salle
France, années 1990. Alors qu'Amel lutte chaque jour contre les préjugés qui entourent ses origines arabes, sa fille Mouna voit apparaître un curieux Charles Martel dans son existence… Des petits combats en apparence frivoles d'Amel, aux angoisses enfantines les plus loufoques de Mouna, c’est finalement la lutte pour une dignité de son histoire sans cesse reconsidérée que la réalisatrice met en exergue.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Grande salle
France, années 1990. Alors qu'Amel lutte chaque jour contre les préjugés qui entourent ses origines arabes, sa fille Mouna voit apparaître un curieux Charles Martel dans son existence… Des petits combats en apparence frivoles d'Amel, aux angoisses enfantines les plus loufoques de Mouna, c’est finalement la lutte pour une dignité de son histoire sans cesse reconsidérée que la réalisatrice met en exergue.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Que peuvent offrir les États-Unis à László Tóth, émigrant hongrois rescapé des camps et architecte de génie ? Tout, lui fera-t-on croire…
Le film arrive précédé de sa réputation : la monumentalité des bâtiments érigés par Tóth répond à la monumentalité du film, Adrian Brody livre la prestation de sa carrière… Mais ce dont il faudrait surtout parler, c’est de la violence des rapports de classe et du portrait cinglant de cette terre de liberté, où l’artiste doit apprendre à se frayer un chemin, sous peine d’être écrasé.
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Grande salle
Izzeldin Abuelaish a beaucoup perdu dans la guerre : des membres de sa famille, son pays, ce qui faisait sa vie. Pourtant, ce médecin, nominé plusieurs fois au Prix Nobel de la Paix, refuse de s’abandonner à la haine et au désespoir. Sa lutte pour la paix est au centre de ce film, qui le suit dans un monde de plus en plus bouleversé.
France, années 1990. Alors qu'Amel lutte chaque jour contre les préjugés qui entourent ses origines arabes, sa fille Mouna voit apparaître un curieux Charles Martel dans son existence… Des petits combats en apparence frivoles d'Amel, aux angoisses enfantines les plus loufoques de Mouna, c’est finalement la lutte pour une dignité de son histoire sans cesse reconsidérée que la réalisatrice met en exergue.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
C'est l'histoire de deux frères qui viennent à peine de se connaître, mais que tout oppose. Le premier est un chef d'orchestre mondialement connu, l'autre travaille dans une cantine. Mais une chose les réunit : leur amour immodéré de la musique.
Succès surprise de cette fin d'année, En fanfare parvient à mêler comédie et film social. Grâce à des personnages attachants et à une histoire qui évite bien des clichés, le film réussit à déjouer les attentes et réjouit les cœurs !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Simon est fasciné par Ariane, une jeune femme qui habite chez lui et dont la vie reste cependant un mystère. Un mystère qu’il veut percer à tout prix…
De Proust, dont elle adapte La Prisonnière, Chantal Akerman rend à merveille le paradoxe du désir de possession : la dérobade de l’autre ne le rend que plus désirable, et une apparente acceptation ne peut que dissimuler un secret. Dans un Paris devenu labyrinthe, Simon en vient à se perdre, comme il s’égare dans les affres de la jalousie qui peu à peu emplit, devient son existence.
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Grande salle
Cela fait des années que les habitant.es de Covas do Barroso se battent contre le projet d'implantation d'une mine de lithium. Le réalisateur Paulo Carneiro a travaillé avec elles et eux pour reconstituer cette lutte, dans un film aussi inventif qu'élégant, et qui f init même par prendre des allures de western particulièrement réjouissant.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage Uma casa portuguesa (Hortense Prouhèze, 4 min) :
- Jeudi 27 à 20h30
- Vendredi 28 à 18h
- Samedi 29 à 15h30
- Dimanche 30 à 19h15
- Lundi 31 à 20h30
- Mardi 1er à 17h
- Mercredi 2 à 14h
- Jeudi 3 à 14h30
- Vendredi 4 à 18h15
- Samedi 5 à 19h
- Dimanche 6 à 17h15
- Lundi 7 à 17h30
- Mardi 8 à 21h
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Petite salle
Tous les films du mercredi 09 au mardi 15 (semaine 202515)
Quelle joie d’aller au fil de l’eau !
De la goutte d’eau à la mer, en passant par les méandres des fleuves, les personnages de ces films nous entraînent dans leurs aventures, qu’on soit marin d’eau douce ou vieux briscard.
L’eau dans tous ses états, dans ces films d’animation aussi doux que poétiques ! On dérive avec plaisir en compagnie de personnages attachants à l’esprit téméraire et à la curiosité aiguisée !
La réputation de Katia Reiter, éminente volcanologue en Guadeloupe, n’est plus à faire. Alors que des mouvements volcaniques inquiètent la population, elle est certaine de pouvoir garder le contrôle – jusqu'à l’entêtement ? De sentiers blancs ensoleillés en ascensions noires et rocailleuses, Cyprien Vial laisse le doute s’immiscer par tous les chemins, questionnant au passage notre rapport à l'autorité, que celle-ci soit politique ou scientifique. C’est là le joli tour de force de Magma, où l’on ne sait jamais si l’explosion jaillira de la terre, ou bien de l’humain.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Paddington, petit ourson né au Pérou, découvre pour la première fois Londres, la ville de ses rêves. Mais qui pourra l’aider à trouver sa place dans ce pays pluvieux qu’il ne connaît pas ?
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Quatre copines chinoises travaillent dans un salon de massage à New York, le Blue Sun Palace. Un événement inattendu va faire basculer l’équilibre de ce microcosme. Le premier long métrage de Constance Tsang distille une douce mélancolie, interrogeant la perte et l’exil, les espoirs et les déceptions de ses personnages, saisi.es dans des plan séquences qui jouent à merveille avec cet espace restreint du salon de massage à la fois rassurant et étouffant.
Chantal Akerman rencontre hommes, femmes et adolescents qui tentent de passer de l'autre côté de la frontière qui sépare le Mexique des États-Unis.
Jeune journaliste, Shiori Ito s’est lancée, durant 8 ans, dans une bataille judiciaire où l’inacceptable s’est mêlé au grotesque : la jeune femme a tout fait pour faire condamner un fameux journaliste qui a abusé d’elle. Documentant elle-même son combat, Shiori Ito propose un film à la forme hybride qui nous fait suivre sur le temps long un calvaire. Black Box Diaries émeut devant le courage d’une jeune femme qu’on voit mûrir et perdre bien des illusions, et captive par des retournements de situation dignes d’un thriller.
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
Ce mois-ci dans le Grand-ciné club, on a voulu parler représentation des classes sociales dans la comédie populaire. Parce qu'on parle pas que de frites dans les Tuche !
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
Mizore est timide, tandis que son amie Nozomi se fait facilement des amies. Toutes deux font partie du même orchestre, et doivent travailler une partition pour un concours intitulée « Liz et l'Oiseau bleu. » Entre le conte et leur vie réelle, les frontières se brouillent… Avec ce récit initiatique, Yamada explore la complexité d’une amitié adolescente à l’heure des choix. Entre le rire et la jalousie, la bienveillance et la dépendance, les deux amies devront apprendre à gagner en autonomie et à accepter la liberté de chacune.
Anna est une adolescente solitaire qui a perdu ses parents. Un jour, son chemin croise celui d'une autre jeune fille, blonde et mystérieuse, comme tout droit sortie d'un ancien monde : Marnie. Entre elles se nouera une grande amitié et une fascination qui ouvrira à Anna les portes d'un autre univers. Signé par les Studios Ghibli, Souvenirs de Marnie se fait l'écho d'une mélancolie adolescente, mêlant imagination et réalité, poésie et prosaïsme pour mieux aborder le passage à l'âge adulte.
Atteinte d’un cancer en phase terminale, Marie décide de ne pas se battre contre la maladie. Mais comment annoncer la nouvelle à son fils et sa petite fille ? Accompagnée d’un auxiliaire un brin magouilleur, ce road trip vers la Suisse pourrait s’avérer l’occasion rêvée ! Rarement un film sur la fin de vie aura dégagé autant de joie de vivre ! À travers une galerie de personnages tout à la fois plus atterrants et attachants, Enya Baroux livre une définition sincère et émouvante du « faire famille ».
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Quand Yuma, jeune garçon passionné par l'espace, fait la connaissance d'un être intelligent venu du ciel et coincé sur Terre, sa vie en est chamboulée ! Commence alors une formidable aventure pour ces deux nouveaux amis, qui les mènera aux confins du monde connu, vers les mystères de l'univers. Fans de science-fiction et de technologie, cet animé est fait pour vous, avec tous les ingrédients du genre : robot, intelligence artificielle et planètes inconnues ! Un film qui fait la part belle à l'amitié et à l'action, et invente en permanence de nouveaux mondes surprenants.
Samira et ses quatre sœurs ont l’habitude d’appeler leur mère « ta mère ». Une manière de se distancier de cette femme parfois douloureuse, qui a quitté une terre natale qu’elle regrettera toute sa vie ? Prenant la caméra, la réalisatrice cherche à dire la famille, sa famille. Si la parole de ses sœurs est libre, celle de sa mère achoppe. Le geste de cinéma sera alors, enfin, de parvenir à entendre ce que Yuma a à dire et comprendre ce qu’elle a transmis malgré tout.
Les petits formats sont aussi à l'honneur, avec deux programmes de courts métrages sélectionnés dans le cadre du Festival ! Et on commence avec la thématique Exils intimes !
A l'issue de la séance, le public sera invité à voter pour son court-métrage favori !
Au programme :
Rentrons
de Nasser Bessalah
France - 2024 - 0h24 - VOSTFR - Comédie
Dans un village des montagnes Béjaouï, au nord de l’Algérie, Nouria rencontre Abdel, un Français qui vit et travaille dans ce pays. À la suite d'un pari perdu, les deux jeunes gens
prennent la route à mobylette le long de la côte méditerranéenne. Leur but : embarquer sur un bateau qui les ramènera en France.
Dawn Every Day
de Amir Youssef
Egypte - 2024 - 0h20 - VOSTFR - Drame
Dans les années 1950, la société cosmopolite en Égypte est perturbée par le conflit entre les nationalistes et les puissances coloniales, affectant les citoyens et résidents aux affiliations étrangères, notamment les Européens, les Syro-Libanais et les Juifs égyptiens.
Au milieu de ce tumulte, Nabil, âgé de 8 ans, tente de s’adapter à de nouvelles normes sociales qu’il ne comprend pas. Cette histoire est inspirée de personnes et d'événements réels.
Lumière d’Hiver
de Emna Mrabet
Tunisie - 2024 - 0h10 - VOSTFR - Documentaire
A la fois intime et politique, ce film retrace, à la première personne, la trajectoire vertigineuse et indélébile de l'exil. L'évocation du passé colonial permet de juxtaposer diverses temporalités et révèle un portrait intense, hétéroclite et bariolé de la Tunisie contemporaine et postrévolutionnaire.
Upshot
de Maha Haj
Palestine - 2024 - 0h32 - VOSTFR - Fiction
Suleiman et Mona forment un couple menant une vie solitaire, consacrée au soin des animaux et des arbres, ponctuée de discussions animées sur les choix de vie de leurs enfants. Cependant, un jour, leur routine est bouleversée par l’arrivée d’un inconnu, ravivant le souvenir d’un passé douloureux.
Dans le cadre du Panorama des Cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient
Les petits formats sont aussi à l'honneur, avec deux programmes de courts métrages sélectionnés dans le cadre du Festival ! Et on continue avec la thématique Corps en révolte !
A l'issue de la séance, le public sera invité à voter pour son court-métrage favori !
Au programme
Rai Rayi
de Walid Cheikh
Algérie - 2024 - 0h26 - VOSTFR - Documentaire
L’amitié, la créativité, l'authenticité et la liberté de penser et d’expression, comment ces valeurs peuvent être des sources d'inspiration et de force dans nos vies.
Tunnel
de Myra Zbib
Liban - 2024 - 0h03 - VOSTFR - Fiction
À travers une lettre intime au monde, une femme explore son rapport conflictuel à son pays : dans un Liban en perpétuel chaos, où la guerre semble être une fatalité, quelle est la place de l’individu ? Comment exister sans céder au silence ? Tunnel interroge les traumatismes personnels et collectifs, l’identité et le désespoir existentiel. Ce film questionne la douleur – la nôtre et celle des autres – et le lien fragile qui nous unit à travers des expériences et des réalités différentes.
Clouds
de Paul Decerisy
France, Pays-Bas - 2024 - 0h12 - VOSTFR - Fiction
یمغ « - clouds » présente trois perspectives de caméra, offrant une vue d'ensemble de
l'espace de performance, des gros plans permettent de voir plus en profondeur le processus que Ghenwa et Hala traversent.
Chikha
de Ayoub Layoussifi et Zahoua Raji
Maroc - 2024 - 25 min - VOSTFR - Fiction
1994. Azemmour, Maroc. Fatine, jeune fille de 17 ans, vit avec sa mère Nadia, chikha de métier, ainsi que son grand-père Hamid. Bac en poche, Fatine est tiraillée entre deux voies opposées : soit perpétuer la tradition artistique familiale, soit mener une vie plus rangée avec son amoureux Youssef, qui dénigre son héritage artistique sulfureux. Tout aussi éprise de Youssef que concernée par le patrimoine artistique de l’Aïta, Fatine doit choisir la direction à donner à sa vie pour s’accomplir. Un ultimatum imprévu l’oblige à prendre une décision radicale.
Les Jours Gris
de Abir Fathouni
Maroc - 2024 - 0h19 - VOSTFR - Fiction
Le quotidien répétitif d'un salarié, jusqu'au jour où il décide de se libérer de sa routine et des pressions du travail et de vivre une journée sans planification, sans restriction et avec folie.
Warsha
de Dania Bdeir
Liban - 2021 - 0h15 - VOSTFR - Fiction
Mohammad travaille sur un chantier de construction à Beyrouth. Ce jour-là, quelque chose le pousse à se porter volontaire pour conduire la grue la plus haute et la plus dangereuse du Liban.
Janet Frame, issue d’un milieu ouvrier, se distingue très tôt par ses dons littéraires et son goût pour la poésie. Lorsqu’elle étudiait à l’université avec le rêve de devenir enseignante, elle fut arbitrairement internée en hôpital psychiatrique.
Ce film retrace la vie de l’autrice dans un biopic fascinant. An Angel At My Table permet de découvrir le destin d’une artiste qui ne cessa de se battre au quotidien.
Quelle joie d’aller au fil de l’eau !
De la goutte d’eau à la mer, en passant par les méandres des fleuves, les personnages de ces films nous entraînent dans leurs aventures, qu’on soit marin d’eau douce ou vieux briscard.
L’eau dans tous ses états, dans ces films d’animation aussi doux que poétiques ! On dérive avec plaisir en compagnie de personnages attachants à l’esprit téméraire et à la curiosité aiguisée !
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Grande salle
La réputation de Katia Reiter, éminente volcanologue en Guadeloupe, n’est plus à faire. Alors que des mouvements volcaniques inquiètent la population, elle est certaine de pouvoir garder le contrôle – jusqu'à l’entêtement ? De sentiers blancs ensoleillés en ascensions noires et rocailleuses, Cyprien Vial laisse le doute s’immiscer par tous les chemins, questionnant au passage notre rapport à l'autorité, que celle-ci soit politique ou scientifique. C’est là le joli tour de force de Magma, où l’on ne sait jamais si l’explosion jaillira de la terre, ou bien de l’humain.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Paddington, petit ourson né au Pérou, découvre pour la première fois Londres, la ville de ses rêves. Mais qui pourra l’aider à trouver sa place dans ce pays pluvieux qu’il ne connaît pas ?
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Quatre copines chinoises travaillent dans un salon de massage à New York, le Blue Sun Palace. Un événement inattendu va faire basculer l’équilibre de ce microcosme. Le premier long métrage de Constance Tsang distille une douce mélancolie, interrogeant la perte et l’exil, les espoirs et les déceptions de ses personnages, saisi.es dans des plan séquences qui jouent à merveille avec cet espace restreint du salon de massage à la fois rassurant et étouffant.
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Petite salle
Chantal Akerman rencontre hommes, femmes et adolescents qui tentent de passer de l'autre côté de la frontière qui sépare le Mexique des États-Unis.
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Grande salle
Jeune journaliste, Shiori Ito s’est lancée, durant 8 ans, dans une bataille judiciaire où l’inacceptable s’est mêlé au grotesque : la jeune femme a tout fait pour faire condamner un fameux journaliste qui a abusé d’elle. Documentant elle-même son combat, Shiori Ito propose un film à la forme hybride qui nous fait suivre sur le temps long un calvaire. Black Box Diaries émeut devant le courage d’une jeune femme qu’on voit mûrir et perdre bien des illusions, et captive par des retournements de situation dignes d’un thriller.
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Grande salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
Ce mois-ci dans le Grand-ciné club, on a voulu parler représentation des classes sociales dans la comédie populaire. Parce qu'on parle pas que de frites dans les Tuche !
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Grande salle
La réputation de Katia Reiter, éminente volcanologue en Guadeloupe, n’est plus à faire. Alors que des mouvements volcaniques inquiètent la population, elle est certaine de pouvoir garder le contrôle – jusqu'à l’entêtement ? De sentiers blancs ensoleillés en ascensions noires et rocailleuses, Cyprien Vial laisse le doute s’immiscer par tous les chemins, questionnant au passage notre rapport à l'autorité, que celle-ci soit politique ou scientifique. C’est là le joli tour de force de Magma, où l’on ne sait jamais si l’explosion jaillira de la terre, ou bien de l’humain.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Grande salle
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
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Petite salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
Mizore est timide, tandis que son amie Nozomi se fait facilement des amies. Toutes deux font partie du même orchestre, et doivent travailler une partition pour un concours intitulée « Liz et l'Oiseau bleu. » Entre le conte et leur vie réelle, les frontières se brouillent… Avec ce récit initiatique, Yamada explore la complexité d’une amitié adolescente à l’heure des choix. Entre le rire et la jalousie, la bienveillance et la dépendance, les deux amies devront apprendre à gagner en autonomie et à accepter la liberté de chacune.
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Grande salle
Anna est une adolescente solitaire qui a perdu ses parents. Un jour, son chemin croise celui d'une autre jeune fille, blonde et mystérieuse, comme tout droit sortie d'un ancien monde : Marnie. Entre elles se nouera une grande amitié et une fascination qui ouvrira à Anna les portes d'un autre univers. Signé par les Studios Ghibli, Souvenirs de Marnie se fait l'écho d'une mélancolie adolescente, mêlant imagination et réalité, poésie et prosaïsme pour mieux aborder le passage à l'âge adulte.
Atteinte d’un cancer en phase terminale, Marie décide de ne pas se battre contre la maladie. Mais comment annoncer la nouvelle à son fils et sa petite fille ? Accompagnée d’un auxiliaire un brin magouilleur, ce road trip vers la Suisse pourrait s’avérer l’occasion rêvée ! Rarement un film sur la fin de vie aura dégagé autant de joie de vivre ! À travers une galerie de personnages tout à la fois plus atterrants et attachants, Enya Baroux livre une définition sincère et émouvante du « faire famille ».
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Quand Yuma, jeune garçon passionné par l'espace, fait la connaissance d'un être intelligent venu du ciel et coincé sur Terre, sa vie en est chamboulée ! Commence alors une formidable aventure pour ces deux nouveaux amis, qui les mènera aux confins du monde connu, vers les mystères de l'univers. Fans de science-fiction et de technologie, cet animé est fait pour vous, avec tous les ingrédients du genre : robot, intelligence artificielle et planètes inconnues ! Un film qui fait la part belle à l'amitié et à l'action, et invente en permanence de nouveaux mondes surprenants.
Atteinte d’un cancer en phase terminale, Marie décide de ne pas se battre contre la maladie. Mais comment annoncer la nouvelle à son fils et sa petite fille ? Accompagnée d’un auxiliaire un brin magouilleur, ce road trip vers la Suisse pourrait s’avérer l’occasion rêvée ! Rarement un film sur la fin de vie aura dégagé autant de joie de vivre ! À travers une galerie de personnages tout à la fois plus atterrants et attachants, Enya Baroux livre une définition sincère et émouvante du « faire famille ».
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Quelle joie d’aller au fil de l’eau !
De la goutte d’eau à la mer, en passant par les méandres des fleuves, les personnages de ces films nous entraînent dans leurs aventures, qu’on soit marin d’eau douce ou vieux briscard.
L’eau dans tous ses états, dans ces films d’animation aussi doux que poétiques ! On dérive avec plaisir en compagnie de personnages attachants à l’esprit téméraire et à la curiosité aiguisée !
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Petite salle
Paddington, petit ourson né au Pérou, découvre pour la première fois Londres, la ville de ses rêves. Mais qui pourra l’aider à trouver sa place dans ce pays pluvieux qu’il ne connaît pas ?
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
Samira et ses quatre sœurs ont l’habitude d’appeler leur mère « ta mère ». Une manière de se distancier de cette femme parfois douloureuse, qui a quitté une terre natale qu’elle regrettera toute sa vie ? Prenant la caméra, la réalisatrice cherche à dire la famille, sa famille. Si la parole de ses sœurs est libre, celle de sa mère achoppe. Le geste de cinéma sera alors, enfin, de parvenir à entendre ce que Yuma a à dire et comprendre ce qu’elle a transmis malgré tout.
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
Les petits formats sont aussi à l'honneur, avec deux programmes de courts métrages sélectionnés dans le cadre du Festival ! Et on commence avec la thématique Exils intimes !
A l'issue de la séance, le public sera invité à voter pour son court-métrage favori !
Au programme :
Rentrons
de Nasser Bessalah
France - 2024 - 0h24 - VOSTFR - Comédie
Dans un village des montagnes Béjaouï, au nord de l’Algérie, Nouria rencontre Abdel, un Français qui vit et travaille dans ce pays. À la suite d'un pari perdu, les deux jeunes gens
prennent la route à mobylette le long de la côte méditerranéenne. Leur but : embarquer sur un bateau qui les ramènera en France.
Dawn Every Day
de Amir Youssef
Egypte - 2024 - 0h20 - VOSTFR - Drame
Dans les années 1950, la société cosmopolite en Égypte est perturbée par le conflit entre les nationalistes et les puissances coloniales, affectant les citoyens et résidents aux affiliations étrangères, notamment les Européens, les Syro-Libanais et les Juifs égyptiens.
Au milieu de ce tumulte, Nabil, âgé de 8 ans, tente de s’adapter à de nouvelles normes sociales qu’il ne comprend pas. Cette histoire est inspirée de personnes et d'événements réels.
Lumière d’Hiver
de Emna Mrabet
Tunisie - 2024 - 0h10 - VOSTFR - Documentaire
A la fois intime et politique, ce film retrace, à la première personne, la trajectoire vertigineuse et indélébile de l'exil. L'évocation du passé colonial permet de juxtaposer diverses temporalités et révèle un portrait intense, hétéroclite et bariolé de la Tunisie contemporaine et postrévolutionnaire.
Upshot
de Maha Haj
Palestine - 2024 - 0h32 - VOSTFR - Fiction
Suleiman et Mona forment un couple menant une vie solitaire, consacrée au soin des animaux et des arbres, ponctuée de discussions animées sur les choix de vie de leurs enfants. Cependant, un jour, leur routine est bouleversée par l’arrivée d’un inconnu, ravivant le souvenir d’un passé douloureux.
Dans le cadre du Panorama des Cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient
Les petits formats sont aussi à l'honneur, avec deux programmes de courts métrages sélectionnés dans le cadre du Festival ! Et on continue avec la thématique Corps en révolte !
A l'issue de la séance, le public sera invité à voter pour son court-métrage favori !
Au programme
Rai Rayi
de Walid Cheikh
Algérie - 2024 - 0h26 - VOSTFR - Documentaire
L’amitié, la créativité, l'authenticité et la liberté de penser et d’expression, comment ces valeurs peuvent être des sources d'inspiration et de force dans nos vies.
Tunnel
de Myra Zbib
Liban - 2024 - 0h03 - VOSTFR - Fiction
À travers une lettre intime au monde, une femme explore son rapport conflictuel à son pays : dans un Liban en perpétuel chaos, où la guerre semble être une fatalité, quelle est la place de l’individu ? Comment exister sans céder au silence ? Tunnel interroge les traumatismes personnels et collectifs, l’identité et le désespoir existentiel. Ce film questionne la douleur – la nôtre et celle des autres – et le lien fragile qui nous unit à travers des expériences et des réalités différentes.
Clouds
de Paul Decerisy
France, Pays-Bas - 2024 - 0h12 - VOSTFR - Fiction
یمغ « - clouds » présente trois perspectives de caméra, offrant une vue d'ensemble de
l'espace de performance, des gros plans permettent de voir plus en profondeur le processus que Ghenwa et Hala traversent.
Chikha
de Ayoub Layoussifi et Zahoua Raji
Maroc - 2024 - 25 min - VOSTFR - Fiction
1994. Azemmour, Maroc. Fatine, jeune fille de 17 ans, vit avec sa mère Nadia, chikha de métier, ainsi que son grand-père Hamid. Bac en poche, Fatine est tiraillée entre deux voies opposées : soit perpétuer la tradition artistique familiale, soit mener une vie plus rangée avec son amoureux Youssef, qui dénigre son héritage artistique sulfureux. Tout aussi éprise de Youssef que concernée par le patrimoine artistique de l’Aïta, Fatine doit choisir la direction à donner à sa vie pour s’accomplir. Un ultimatum imprévu l’oblige à prendre une décision radicale.
Les Jours Gris
de Abir Fathouni
Maroc - 2024 - 0h19 - VOSTFR - Fiction
Le quotidien répétitif d'un salarié, jusqu'au jour où il décide de se libérer de sa routine et des pressions du travail et de vivre une journée sans planification, sans restriction et avec folie.
Warsha
de Dania Bdeir
Liban - 2021 - 0h15 - VOSTFR - Fiction
Mohammad travaille sur un chantier de construction à Beyrouth. Ce jour-là, quelque chose le pousse à se porter volontaire pour conduire la grue la plus haute et la plus dangereuse du Liban.
Paddington, petit ourson né au Pérou, découvre pour la première fois Londres, la ville de ses rêves. Mais qui pourra l’aider à trouver sa place dans ce pays pluvieux qu’il ne connaît pas ?
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
Janet Frame, issue d’un milieu ouvrier, se distingue très tôt par ses dons littéraires et son goût pour la poésie. Lorsqu’elle étudiait à l’université avec le rêve de devenir enseignante, elle fut arbitrairement internée en hôpital psychiatrique.
Ce film retrace la vie de l’autrice dans un biopic fascinant. An Angel At My Table permet de découvrir le destin d’une artiste qui ne cessa de se battre au quotidien.
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
Quatre copines chinoises travaillent dans un salon de massage à New York, le Blue Sun Palace. Un événement inattendu va faire basculer l’équilibre de ce microcosme. Le premier long métrage de Constance Tsang distille une douce mélancolie, interrogeant la perte et l’exil, les espoirs et les déceptions de ses personnages, saisi.es dans des plan séquences qui jouent à merveille avec cet espace restreint du salon de massage à la fois rassurant et étouffant.
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Petite salle
Jeune journaliste, Shiori Ito s’est lancée, durant 8 ans, dans une bataille judiciaire où l’inacceptable s’est mêlé au grotesque : la jeune femme a tout fait pour faire condamner un fameux journaliste qui a abusé d’elle. Documentant elle-même son combat, Shiori Ito propose un film à la forme hybride qui nous fait suivre sur le temps long un calvaire. Black Box Diaries émeut devant le courage d’une jeune femme qu’on voit mûrir et perdre bien des illusions, et captive par des retournements de situation dignes d’un thriller.
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Grande salle
Quatre copines chinoises travaillent dans un salon de massage à New York, le Blue Sun Palace. Un événement inattendu va faire basculer l’équilibre de ce microcosme. Le premier long métrage de Constance Tsang distille une douce mélancolie, interrogeant la perte et l’exil, les espoirs et les déceptions de ses personnages, saisi.es dans des plan séquences qui jouent à merveille avec cet espace restreint du salon de massage à la fois rassurant et étouffant.
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Petite salle
Paddington, petit ourson né au Pérou, découvre pour la première fois Londres, la ville de ses rêves. Mais qui pourra l’aider à trouver sa place dans ce pays pluvieux qu’il ne connaît pas ?
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Atteinte d’un cancer en phase terminale, Marie décide de ne pas se battre contre la maladie. Mais comment annoncer la nouvelle à son fils et sa petite fille ? Accompagnée d’un auxiliaire un brin magouilleur, ce road trip vers la Suisse pourrait s’avérer l’occasion rêvée ! Rarement un film sur la fin de vie aura dégagé autant de joie de vivre ! À travers une galerie de personnages tout à la fois plus atterrants et attachants, Enya Baroux livre une définition sincère et émouvante du « faire famille ».
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Jeune journaliste, Shiori Ito s’est lancée, durant 8 ans, dans une bataille judiciaire où l’inacceptable s’est mêlé au grotesque : la jeune femme a tout fait pour faire condamner un fameux journaliste qui a abusé d’elle. Documentant elle-même son combat, Shiori Ito propose un film à la forme hybride qui nous fait suivre sur le temps long un calvaire. Black Box Diaries émeut devant le courage d’une jeune femme qu’on voit mûrir et perdre bien des illusions, et captive par des retournements de situation dignes d’un thriller.
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Grande salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Petite salle
La réputation de Katia Reiter, éminente volcanologue en Guadeloupe, n’est plus à faire. Alors que des mouvements volcaniques inquiètent la population, elle est certaine de pouvoir garder le contrôle – jusqu'à l’entêtement ? De sentiers blancs ensoleillés en ascensions noires et rocailleuses, Cyprien Vial laisse le doute s’immiscer par tous les chemins, questionnant au passage notre rapport à l'autorité, que celle-ci soit politique ou scientifique. C’est là le joli tour de force de Magma, où l’on ne sait jamais si l’explosion jaillira de la terre, ou bien de l’humain.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Grande salle
Paddington, petit ourson né au Pérou, découvre pour la première fois Londres, la ville de ses rêves. Mais qui pourra l’aider à trouver sa place dans ce pays pluvieux qu’il ne connaît pas ?
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
L’été approche. C’est la saison des au revoir pour un groupe d’amis, internes dans un lycée de Die. Guillaume Brac capture ces moments intenses, où tout bascule. Toujours à bonne distance de ces jeunes gens, qu’il filme avec tendresse, le réalisateur de À l’abordage sait à merveille saisir les liens complexes qui unissent ceux et celles qui se sont adoptés, et qui partagent une intimité qui se passe de mots. Au sein de ce groupe, chacun et chacune apprend à dire aussi ses failles et ses peurs, la crainte de ce qu’on a de noir en nous. Et le résultat est un film aussi mélancolique que solaire.
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Petite salle
Pansy est en colère contre tout le monde, tout le temps. Son entourage est à bout, et elle-même ne sait plus que faire de cette rage qui la submerge. Sa sœur, Chantelle, parviendra-t-elle à trouver le moyen de la rendre à elle-même et au monde ?
Mike Leigh donne à Marianne Jean-Baptiste, déjà présente dans Secrets et Mensonges, un rôle où elle déverse toute son énergie, et souvent son humour ! Le réalisateur représente une communauté noire bien peu montrée dans le cinéma britannique contemporain, et compose un bouleversant portrait de famille, où chaque personnage est traversé par une vie intense.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage A SINGLE LIFE (Job Roggeveen, Joris Oprins, Marieke Blaauw, 2'18) :
- Mercredi 2 à 20h30
- Jeudi 3 à 16h15
- Vendredi 4 à 20h30
- Samedi 5 à 17h
- Dimanche 6 à 15h
- Mercredi 9 à 18h15
- Jeudi 10 à 20h
- Samedi 12 à 20h30
- Dimanche 13 à 19h15
- Lundi 14 à 18h30
- Mardi 15 à 18h30
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Grande salle
Chantal Akerman rencontre hommes, femmes et adolescents qui tentent de passer de l'autre côté de la frontière qui sépare le Mexique des États-Unis.
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Petite salle
La réputation de Katia Reiter, éminente volcanologue en Guadeloupe, n’est plus à faire. Alors que des mouvements volcaniques inquiètent la population, elle est certaine de pouvoir garder le contrôle – jusqu'à l’entêtement ? De sentiers blancs ensoleillés en ascensions noires et rocailleuses, Cyprien Vial laisse le doute s’immiscer par tous les chemins, questionnant au passage notre rapport à l'autorité, que celle-ci soit politique ou scientifique. C’est là le joli tour de force de Magma, où l’on ne sait jamais si l’explosion jaillira de la terre, ou bien de l’humain.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Tous les films du mercredi 16 au mardi 22 (semaine 202516)
C'est une drôle de famille où l'on vit toujours ensemble, les uns avec les autres. Une galerie de personnages hauts en couleur – dont le grand-père, regretté Michel Blanc dans son dernier rôle – marqué par des traumatismes anciens, alors qu'un vent de révolution souffle sur la France de 1968. L'adaptation du roman éponyme de Christophe Boltanski fait la part belle à la fantaisie et à la tendresse, célébrant l'imaginaire de ces êtres capables, ensemble, de recréer un monde.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
Téhéran, années 1980. Une jeune enseignante en littérature créé un groupe de lecture, bientôt espace de découverte d'œuvres interdites et d'échanges pour les femmes qui le composent. Adapté du roman autobiographique de l'autrice iranienne Azar Nafisi, réalisé par un cinéaste israélien, sur la lecture d’un des livres qui fit trembler au plus au point le puritanisme américain lors de sa sortie… aucun doute, le film était voué à produire des étincelles, défi qu'il relève avec brio grâce à Golshifteh Farahani et Zar Amir, flamboyant duo d’actrices iraniennes.
Ce biopic de Frantz Fanon débute à un moment charnière dans la vie de ce penseur de la décolonisation. Nommé psychiatre en Algérie en 1953, il observe les plaies à vif laissées par la situation coloniale sur les corps et les esprits. Cette expérience, qui le marquera durablement, innervera sa réflexion à venir sur la relation entre colonisation et traumatisme.
Derrière une forme classique, le film s’inscrit dans un tournant de l’histoire de la métropole et de l’Algérie dont il explore toute la complexité dans un contexte tendu, où la guerre d’Algérie jette son ombre.
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
Si le film a des accointances avec Où est la maison de mon ami ?, on les retrouve dans la simplicité du récit et son humanisme. Sami, 12 ans, cherche son pigeon voyageur et entame un périple ponctué de rencontres avec d’autres Palestiniens, de son camp de réfugiés à Haïfa en passant par Jérusalem. Montrant les situations ubuesques des check points et la réalité de la colonisation, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme. Non dénué d’humour, il est au contraire, malgré sa gravité, lumineux et porteur d’espoir.
Dans "Jeunesse (Le Printemps)", Wang Bing filmait la réalité quotidienne des ateliers de textile à Zhili. Ce nouveau volet de ce qui sera une trilogie nous replonge dans ces pièces étouffantes, dans le bruit des machines à coudre et des interpellations. Nous replonge dans la vie difficile et intense de tous ces jeunes gens, que des heures de labeur n’empêchent pas de badiner ou de rêver à l’amour, tout en s’interrogeant sur la manière de vivre dans cette société de labeur et de devoirs familiaux.
Charlotte n’a pas d’homme dans sa vie alors pour survivre au train-train quotidien, elle écrit des livres érotiques. Cette échappatoire lui permet d’oublier complètement la notion de désir ou d’érotisme. Elle vit heureuse dans le chaos organisé de son duplex, mais tout bascule lorsque son père meurt et sa mère fait irruption dans son appartement avec bagages, piano (elle est professeur) et élèves. Charlotte décide de laisser le premier étage à sa mère tandis qu’elle se réfugie au deuxième.
Jimmy a la vie dure : pas d’argent, une mère borderline, un monde gris… La vie d’un white trash, mais avec, chevillé au cœur, un désir ardent de musique.
Curtis Hanson (LA Confidential) ne fait pas dans le glamour dans ce film inspiré de l’histoire du rappeur Eminem. Dans un Detroit ravagé par le chômage, la misère et la drogue, il filme d’intenses moments de vie : les concerts et les battles, où la rage devient subitement poésie.
Kneecap est un groupe de rap qui dérange. Le nœud du problème : il rappe en irlandais, et non dans l’anglais de la Reine. Une audace qui fait parler de ces adolescents pas tout à fait dégourdis, et qui deviennent les emblèmes d’une véritable lutte culturelle et politique.
Le film aborde les tensions encore vives d’un pays divisé, avec autant d’énergie que d’humour ! Si la violence contraignante du système est bien décrite, ces adolescents apportent un vent frais (et souvent drôle) à un débat linguistique révélateur des fêlures historiques.
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
C'est une drôle de famille où l'on vit toujours ensemble, les uns avec les autres. Une galerie de personnages hauts en couleur – dont le grand-père, regretté Michel Blanc dans son dernier rôle – marqué par des traumatismes anciens, alors qu'un vent de révolution souffle sur la France de 1968. L'adaptation du roman éponyme de Christophe Boltanski fait la part belle à la fantaisie et à la tendresse, célébrant l'imaginaire de ces êtres capables, ensemble, de recréer un monde.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Petite salle
Téhéran, années 1980. Une jeune enseignante en littérature créé un groupe de lecture, bientôt espace de découverte d'œuvres interdites et d'échanges pour les femmes qui le composent. Adapté du roman autobiographique de l'autrice iranienne Azar Nafisi, réalisé par un cinéaste israélien, sur la lecture d’un des livres qui fit trembler au plus au point le puritanisme américain lors de sa sortie… aucun doute, le film était voué à produire des étincelles, défi qu'il relève avec brio grâce à Golshifteh Farahani et Zar Amir, flamboyant duo d’actrices iraniennes.
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Petite salle
Ce biopic de Frantz Fanon débute à un moment charnière dans la vie de ce penseur de la décolonisation. Nommé psychiatre en Algérie en 1953, il observe les plaies à vif laissées par la situation coloniale sur les corps et les esprits. Cette expérience, qui le marquera durablement, innervera sa réflexion à venir sur la relation entre colonisation et traumatisme.
Derrière une forme classique, le film s’inscrit dans un tournant de l’histoire de la métropole et de l’Algérie dont il explore toute la complexité dans un contexte tendu, où la guerre d’Algérie jette son ombre.
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Grande salle
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Petite salle
Si le film a des accointances avec Où est la maison de mon ami ?, on les retrouve dans la simplicité du récit et son humanisme. Sami, 12 ans, cherche son pigeon voyageur et entame un périple ponctué de rencontres avec d’autres Palestiniens, de son camp de réfugiés à Haïfa en passant par Jérusalem. Montrant les situations ubuesques des check points et la réalité de la colonisation, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme. Non dénué d’humour, il est au contraire, malgré sa gravité, lumineux et porteur d’espoir.
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Grande salle
Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Si le film a des accointances avec Où est la maison de mon ami ?, on les retrouve dans la simplicité du récit et son humanisme. Sami, 12 ans, cherche son pigeon voyageur et entame un périple ponctué de rencontres avec d’autres Palestiniens, de son camp de réfugiés à Haïfa en passant par Jérusalem. Montrant les situations ubuesques des check points et la réalité de la colonisation, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme. Non dénué d’humour, il est au contraire, malgré sa gravité, lumineux et porteur d’espoir.
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Grande salle
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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C'est une drôle de famille où l'on vit toujours ensemble, les uns avec les autres. Une galerie de personnages hauts en couleur – dont le grand-père, regretté Michel Blanc dans son dernier rôle – marqué par des traumatismes anciens, alors qu'un vent de révolution souffle sur la France de 1968. L'adaptation du roman éponyme de Christophe Boltanski fait la part belle à la fantaisie et à la tendresse, célébrant l'imaginaire de ces êtres capables, ensemble, de recréer un monde.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Téhéran, années 1980. Une jeune enseignante en littérature créé un groupe de lecture, bientôt espace de découverte d'œuvres interdites et d'échanges pour les femmes qui le composent. Adapté du roman autobiographique de l'autrice iranienne Azar Nafisi, réalisé par un cinéaste israélien, sur la lecture d’un des livres qui fit trembler au plus au point le puritanisme américain lors de sa sortie… aucun doute, le film était voué à produire des étincelles, défi qu'il relève avec brio grâce à Golshifteh Farahani et Zar Amir, flamboyant duo d’actrices iraniennes.
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Dans "Jeunesse (Le Printemps)", Wang Bing filmait la réalité quotidienne des ateliers de textile à Zhili. Ce nouveau volet de ce qui sera une trilogie nous replonge dans ces pièces étouffantes, dans le bruit des machines à coudre et des interpellations. Nous replonge dans la vie difficile et intense de tous ces jeunes gens, que des heures de labeur n’empêchent pas de badiner ou de rêver à l’amour, tout en s’interrogeant sur la manière de vivre dans cette société de labeur et de devoirs familiaux.
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Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Ce biopic de Frantz Fanon débute à un moment charnière dans la vie de ce penseur de la décolonisation. Nommé psychiatre en Algérie en 1953, il observe les plaies à vif laissées par la situation coloniale sur les corps et les esprits. Cette expérience, qui le marquera durablement, innervera sa réflexion à venir sur la relation entre colonisation et traumatisme.
Derrière une forme classique, le film s’inscrit dans un tournant de l’histoire de la métropole et de l’Algérie dont il explore toute la complexité dans un contexte tendu, où la guerre d’Algérie jette son ombre.
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Téhéran, années 1980. Une jeune enseignante en littérature créé un groupe de lecture, bientôt espace de découverte d'œuvres interdites et d'échanges pour les femmes qui le composent. Adapté du roman autobiographique de l'autrice iranienne Azar Nafisi, réalisé par un cinéaste israélien, sur la lecture d’un des livres qui fit trembler au plus au point le puritanisme américain lors de sa sortie… aucun doute, le film était voué à produire des étincelles, défi qu'il relève avec brio grâce à Golshifteh Farahani et Zar Amir, flamboyant duo d’actrices iraniennes.
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Si le film a des accointances avec Où est la maison de mon ami ?, on les retrouve dans la simplicité du récit et son humanisme. Sami, 12 ans, cherche son pigeon voyageur et entame un périple ponctué de rencontres avec d’autres Palestiniens, de son camp de réfugiés à Haïfa en passant par Jérusalem. Montrant les situations ubuesques des check points et la réalité de la colonisation, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme. Non dénué d’humour, il est au contraire, malgré sa gravité, lumineux et porteur d’espoir.
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Charlotte n’a pas d’homme dans sa vie alors pour survivre au train-train quotidien, elle écrit des livres érotiques. Cette échappatoire lui permet d’oublier complètement la notion de désir ou d’érotisme. Elle vit heureuse dans le chaos organisé de son duplex, mais tout bascule lorsque son père meurt et sa mère fait irruption dans son appartement avec bagages, piano (elle est professeur) et élèves. Charlotte décide de laisser le premier étage à sa mère tandis qu’elle se réfugie au deuxième.
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Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Si le film a des accointances avec Où est la maison de mon ami ?, on les retrouve dans la simplicité du récit et son humanisme. Sami, 12 ans, cherche son pigeon voyageur et entame un périple ponctué de rencontres avec d’autres Palestiniens, de son camp de réfugiés à Haïfa en passant par Jérusalem. Montrant les situations ubuesques des check points et la réalité de la colonisation, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme. Non dénué d’humour, il est au contraire, malgré sa gravité, lumineux et porteur d’espoir.
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Ce biopic de Frantz Fanon débute à un moment charnière dans la vie de ce penseur de la décolonisation. Nommé psychiatre en Algérie en 1953, il observe les plaies à vif laissées par la situation coloniale sur les corps et les esprits. Cette expérience, qui le marquera durablement, innervera sa réflexion à venir sur la relation entre colonisation et traumatisme.
Derrière une forme classique, le film s’inscrit dans un tournant de l’histoire de la métropole et de l’Algérie dont il explore toute la complexité dans un contexte tendu, où la guerre d’Algérie jette son ombre.
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Téhéran, années 1980. Une jeune enseignante en littérature créé un groupe de lecture, bientôt espace de découverte d'œuvres interdites et d'échanges pour les femmes qui le composent. Adapté du roman autobiographique de l'autrice iranienne Azar Nafisi, réalisé par un cinéaste israélien, sur la lecture d’un des livres qui fit trembler au plus au point le puritanisme américain lors de sa sortie… aucun doute, le film était voué à produire des étincelles, défi qu'il relève avec brio grâce à Golshifteh Farahani et Zar Amir, flamboyant duo d’actrices iraniennes.
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Grande salle
C'est une drôle de famille où l'on vit toujours ensemble, les uns avec les autres. Une galerie de personnages hauts en couleur – dont le grand-père, regretté Michel Blanc dans son dernier rôle – marqué par des traumatismes anciens, alors qu'un vent de révolution souffle sur la France de 1968. L'adaptation du roman éponyme de Christophe Boltanski fait la part belle à la fantaisie et à la tendresse, célébrant l'imaginaire de ces êtres capables, ensemble, de recréer un monde.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Jimmy a la vie dure : pas d’argent, une mère borderline, un monde gris… La vie d’un white trash, mais avec, chevillé au cœur, un désir ardent de musique.
Curtis Hanson (LA Confidential) ne fait pas dans le glamour dans ce film inspiré de l’histoire du rappeur Eminem. Dans un Detroit ravagé par le chômage, la misère et la drogue, il filme d’intenses moments de vie : les concerts et les battles, où la rage devient subitement poésie.
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Ce biopic de Frantz Fanon débute à un moment charnière dans la vie de ce penseur de la décolonisation. Nommé psychiatre en Algérie en 1953, il observe les plaies à vif laissées par la situation coloniale sur les corps et les esprits. Cette expérience, qui le marquera durablement, innervera sa réflexion à venir sur la relation entre colonisation et traumatisme.
Derrière une forme classique, le film s’inscrit dans un tournant de l’histoire de la métropole et de l’Algérie dont il explore toute la complexité dans un contexte tendu, où la guerre d’Algérie jette son ombre.
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Petite salle
Kneecap est un groupe de rap qui dérange. Le nœud du problème : il rappe en irlandais, et non dans l’anglais de la Reine. Une audace qui fait parler de ces adolescents pas tout à fait dégourdis, et qui deviennent les emblèmes d’une véritable lutte culturelle et politique.
Le film aborde les tensions encore vives d’un pays divisé, avec autant d’énergie que d’humour ! Si la violence contraignante du système est bien décrite, ces adolescents apportent un vent frais (et souvent drôle) à un débat linguistique révélateur des fêlures historiques.
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Dans "Jeunesse (Le Printemps)", Wang Bing filmait la réalité quotidienne des ateliers de textile à Zhili. Ce nouveau volet de ce qui sera une trilogie nous replonge dans ces pièces étouffantes, dans le bruit des machines à coudre et des interpellations. Nous replonge dans la vie difficile et intense de tous ces jeunes gens, que des heures de labeur n’empêchent pas de badiner ou de rêver à l’amour, tout en s’interrogeant sur la manière de vivre dans cette société de labeur et de devoirs familiaux.
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Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Petite salle
Téhéran, années 1980. Une jeune enseignante en littérature créé un groupe de lecture, bientôt espace de découverte d'œuvres interdites et d'échanges pour les femmes qui le composent. Adapté du roman autobiographique de l'autrice iranienne Azar Nafisi, réalisé par un cinéaste israélien, sur la lecture d’un des livres qui fit trembler au plus au point le puritanisme américain lors de sa sortie… aucun doute, le film était voué à produire des étincelles, défi qu'il relève avec brio grâce à Golshifteh Farahani et Zar Amir, flamboyant duo d’actrices iraniennes.
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Grande salle
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
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Paddington est de retour ! Si tout va pour le mieux avec sa nouvelle famille, une menace rôde : un étrange voleur, à la recherche d’un trésor, vient croiser la route du petit ours !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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C'est une drôle de famille où l'on vit toujours ensemble, les uns avec les autres. Une galerie de personnages hauts en couleur – dont le grand-père, regretté Michel Blanc dans son dernier rôle – marqué par des traumatismes anciens, alors qu'un vent de révolution souffle sur la France de 1968. L'adaptation du roman éponyme de Christophe Boltanski fait la part belle à la fantaisie et à la tendresse, célébrant l'imaginaire de ces êtres capables, ensemble, de recréer un monde.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Ce biopic de Frantz Fanon débute à un moment charnière dans la vie de ce penseur de la décolonisation. Nommé psychiatre en Algérie en 1953, il observe les plaies à vif laissées par la situation coloniale sur les corps et les esprits. Cette expérience, qui le marquera durablement, innervera sa réflexion à venir sur la relation entre colonisation et traumatisme.
Derrière une forme classique, le film s’inscrit dans un tournant de l’histoire de la métropole et de l’Algérie dont il explore toute la complexité dans un contexte tendu, où la guerre d’Algérie jette son ombre.
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Si le film a des accointances avec Où est la maison de mon ami ?, on les retrouve dans la simplicité du récit et son humanisme. Sami, 12 ans, cherche son pigeon voyageur et entame un périple ponctué de rencontres avec d’autres Palestiniens, de son camp de réfugiés à Haïfa en passant par Jérusalem. Montrant les situations ubuesques des check points et la réalité de la colonisation, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme. Non dénué d’humour, il est au contraire, malgré sa gravité, lumineux et porteur d’espoir.
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Charlotte n’a pas d’homme dans sa vie alors pour survivre au train-train quotidien, elle écrit des livres érotiques. Cette échappatoire lui permet d’oublier complètement la notion de désir ou d’érotisme. Elle vit heureuse dans le chaos organisé de son duplex, mais tout bascule lorsque son père meurt et sa mère fait irruption dans son appartement avec bagages, piano (elle est professeur) et élèves. Charlotte décide de laisser le premier étage à sa mère tandis qu’elle se réfugie au deuxième.
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Grande salle
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Tous les films du mercredi 23 au mardi 29 (semaine 202517)
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
Notre petit ours préféré et sa famille anglaise vont encore partir pour de grandes aventures. Cette fois, direction le Pérou ! Faites le plein d’énergie et de bonne humeur !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
La tragique descente aux enfers de Harry, jeune héroïnomane, et de sa mère Sara, prête à tous les sacrifices pour un jour participer à son émission de télévision préférée.
Bien avant "Black Swan" ou "Mother !", Darren Aronofsky illustrait cette obsession humaine, tyrannique et dévorante, à faire de nos vies quelque
chose de toujours plus grand. Le résultat, offre bien souvent des images à la violence impitoyable, mais aussi inoubliables.
Dans "Jeunesse (Le Printemps)", Wang Bing filmait la réalité quotidienne des ateliers de textile à Zhili. Ce nouveau volet de ce qui sera une trilogie nous replonge dans ces pièces étouffantes, dans le bruit des machines à coudre et des interpellations. Nous replonge dans la vie difficile et intense de tous ces jeunes gens, que des heures de labeur n’empêchent pas de badiner ou de rêver à l’amour, tout en s’interrogeant sur la manière de vivre dans cette société de labeur et de devoirs familiaux.
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
Au Sud de l'Égypte, une bande de filles décide de monter leur propre troupe de théâtre.
Né d’une rencontre entre le réalisateur et ce groupe, le film explore les rêves de ces jeunes femmes, entravés pour certains, par une société encore imprégnée de valeurs traditionnelles. Sa force est de ne pas être manichéen ; au contraire il y dépeint une profonde mutation sociale avec des familles conscientes du besoin d’épanouissement de leurs filles. Un film qui pose – encore – la même question : en tant que femme, puis-je concilier vie de famille et carrière ?
Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
Quasi inventeur de "l'horreur organique", David Cronenberg, tel le gynécologue qu'il incarne dans son propre film "La Mouche", donne naissance à des œuvres visuellement très fortes, qui touchent parfois au gore sans s'y complaire totalement, teintées d'une certaine mélancolie, se révélant être de véritables tragédies. C'est un réalisateur de l'inconfort chez qui l'inconscient, le refoulé se font chair dans des fictions où les corps portent et dévoilent les stigmates de la folie humaine.
"La Mouche", tout comme "Chromosome 3" - second film de notre Soirée spéciale Cronenberg - sont deux parfaits exemples de cette approche viscérale du Cinéma, choisissant un traitement "horrifique" pour aborder des sujets graves : la maladie, la folie, le divorce…
Quasi inventeur de "l'horreur organique", David Cronenberg, tel le gynécologue qu'il incarne dans son propre film "La Mouche", donne naissance à des œuvres visuellement très fortes, qui touchent parfois au gore sans s'y complaire totalement, teintées d'une certaine mélancolie, se révélant être de véritables tragédies. C'est un réalisateur de l'inconfort chez qui l'inconscient, le refoulé se font chair dans des fictions où les corps portent et dévoilent les stigmates de la folie humaine.
"Chromosome 3", tout comme "La Mouche" - premier film de notre Soirée spéciale Cronenberg - sont deux parfaits exemples de cette approche viscérale du Cinéma, choisissant un traitement "horrifique" pour aborder des sujets graves : la maladie, la folie, le divorce…
Il y a Madeleine et son marcassin, Vincent et ses singes, Joseph qui rêve sans cesse… et Pierre (Creton) qui filme et enregistre ces petits riens du quotidien qui font les histoires.
Après "Sept Promenades avec Mark Brown", on retrouve dans "Va, Toto !", plus ancien, cette même sensibilité à la nature et à l’amitié, chères au cinéaste.
Un ami de Chantal Akerman lui suggère de partir à Tel-Aviv pour faire un film. La cinéaste accepte et se questionne : qu’est ce que cela peut signifier ?
Là-bas n’est pas un documentaire sur Israël : peu d’images seront en réalité montrées de Tel-Aviv, ou même de ses habitants. Figure de proue de la subjectivité au cinéma, Chantal Akerman relate ici son expérience de mener un tel projet : quelles pensées la traversent, elle, juive vivant entre la Belgique et les Etats-Unis ? Quelles sensations l’envahissent, alors qu’elle observe ce monde à travers les stores de la fenêtre de sa chambre d’hôtel ? Point de réponses définitives ne seront apportées, car, ici, c’est dans son cheminement que l'œuvre trouve sa conclusion.
La vie pourrait sembler idyllique dans le Manoir où grandit Cassandre, entre son frère aîné et ses parents. Pourtant, quelque chose de pourri se dégage de cette famille, où l’intimité est niée et les relations sont de plus en plus toxiques, jusqu'à devenir incestueuses.
Si Hélène Merlin ne dissimule pas le caractère insoutenable des événements violents qu’elle décrit, leur représentation échappe à toute complaisance ou impudeur, tant elle reste du côté de son héroïne, en lutte constante pour échapper au piège qui se referme sur elle.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Petite salle
Notre petit ours préféré et sa famille anglaise vont encore partir pour de grandes aventures. Cette fois, direction le Pérou ! Faites le plein d’énergie et de bonne humeur !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Grande salle
La tragique descente aux enfers de Harry, jeune héroïnomane, et de sa mère Sara, prête à tous les sacrifices pour un jour participer à son émission de télévision préférée.
Bien avant "Black Swan" ou "Mother !", Darren Aronofsky illustrait cette obsession humaine, tyrannique et dévorante, à faire de nos vies quelque
chose de toujours plus grand. Le résultat, offre bien souvent des images à la violence impitoyable, mais aussi inoubliables.
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Grande salle
Dans "Jeunesse (Le Printemps)", Wang Bing filmait la réalité quotidienne des ateliers de textile à Zhili. Ce nouveau volet de ce qui sera une trilogie nous replonge dans ces pièces étouffantes, dans le bruit des machines à coudre et des interpellations. Nous replonge dans la vie difficile et intense de tous ces jeunes gens, que des heures de labeur n’empêchent pas de badiner ou de rêver à l’amour, tout en s’interrogeant sur la manière de vivre dans cette société de labeur et de devoirs familiaux.
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Petite salle
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Notre petit ours préféré et sa famille anglaise vont encore partir pour de grandes aventures. Cette fois, direction le Pérou ! Faites le plein d’énergie et de bonne humeur !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Petite salle
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Dans "Jeunesse (Le Printemps)", Wang Bing filmait la réalité quotidienne des ateliers de textile à Zhili. Ce nouveau volet de ce qui sera une trilogie nous replonge dans ces pièces étouffantes, dans le bruit des machines à coudre et des interpellations. Nous replonge dans la vie difficile et intense de tous ces jeunes gens, que des heures de labeur n’empêchent pas de badiner ou de rêver à l’amour, tout en s’interrogeant sur la manière de vivre dans cette société de labeur et de devoirs familiaux.
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Notre petit ours préféré et sa famille anglaise vont encore partir pour de grandes aventures. Cette fois, direction le Pérou ! Faites le plein d’énergie et de bonne humeur !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Petite salle
La tragique descente aux enfers de Harry, jeune héroïnomane, et de sa mère Sara, prête à tous les sacrifices pour un jour participer à son émission de télévision préférée.
Bien avant "Black Swan" ou "Mother !", Darren Aronofsky illustrait cette obsession humaine, tyrannique et dévorante, à faire de nos vies quelque
chose de toujours plus grand. Le résultat, offre bien souvent des images à la violence impitoyable, mais aussi inoubliables.
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Au Sud de l'Égypte, une bande de filles décide de monter leur propre troupe de théâtre.
Né d’une rencontre entre le réalisateur et ce groupe, le film explore les rêves de ces jeunes femmes, entravés pour certains, par une société encore imprégnée de valeurs traditionnelles. Sa force est de ne pas être manichéen ; au contraire il y dépeint une profonde mutation sociale avec des familles conscientes du besoin d’épanouissement de leurs filles. Un film qui pose – encore – la même question : en tant que femme, puis-je concilier vie de famille et carrière ?
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Le mycélium est un micro-organisme passionnant, capable de ronger tous les métaux. Une aubaine pour les chercheurs... jusqu’au jour où un groupe terroriste, Ithaque, s’empare de ce qui devient bientôt une arme de destruction massive. Et si les fondations (métalliques) de notre monde s’effondraient ?
Clément Schneider, bien connu des habitué.es du Luxy, nous propose un nouveau film qui joue avec les codes du film apocalyptique ! Avec une bonne dose d’humour, il revisite le genre en expérimentant tous les supports visuels et médiatiques.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Notre petit ours préféré et sa famille anglaise vont encore partir pour de grandes aventures. Cette fois, direction le Pérou ! Faites le plein d’énergie et de bonne humeur !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Quasi inventeur de "l'horreur organique", David Cronenberg, tel le gynécologue qu'il incarne dans son propre film "La Mouche", donne naissance à des œuvres visuellement très fortes, qui touchent parfois au gore sans s'y complaire totalement, teintées d'une certaine mélancolie, se révélant être de véritables tragédies. C'est un réalisateur de l'inconfort chez qui l'inconscient, le refoulé se font chair dans des fictions où les corps portent et dévoilent les stigmates de la folie humaine.
"La Mouche", tout comme "Chromosome 3" - second film de notre Soirée spéciale Cronenberg - sont deux parfaits exemples de cette approche viscérale du Cinéma, choisissant un traitement "horrifique" pour aborder des sujets graves : la maladie, la folie, le divorce…
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Au Sud de l'Égypte, une bande de filles décide de monter leur propre troupe de théâtre.
Né d’une rencontre entre le réalisateur et ce groupe, le film explore les rêves de ces jeunes femmes, entravés pour certains, par une société encore imprégnée de valeurs traditionnelles. Sa force est de ne pas être manichéen ; au contraire il y dépeint une profonde mutation sociale avec des familles conscientes du besoin d’épanouissement de leurs filles. Un film qui pose – encore – la même question : en tant que femme, puis-je concilier vie de famille et carrière ?
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Quasi inventeur de "l'horreur organique", David Cronenberg, tel le gynécologue qu'il incarne dans son propre film "La Mouche", donne naissance à des œuvres visuellement très fortes, qui touchent parfois au gore sans s'y complaire totalement, teintées d'une certaine mélancolie, se révélant être de véritables tragédies. C'est un réalisateur de l'inconfort chez qui l'inconscient, le refoulé se font chair dans des fictions où les corps portent et dévoilent les stigmates de la folie humaine.
"Chromosome 3", tout comme "La Mouche" - premier film de notre Soirée spéciale Cronenberg - sont deux parfaits exemples de cette approche viscérale du Cinéma, choisissant un traitement "horrifique" pour aborder des sujets graves : la maladie, la folie, le divorce…
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Notre petit ours préféré et sa famille anglaise vont encore partir pour de grandes aventures. Cette fois, direction le Pérou ! Faites le plein d’énergie et de bonne humeur !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Rendez-vous avec un renard qui découvre qu’il a besoin de l’aide de plus petit, un petit dinosaure complexé par sa taille et un kangourou sur l'arche de Noé !
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Il y a Madeleine et son marcassin, Vincent et ses singes, Joseph qui rêve sans cesse… et Pierre (Creton) qui filme et enregistre ces petits riens du quotidien qui font les histoires.
Après "Sept Promenades avec Mark Brown", on retrouve dans "Va, Toto !", plus ancien, cette même sensibilité à la nature et à l’amitié, chères au cinéaste.
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Un ami de Chantal Akerman lui suggère de partir à Tel-Aviv pour faire un film. La cinéaste accepte et se questionne : qu’est ce que cela peut signifier ?
Là-bas n’est pas un documentaire sur Israël : peu d’images seront en réalité montrées de Tel-Aviv, ou même de ses habitants. Figure de proue de la subjectivité au cinéma, Chantal Akerman relate ici son expérience de mener un tel projet : quelles pensées la traversent, elle, juive vivant entre la Belgique et les Etats-Unis ? Quelles sensations l’envahissent, alors qu’elle observe ce monde à travers les stores de la fenêtre de sa chambre d’hôtel ? Point de réponses définitives ne seront apportées, car, ici, c’est dans son cheminement que l'œuvre trouve sa conclusion.
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La tragique descente aux enfers de Harry, jeune héroïnomane, et de sa mère Sara, prête à tous les sacrifices pour un jour participer à son émission de télévision préférée.
Bien avant "Black Swan" ou "Mother !", Darren Aronofsky illustrait cette obsession humaine, tyrannique et dévorante, à faire de nos vies quelque
chose de toujours plus grand. Le résultat, offre bien souvent des images à la violence impitoyable, mais aussi inoubliables.
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Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Au Sud de l'Égypte, une bande de filles décide de monter leur propre troupe de théâtre.
Né d’une rencontre entre le réalisateur et ce groupe, le film explore les rêves de ces jeunes femmes, entravés pour certains, par une société encore imprégnée de valeurs traditionnelles. Sa force est de ne pas être manichéen ; au contraire il y dépeint une profonde mutation sociale avec des familles conscientes du besoin d’épanouissement de leurs filles. Un film qui pose – encore – la même question : en tant que femme, puis-je concilier vie de famille et carrière ?
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
vo
Grande salle
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Petite salle
Un ami de Chantal Akerman lui suggère de partir à Tel-Aviv pour faire un film. La cinéaste accepte et se questionne : qu’est ce que cela peut signifier ?
Là-bas n’est pas un documentaire sur Israël : peu d’images seront en réalité montrées de Tel-Aviv, ou même de ses habitants. Figure de proue de la subjectivité au cinéma, Chantal Akerman relate ici son expérience de mener un tel projet : quelles pensées la traversent, elle, juive vivant entre la Belgique et les Etats-Unis ? Quelles sensations l’envahissent, alors qu’elle observe ce monde à travers les stores de la fenêtre de sa chambre d’hôtel ? Point de réponses définitives ne seront apportées, car, ici, c’est dans son cheminement que l'œuvre trouve sa conclusion.
vo
Grande salle
Au Sud de l'Égypte, une bande de filles décide de monter leur propre troupe de théâtre.
Né d’une rencontre entre le réalisateur et ce groupe, le film explore les rêves de ces jeunes femmes, entravés pour certains, par une société encore imprégnée de valeurs traditionnelles. Sa force est de ne pas être manichéen ; au contraire il y dépeint une profonde mutation sociale avec des familles conscientes du besoin d’épanouissement de leurs filles. Un film qui pose – encore – la même question : en tant que femme, puis-je concilier vie de famille et carrière ?
vo
Petite salle
Leur seul espoir pour sortir de leur village paumé et réussir dans la grande ville, c’est leur jeunesse et leur corps. De toutes jeunes filles rêvent de devenir mannequins, quel qu’en soit le prix. Léopard d’or au dernier Festival de Locarno, Toxic interroge l’instrumentalisation de ces adolescentes, dont le corps n'est plus que calvaire. Dans un environnement froid et bleuté, déjà de papier glacé, la chair devient triste, alors que les filles sont invitées à se juger. Une implacable description d'un monde où la beauté n'est plus qu'un combat.
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Grande salle
La vie pourrait sembler idyllique dans le Manoir où grandit Cassandre, entre son frère aîné et ses parents. Pourtant, quelque chose de pourri se dégage de cette famille, où l’intimité est niée et les relations sont de plus en plus toxiques, jusqu'à devenir incestueuses.
Si Hélène Merlin ne dissimule pas le caractère insoutenable des événements violents qu’elle décrit, leur représentation échappe à toute complaisance ou impudeur, tant elle reste du côté de son héroïne, en lutte constante pour échapper au piège qui se referme sur elle.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
vo
Petite salle
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Tous les films du mercredi 30 au mardi 06 (semaine 202518)
Alzira et Beatriz, veuves et amies de longue date, vivent ensemble dans leur maison.
Le film, tourné en 16mm, est avant tout le récit de cette demeure – celle de la grand-mère du cinéaste, dans laquelle a été tourné l’intégralité du film. Là, les murs qui cachent nos existences semblent enfin dévoiler leurs secrets. André Gil Mata signe un hommage tout en poésie aux croyances portugaises, autant qu’à celle qui l’a élevé.
Pour lutter contre la prolifération des déchets, des savants ont inventé des robots nettoyeurs. Mais des décennies plus tard, la Terre a été désertée. Ne reste plus qu’un unique robot, solitaire et rêveur.
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
Que signifie cette peur de l’eau que Klara, une adolescente joyeuse, ressent soudain ? Qu’a-t-elle oublié ? Doit-elle se souvenir ?
La réalisatrice dresse le portrait d'une Pologne encore tiraillée entre traditions religieuses et volonté de libération des jeunes. Interrogeant la manière dont les femmes sont incitées à refouler la violence dont elles sont l'objet, elle oppose au règne du silence la puissance de vie des jeunes filles, capables de trouver de la magie dans un monde austère et patriarcal.
Mikado, c’est le père de famille. Avec Laëtitia, ils vivent avec leurs deux filles à bord d’un van, sans autre but que celui de sillonner les routes. Lorsqu’un hasard les fait tomber sur Vincent, ce sont deux visions du monde qui vont soudain se croiser.
Après "Youssef Salem a du succès", Ramzy Bedia et toute une bande attachante illuminent une comédie qui interroge les idéologies et l'idée même de liberté.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
La vie pourrait sembler idyllique dans le Manoir où grandit Cassandre, entre son frère aîné et ses parents. Pourtant, quelque chose de pourri se dégage de cette famille, où l’intimité est niée et les relations sont de plus en plus toxiques, jusqu'à devenir incestueuses.
Si Hélène Merlin ne dissimule pas le caractère insoutenable des événements violents qu’elle décrit, leur représentation échappe à toute complaisance ou impudeur, tant elle reste du côté de son héroïne, en lutte constante pour échapper au piège qui se referme sur elle.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
Monsieur Hulot, célibataire dégingandé et farfelu, passe ses vacances en Bretagne. À peine a-t-il franchi la porte de l’Hôtel de la Plage qu’il enchaîne gags et catastrophes. Entre rire et poésie, Tati reste un génie du burlesque !
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
Marianne Lambert nous mène sur les traces de Chantal Akerman et offre
un regard inédit sur l’œuvre de cette cinéaste majeure.
Quelque part en Asie du Sud-Est. Almayer, européen isolé, n’a qu'une obsession : celle d’offrir à sa fille Nina, moitié-malaisienne, la vie qu’elle mérite.
Chantal Akerman adapte librement l'œuvre éponyme de Joseph Conrad : librement, car, ici, la cinéaste s’attarde moins sur le rythme narratif du roman que sur la sensorialité, si particulière, qui en émane. Les thématiques chères à l’auteur (le déracinement colonial, l’humain courant à sa propre perte) sont dévoilées à travers le filtre de la cinéaste, qui laisse planer son film au fil des séquences oniriques, dans une moiteur envoûtante.
Dans les quartiers nord de Marseille, Kaleem erre et se débat entre son nouveau travail dans le bâtiment, ses retrouvailles avec son ami Rachid et ses grands projets, et puis Marie, cette belle architecte qu’il ne parvient pas à cerner.
Le film de Pascal Tessaud part d'une idée simple : traduire le bouillonnement de Marseille, sa diversité, son côté «tout-azimut», dans les mouvements du krump, cette danse explosive issue du hip-hop. Une volonté qui donne lieu à une œuvre pleine de vitalité sur la cité phocéenne et cette population toujours vibrante qui la compose.
Alzira et Beatriz, veuves et amies de longue date, vivent ensemble dans leur maison.
Le film, tourné en 16mm, est avant tout le récit de cette demeure – celle de la grand-mère du cinéaste, dans laquelle a été tourné l’intégralité du film. Là, les murs qui cachent nos existences semblent enfin dévoiler leurs secrets. André Gil Mata signe un hommage tout en poésie aux croyances portugaises, autant qu’à celle qui l’a élevé.
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Petite salle
Pour lutter contre la prolifération des déchets, des savants ont inventé des robots nettoyeurs. Mais des décennies plus tard, la Terre a été désertée. Ne reste plus qu’un unique robot, solitaire et rêveur.
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Grande salle
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Que signifie cette peur de l’eau que Klara, une adolescente joyeuse, ressent soudain ? Qu’a-t-elle oublié ? Doit-elle se souvenir ?
La réalisatrice dresse le portrait d'une Pologne encore tiraillée entre traditions religieuses et volonté de libération des jeunes. Interrogeant la manière dont les femmes sont incitées à refouler la violence dont elles sont l'objet, elle oppose au règne du silence la puissance de vie des jeunes filles, capables de trouver de la magie dans un monde austère et patriarcal.
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Grande salle
Mikado, c’est le père de famille. Avec Laëtitia, ils vivent avec leurs deux filles à bord d’un van, sans autre but que celui de sillonner les routes. Lorsqu’un hasard les fait tomber sur Vincent, ce sont deux visions du monde qui vont soudain se croiser.
Après "Youssef Salem a du succès", Ramzy Bedia et toute une bande attachante illuminent une comédie qui interroge les idéologies et l'idée même de liberté.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Alzira et Beatriz, veuves et amies de longue date, vivent ensemble dans leur maison.
Le film, tourné en 16mm, est avant tout le récit de cette demeure – celle de la grand-mère du cinéaste, dans laquelle a été tourné l’intégralité du film. Là, les murs qui cachent nos existences semblent enfin dévoiler leurs secrets. André Gil Mata signe un hommage tout en poésie aux croyances portugaises, autant qu’à celle qui l’a élevé.
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Mikado, c’est le père de famille. Avec Laëtitia, ils vivent avec leurs deux filles à bord d’un van, sans autre but que celui de sillonner les routes. Lorsqu’un hasard les fait tomber sur Vincent, ce sont deux visions du monde qui vont soudain se croiser.
Après "Youssef Salem a du succès", Ramzy Bedia et toute une bande attachante illuminent une comédie qui interroge les idéologies et l'idée même de liberté.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
La vie pourrait sembler idyllique dans le Manoir où grandit Cassandre, entre son frère aîné et ses parents. Pourtant, quelque chose de pourri se dégage de cette famille, où l’intimité est niée et les relations sont de plus en plus toxiques, jusqu'à devenir incestueuses.
Si Hélène Merlin ne dissimule pas le caractère insoutenable des événements violents qu’elle décrit, leur représentation échappe à toute complaisance ou impudeur, tant elle reste du côté de son héroïne, en lutte constante pour échapper au piège qui se referme sur elle.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Grande salle
Que signifie cette peur de l’eau que Klara, une adolescente joyeuse, ressent soudain ? Qu’a-t-elle oublié ? Doit-elle se souvenir ?
La réalisatrice dresse le portrait d'une Pologne encore tiraillée entre traditions religieuses et volonté de libération des jeunes. Interrogeant la manière dont les femmes sont incitées à refouler la violence dont elles sont l'objet, elle oppose au règne du silence la puissance de vie des jeunes filles, capables de trouver de la magie dans un monde austère et patriarcal.
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Grande salle
Monsieur Hulot, célibataire dégingandé et farfelu, passe ses vacances en Bretagne. À peine a-t-il franchi la porte de l’Hôtel de la Plage qu’il enchaîne gags et catastrophes. Entre rire et poésie, Tati reste un génie du burlesque !
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Marianne Lambert nous mène sur les traces de Chantal Akerman et offre
un regard inédit sur l’œuvre de cette cinéaste majeure.
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Grande salle
Mikado, c’est le père de famille. Avec Laëtitia, ils vivent avec leurs deux filles à bord d’un van, sans autre but que celui de sillonner les routes. Lorsqu’un hasard les fait tomber sur Vincent, ce sont deux visions du monde qui vont soudain se croiser.
Après "Youssef Salem a du succès", Ramzy Bedia et toute une bande attachante illuminent une comédie qui interroge les idéologies et l'idée même de liberté.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Quelque part en Asie du Sud-Est. Almayer, européen isolé, n’a qu'une obsession : celle d’offrir à sa fille Nina, moitié-malaisienne, la vie qu’elle mérite.
Chantal Akerman adapte librement l'œuvre éponyme de Joseph Conrad : librement, car, ici, la cinéaste s’attarde moins sur le rythme narratif du roman que sur la sensorialité, si particulière, qui en émane. Les thématiques chères à l’auteur (le déracinement colonial, l’humain courant à sa propre perte) sont dévoilées à travers le filtre de la cinéaste, qui laisse planer son film au fil des séquences oniriques, dans une moiteur envoûtante.
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Grande salle
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Petite salle
Dans les quartiers nord de Marseille, Kaleem erre et se débat entre son nouveau travail dans le bâtiment, ses retrouvailles avec son ami Rachid et ses grands projets, et puis Marie, cette belle architecte qu’il ne parvient pas à cerner.
Le film de Pascal Tessaud part d'une idée simple : traduire le bouillonnement de Marseille, sa diversité, son côté «tout-azimut», dans les mouvements du krump, cette danse explosive issue du hip-hop. Une volonté qui donne lieu à une œuvre pleine de vitalité sur la cité phocéenne et cette population toujours vibrante qui la compose.
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Grande salle
Pour lutter contre la prolifération des déchets, des savants ont inventé des robots nettoyeurs. Mais des décennies plus tard, la Terre a été désertée. Ne reste plus qu’un unique robot, solitaire et rêveur.
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Mikado, c’est le père de famille. Avec Laëtitia, ils vivent avec leurs deux filles à bord d’un van, sans autre but que celui de sillonner les routes. Lorsqu’un hasard les fait tomber sur Vincent, ce sont deux visions du monde qui vont soudain se croiser.
Après "Youssef Salem a du succès", Ramzy Bedia et toute une bande attachante illuminent une comédie qui interroge les idéologies et l'idée même de liberté.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Petite salle
Alzira et Beatriz, veuves et amies de longue date, vivent ensemble dans leur maison.
Le film, tourné en 16mm, est avant tout le récit de cette demeure – celle de la grand-mère du cinéaste, dans laquelle a été tourné l’intégralité du film. Là, les murs qui cachent nos existences semblent enfin dévoiler leurs secrets. André Gil Mata signe un hommage tout en poésie aux croyances portugaises, autant qu’à celle qui l’a élevé.
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Que signifie cette peur de l’eau que Klara, une adolescente joyeuse, ressent soudain ? Qu’a-t-elle oublié ? Doit-elle se souvenir ?
La réalisatrice dresse le portrait d'une Pologne encore tiraillée entre traditions religieuses et volonté de libération des jeunes. Interrogeant la manière dont les femmes sont incitées à refouler la violence dont elles sont l'objet, elle oppose au règne du silence la puissance de vie des jeunes filles, capables de trouver de la magie dans un monde austère et patriarcal.
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Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Mikado, c’est le père de famille. Avec Laëtitia, ils vivent avec leurs deux filles à bord d’un van, sans autre but que celui de sillonner les routes. Lorsqu’un hasard les fait tomber sur Vincent, ce sont deux visions du monde qui vont soudain se croiser.
Après "Youssef Salem a du succès", Ramzy Bedia et toute une bande attachante illuminent une comédie qui interroge les idéologies et l'idée même de liberté.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Petite salle
La vie pourrait sembler idyllique dans le Manoir où grandit Cassandre, entre son frère aîné et ses parents. Pourtant, quelque chose de pourri se dégage de cette famille, où l’intimité est niée et les relations sont de plus en plus toxiques, jusqu'à devenir incestueuses.
Si Hélène Merlin ne dissimule pas le caractère insoutenable des événements violents qu’elle décrit, leur représentation échappe à toute complaisance ou impudeur, tant elle reste du côté de son héroïne, en lutte constante pour échapper au piège qui se referme sur elle.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Que signifie cette peur de l’eau que Klara, une adolescente joyeuse, ressent soudain ? Qu’a-t-elle oublié ? Doit-elle se souvenir ?
La réalisatrice dresse le portrait d'une Pologne encore tiraillée entre traditions religieuses et volonté de libération des jeunes. Interrogeant la manière dont les femmes sont incitées à refouler la violence dont elles sont l'objet, elle oppose au règne du silence la puissance de vie des jeunes filles, capables de trouver de la magie dans un monde austère et patriarcal.
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Alzira et Beatriz, veuves et amies de longue date, vivent ensemble dans leur maison.
Le film, tourné en 16mm, est avant tout le récit de cette demeure – celle de la grand-mère du cinéaste, dans laquelle a été tourné l’intégralité du film. Là, les murs qui cachent nos existences semblent enfin dévoiler leurs secrets. André Gil Mata signe un hommage tout en poésie aux croyances portugaises, autant qu’à celle qui l’a élevé.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Petite salle
Quelque part en Asie du Sud-Est. Almayer, européen isolé, n’a qu'une obsession : celle d’offrir à sa fille Nina, moitié-malaisienne, la vie qu’elle mérite.
Chantal Akerman adapte librement l'œuvre éponyme de Joseph Conrad : librement, car, ici, la cinéaste s’attarde moins sur le rythme narratif du roman que sur la sensorialité, si particulière, qui en émane. Les thématiques chères à l’auteur (le déracinement colonial, l’humain courant à sa propre perte) sont dévoilées à travers le filtre de la cinéaste, qui laisse planer son film au fil des séquences oniriques, dans une moiteur envoûtante.
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Grande salle
Durant la guerre, Hugo, garçon juif, est confié à Mariana, une prostituée. Caché dans sa chambre, il attend.
Comme dans "La Douleur", film précédent de Finkiel, le temps s’allonge indéfiniment à mesure que l’espace se rétrécit ; peu à peu, Hugo oublie ses repères comme son passé, relié au monde par cette lumineuse Mariana, elle aussi enfant perdue dans un monde clos.
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Grande salle
Tous les films du mercredi 07 au mardi 13 (semaine 202519)
La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
Les deux héros des Looney Tunes ont souvent du mal à s'entendre… Mais il faudra bien qu'ils travaillent ensemble pour sauver le monde !
Une série de catastrophes pour une cascade de rires !
Max a deux vies : celle de ses journées, où il tente de convaincre l’élite intellectuelle de Londres de son talent d’écrivain, et celle de ses nuits, faites de rencontres avec des hommes plus âgés et qui nourrissent ses récits.
Mikko Mäkelä signe un film pétri de douceur et d’humanité, mêlé d’un questionnement sur la création : que signifie inventer une histoire ? Ne peut-on écrire que sur ce que l'on vit ?
Bienvenu dans les nouvelles aventures de Colargol, l'ours qui chante ! Cette fois, notre héros va exercer ses talents dans un cirque !
Une petite marionnette toute douce, et des chansons entraînantes !
Ce thriller paranoïaque a été l'une des bonnes surprises de la dernière Quinzaine des cinéastes à Cannes !
Jeune femme fragile, Frankie est atteinte de dyschronométrie, une maladie qui trouble sa perception du temps. Embauchée par une femme mystérieuse, elle perd peu à peu pied… ou alors, a-t-elle vu quelque chose qui a échappé aux autres ? Filmé dans un 16mm qui évoque le cinéma états-unien des années 1970, le film joue habilement avec la perception de son héroïne et avec nos nerfs !
La violence est-elle destinée à se répéter ? C’est la pire crainte de Gigi, un adolescent dont le père abusif vient de refaire surface après 10 ans d'absence.
Francesco Costabile signe un récit puissant sur une tragédie familiale, profondément ancrée dans les réalités d’une Italie contemporaine (misère sociale, faillite des institutions). L’espace familial devient un lieu de danger qui enserre les personnages, alors que Gigi ne rêve que de tout faire exploser, pour le meilleur et pour le pire.
Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
Il y a des films dont il émane une symbolique, une aura dont on aime les parer, ou qu’on aurait des scrupules à leur retirer. C’est le cas de "No Home Movie", ultime film de Chantal Akerman, où la cinéaste laissait tourner sa caméra sur sa mère, rescapée d’Auschwitz. Cette petite dame bourgeoise, vieillissante et frêle, n’est pas sans rappeler le personnage de Jeanne Dielman, comme ces entrevues près d’une gazinière nous évoquent déjà la cuisine saccagée de "Saute ma ville". Entre ces bribes de dialogues mère-fille, et la vision des paysages désertiques d’un séjour dans le Sud des Etats-Unis, le film semble relier l'œuvre d’Akerman en un tout. Une portée déjà immense, donc, qui a aussi gagné celle de testament, alors que la mère devait décéder peu avant la sortie du film, et la cinéaste l’année suivante.
En pleine Guerre Froide, les deux blocs se livrent une guerre « culturelle ». Tandis que les États-Unis envoient des jazzmen soutenir la démocratie américaine en Afrique, le premier coup d'État post-colonial africain résonne, avec l’assassinat du premier ministre congolais.
Johan Grimonprez enquête sur un pan sombre et éclipsé de l'histoire coloniale, dans un film au rythme aussi effréné que les morceaux qui l'accompagnent.
La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Les deux héros des Looney Tunes ont souvent du mal à s'entendre… Mais il faudra bien qu'ils travaillent ensemble pour sauver le monde !
Une série de catastrophes pour une cascade de rires !
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Max a deux vies : celle de ses journées, où il tente de convaincre l’élite intellectuelle de Londres de son talent d’écrivain, et celle de ses nuits, faites de rencontres avec des hommes plus âgés et qui nourrissent ses récits.
Mikko Mäkelä signe un film pétri de douceur et d’humanité, mêlé d’un questionnement sur la création : que signifie inventer une histoire ? Ne peut-on écrire que sur ce que l'on vit ?
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Bienvenu dans les nouvelles aventures de Colargol, l'ours qui chante ! Cette fois, notre héros va exercer ses talents dans un cirque !
Une petite marionnette toute douce, et des chansons entraînantes !
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Ce thriller paranoïaque a été l'une des bonnes surprises de la dernière Quinzaine des cinéastes à Cannes !
Jeune femme fragile, Frankie est atteinte de dyschronométrie, une maladie qui trouble sa perception du temps. Embauchée par une femme mystérieuse, elle perd peu à peu pied… ou alors, a-t-elle vu quelque chose qui a échappé aux autres ? Filmé dans un 16mm qui évoque le cinéma états-unien des années 1970, le film joue habilement avec la perception de son héroïne et avec nos nerfs !
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La violence est-elle destinée à se répéter ? C’est la pire crainte de Gigi, un adolescent dont le père abusif vient de refaire surface après 10 ans d'absence.
Francesco Costabile signe un récit puissant sur une tragédie familiale, profondément ancrée dans les réalités d’une Italie contemporaine (misère sociale, faillite des institutions). L’espace familial devient un lieu de danger qui enserre les personnages, alors que Gigi ne rêve que de tout faire exploser, pour le meilleur et pour le pire.
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Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
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Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Les deux héros des Looney Tunes ont souvent du mal à s'entendre… Mais il faudra bien qu'ils travaillent ensemble pour sauver le monde !
Une série de catastrophes pour une cascade de rires !
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La violence est-elle destinée à se répéter ? C’est la pire crainte de Gigi, un adolescent dont le père abusif vient de refaire surface après 10 ans d'absence.
Francesco Costabile signe un récit puissant sur une tragédie familiale, profondément ancrée dans les réalités d’une Italie contemporaine (misère sociale, faillite des institutions). L’espace familial devient un lieu de danger qui enserre les personnages, alors que Gigi ne rêve que de tout faire exploser, pour le meilleur et pour le pire.
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Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Il y a des films dont il émane une symbolique, une aura dont on aime les parer, ou qu’on aurait des scrupules à leur retirer. C’est le cas de "No Home Movie", ultime film de Chantal Akerman, où la cinéaste laissait tourner sa caméra sur sa mère, rescapée d’Auschwitz. Cette petite dame bourgeoise, vieillissante et frêle, n’est pas sans rappeler le personnage de Jeanne Dielman, comme ces entrevues près d’une gazinière nous évoquent déjà la cuisine saccagée de "Saute ma ville". Entre ces bribes de dialogues mère-fille, et la vision des paysages désertiques d’un séjour dans le Sud des Etats-Unis, le film semble relier l'œuvre d’Akerman en un tout. Une portée déjà immense, donc, qui a aussi gagné celle de testament, alors que la mère devait décéder peu avant la sortie du film, et la cinéaste l’année suivante.
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Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Max a deux vies : celle de ses journées, où il tente de convaincre l’élite intellectuelle de Londres de son talent d’écrivain, et celle de ses nuits, faites de rencontres avec des hommes plus âgés et qui nourrissent ses récits.
Mikko Mäkelä signe un film pétri de douceur et d’humanité, mêlé d’un questionnement sur la création : que signifie inventer une histoire ? Ne peut-on écrire que sur ce que l'on vit ?
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Grande salle
Il y a des films dont il émane une symbolique, une aura dont on aime les parer, ou qu’on aurait des scrupules à leur retirer. C’est le cas de "No Home Movie", ultime film de Chantal Akerman, où la cinéaste laissait tourner sa caméra sur sa mère, rescapée d’Auschwitz. Cette petite dame bourgeoise, vieillissante et frêle, n’est pas sans rappeler le personnage de Jeanne Dielman, comme ces entrevues près d’une gazinière nous évoquent déjà la cuisine saccagée de "Saute ma ville". Entre ces bribes de dialogues mère-fille, et la vision des paysages désertiques d’un séjour dans le Sud des Etats-Unis, le film semble relier l'œuvre d’Akerman en un tout. Une portée déjà immense, donc, qui a aussi gagné celle de testament, alors que la mère devait décéder peu avant la sortie du film, et la cinéaste l’année suivante.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Ce thriller paranoïaque a été l'une des bonnes surprises de la dernière Quinzaine des cinéastes à Cannes !
Jeune femme fragile, Frankie est atteinte de dyschronométrie, une maladie qui trouble sa perception du temps. Embauchée par une femme mystérieuse, elle perd peu à peu pied… ou alors, a-t-elle vu quelque chose qui a échappé aux autres ? Filmé dans un 16mm qui évoque le cinéma états-unien des années 1970, le film joue habilement avec la perception de son héroïne et avec nos nerfs !
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Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
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La violence est-elle destinée à se répéter ? C’est la pire crainte de Gigi, un adolescent dont le père abusif vient de refaire surface après 10 ans d'absence.
Francesco Costabile signe un récit puissant sur une tragédie familiale, profondément ancrée dans les réalités d’une Italie contemporaine (misère sociale, faillite des institutions). L’espace familial devient un lieu de danger qui enserre les personnages, alors que Gigi ne rêve que de tout faire exploser, pour le meilleur et pour le pire.
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Max a deux vies : celle de ses journées, où il tente de convaincre l’élite intellectuelle de Londres de son talent d’écrivain, et celle de ses nuits, faites de rencontres avec des hommes plus âgés et qui nourrissent ses récits.
Mikko Mäkelä signe un film pétri de douceur et d’humanité, mêlé d’un questionnement sur la création : que signifie inventer une histoire ? Ne peut-on écrire que sur ce que l'on vit ?
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Les deux héros des Looney Tunes ont souvent du mal à s'entendre… Mais il faudra bien qu'ils travaillent ensemble pour sauver le monde !
Une série de catastrophes pour une cascade de rires !
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Bienvenu dans les nouvelles aventures de Colargol, l'ours qui chante ! Cette fois, notre héros va exercer ses talents dans un cirque !
Une petite marionnette toute douce, et des chansons entraînantes !
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Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
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La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Ce thriller paranoïaque a été l'une des bonnes surprises de la dernière Quinzaine des cinéastes à Cannes !
Jeune femme fragile, Frankie est atteinte de dyschronométrie, une maladie qui trouble sa perception du temps. Embauchée par une femme mystérieuse, elle perd peu à peu pied… ou alors, a-t-elle vu quelque chose qui a échappé aux autres ? Filmé dans un 16mm qui évoque le cinéma états-unien des années 1970, le film joue habilement avec la perception de son héroïne et avec nos nerfs !
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Les deux héros des Looney Tunes ont souvent du mal à s'entendre… Mais il faudra bien qu'ils travaillent ensemble pour sauver le monde !
Une série de catastrophes pour une cascade de rires !
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Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Max a deux vies : celle de ses journées, où il tente de convaincre l’élite intellectuelle de Londres de son talent d’écrivain, et celle de ses nuits, faites de rencontres avec des hommes plus âgés et qui nourrissent ses récits.
Mikko Mäkelä signe un film pétri de douceur et d’humanité, mêlé d’un questionnement sur la création : que signifie inventer une histoire ? Ne peut-on écrire que sur ce que l'on vit ?
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Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
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Ce thriller paranoïaque a été l'une des bonnes surprises de la dernière Quinzaine des cinéastes à Cannes !
Jeune femme fragile, Frankie est atteinte de dyschronométrie, une maladie qui trouble sa perception du temps. Embauchée par une femme mystérieuse, elle perd peu à peu pied… ou alors, a-t-elle vu quelque chose qui a échappé aux autres ? Filmé dans un 16mm qui évoque le cinéma états-unien des années 1970, le film joue habilement avec la perception de son héroïne et avec nos nerfs !
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La violence est-elle destinée à se répéter ? C’est la pire crainte de Gigi, un adolescent dont le père abusif vient de refaire surface après 10 ans d'absence.
Francesco Costabile signe un récit puissant sur une tragédie familiale, profondément ancrée dans les réalités d’une Italie contemporaine (misère sociale, faillite des institutions). L’espace familial devient un lieu de danger qui enserre les personnages, alors que Gigi ne rêve que de tout faire exploser, pour le meilleur et pour le pire.
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Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
vo
Grande salle
Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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En pleine Guerre Froide, les deux blocs se livrent une guerre « culturelle ». Tandis que les États-Unis envoient des jazzmen soutenir la démocratie américaine en Afrique, le premier coup d'État post-colonial africain résonne, avec l’assassinat du premier ministre congolais.
Johan Grimonprez enquête sur un pan sombre et éclipsé de l'histoire coloniale, dans un film au rythme aussi effréné que les morceaux qui l'accompagnent.
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Ce thriller paranoïaque a été l'une des bonnes surprises de la dernière Quinzaine des cinéastes à Cannes !
Jeune femme fragile, Frankie est atteinte de dyschronométrie, une maladie qui trouble sa perception du temps. Embauchée par une femme mystérieuse, elle perd peu à peu pied… ou alors, a-t-elle vu quelque chose qui a échappé aux autres ? Filmé dans un 16mm qui évoque le cinéma états-unien des années 1970, le film joue habilement avec la perception de son héroïne et avec nos nerfs !
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Petite salle
La violence est-elle destinée à se répéter ? C’est la pire crainte de Gigi, un adolescent dont le père abusif vient de refaire surface après 10 ans d'absence.
Francesco Costabile signe un récit puissant sur une tragédie familiale, profondément ancrée dans les réalités d’une Italie contemporaine (misère sociale, faillite des institutions). L’espace familial devient un lieu de danger qui enserre les personnages, alors que Gigi ne rêve que de tout faire exploser, pour le meilleur et pour le pire.
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Petite salle
La nuit est ponctuée de lumières évanescentes. Nous sommes dans les Landes, et une famille d’artificiers pratique son art.
Le feu, tour à tour inquiétant et purificateur, païen et sacré, mélancolique et joyeux, est le personnage principal de ce documentaire d’un genre unique. Il devient une incantation qui relie les êtres vivants entre eux.
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Grande salle
Mère un brin paumée, Max fait tout de travers... y compris kidnapper un robot !
Une comédie tournée à Ivry ! Dans ce récit d'apprentissage plein d'humour, l'humain de la machine apprennent l'un que l'autre. Un film drôle et tendre qui interroge en creux ce qui constitue notre humanité.
Ce film est disponible en version sous-titrée et audiodécrite pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Dans un coin reculé de Tunisie, une vision d'horreur : Achraf, 14 ans, voit son cousin se faire assassiner sous ses yeux. Il devra alors revenir au village, chargé de cette nouvelle.
L'horreur reste principalement hors-champ : ce qui intéresse le réalisateur, c'est d'accompagner un enfant (lui-même escorté d'un fantôme), porteur d'une tragédie trop grande pour lui. Un enfant perdu dans les splendides paysages et un monde en perte de sens.
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Petite salle