Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Tous les films du mercredi 03 au mardi 09 (semaine 202536)
Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
Même si les Bad Guys ne sont plus des crapules, difficile d’afficher patte blanche auprès de la société. Surtout quand le clan des Bad Girls fait tout pour les piéger !
Finies les arnaques : pour faire le bien, nos vilains héros doivent désormais forger leur réputation de Cool Guys !
Les réalisateurs continuent leur hommage aux films de braquage hollywoodiens, en en déjouant les codes avec brio, et une ironie particulièrement mordante (mention spéciale à la parodie de Mission : impossible !)
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Nora, brouillée depuis des années avec son réalisateur de père, le voit redébarquer dans sa vie avec une proposition de rôle. Et avec lui, tous les spectres d’un passé douloureux.
Le film a été récompensé par le Grand Prix au dernier Festival de Cannes, une récompense méritée pour un film qui, loin de bien d’autres œuvres plus tape-à-l’œil de la compétition, éblouit par son apparente simplicité, par la violence des émotions qui ne basculent pourtant jamais dans le règlement de comptes à la "Festen", mais mènent vers un possible apaisement, voire un pardon.
Années 60, Sud-Ouest de la France. Téchiné nous offre un voyage dans le temps, pour revenir à l’époque de son adolescence, évoquant autant les tourments amoureux que la guerre d'Algérie.
Ce chef d'œuvre d’André Téchiné bouleverse encore par sa façon de raconter l'Histoire par le prisme des individus qui composent son récit, partagés entre espoir pour le futur et douleur du présent.
Un homme, très heureux dans son couple, trompe sa femme une nuit avec un homme… On suit le moment où les certitudes d’un couple s’effritent. Les dialogues impressionnent par leur sincérité et leur intelligente. Le film est une quête de sens, qui nous bouleverse tant puisque l’introspection ne se joue pas qu’entre les personnages. En effet, le réalisateur, talentueux, nous pousse aussi à l’introspection : l’amour, la confiance, la pluralité des désirs et la non-binarité. Un film d’une modernité rafraîchissante.
En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
Michele patauge. Ce joueur de waterpolo et communiste convaincu a perdu la mémoire, et depuis, disons que le monde lui semble aussi absurde qu’obscur.
Palombella Rossa n’a rien perdu de sa drôlerie, et l’esprit acerbe de Moretti fait toujours des étincelles ! Se déroulant en grande partie dans une piscine, au cours d’un match, le film impose des images de cinéma inoubliables, où l’eau devient un personnage à part entière, et le bassin un reflet de la société. Ou comment parler d'une société italienne qui boit la tasse !
Le nom d’Antonin Peretjatko est plutôt associé à des comédies loufoques, se déroulant dans un monde au bord du dérèglement. Ce dérèglement, on le retrouve dans sa forme la plus funeste, dans ce documentaire tourné
en Ukraine.
Avec sa caméra 16mm, dont l’image renvoie à d’autres guerres, Antonin Peretjatko filme le quotidien des habitant·es. La forme du film épouse ce sentiment d’urgence, à travers de brèves séquences prises sur le vif, des instantanés du réel aussi belles que terribles.
Jouez de la flûte avec deux fillettes dans un monde où la musique a été bannie ! Chevauchez des dragons, devenez ami·e avec une licorne…
et bien d’autres merveilleuses aventures dans ce programme de quatre courts métrages!
La Palme d’or 1975 relate l’histoire de l’Algérie depuis la conquête française jusqu’à la révolte de 1954, explorant la violence subie par le pays, des humiliations à la répression.
Une vaste fresque aux allures de western politique, qu’un Sergio Leone n’aurait pas dédaignée !
Longtemps mal dans sa peau, Hugo aborde les vacances d’été avec confiance : il amène sur l’île où il a grandi sa nouvelle petite amie, Queen. Mais le regard que ses ami·es portent sur la volcanique jeune femme va peu à peu modifier sa relation avec elle.
Que peut l’amour fasse à la conscience de classe ? Telle est la question que pose avec délicatesse Aurélien Peyre dans ce premier long métrage, qui invente un personnage féminin qui dépasse tous les clichés.
Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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Petite salle
Même si les Bad Guys ne sont plus des crapules, difficile d’afficher patte blanche auprès de la société. Surtout quand le clan des Bad Girls fait tout pour les piéger !
Finies les arnaques : pour faire le bien, nos vilains héros doivent désormais forger leur réputation de Cool Guys !
Les réalisateurs continuent leur hommage aux films de braquage hollywoodiens, en en déjouant les codes avec brio, et une ironie particulièrement mordante (mention spéciale à la parodie de Mission : impossible !)
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Nora, brouillée depuis des années avec son réalisateur de père, le voit redébarquer dans sa vie avec une proposition de rôle. Et avec lui, tous les spectres d’un passé douloureux.
Le film a été récompensé par le Grand Prix au dernier Festival de Cannes, une récompense méritée pour un film qui, loin de bien d’autres œuvres plus tape-à-l’œil de la compétition, éblouit par son apparente simplicité, par la violence des émotions qui ne basculent pourtant jamais dans le règlement de comptes à la "Festen", mais mènent vers un possible apaisement, voire un pardon.
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Petite salle
Années 60, Sud-Ouest de la France. Téchiné nous offre un voyage dans le temps, pour revenir à l’époque de son adolescence, évoquant autant les tourments amoureux que la guerre d'Algérie.
Ce chef d'œuvre d’André Téchiné bouleverse encore par sa façon de raconter l'Histoire par le prisme des individus qui composent son récit, partagés entre espoir pour le futur et douleur du présent.
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Grande salle
Un homme, très heureux dans son couple, trompe sa femme une nuit avec un homme… On suit le moment où les certitudes d’un couple s’effritent. Les dialogues impressionnent par leur sincérité et leur intelligente. Le film est une quête de sens, qui nous bouleverse tant puisque l’introspection ne se joue pas qu’entre les personnages. En effet, le réalisateur, talentueux, nous pousse aussi à l’introspection : l’amour, la confiance, la pluralité des désirs et la non-binarité. Un film d’une modernité rafraîchissante.
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Petite salle
En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Grande salle
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Grande salle
Michele patauge. Ce joueur de waterpolo et communiste convaincu a perdu la mémoire, et depuis, disons que le monde lui semble aussi absurde qu’obscur.
Palombella Rossa n’a rien perdu de sa drôlerie, et l’esprit acerbe de Moretti fait toujours des étincelles ! Se déroulant en grande partie dans une piscine, au cours d’un match, le film impose des images de cinéma inoubliables, où l’eau devient un personnage à part entière, et le bassin un reflet de la société. Ou comment parler d'une société italienne qui boit la tasse !
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Petite salle
Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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Nora, brouillée depuis des années avec son réalisateur de père, le voit redébarquer dans sa vie avec une proposition de rôle. Et avec lui, tous les spectres d’un passé douloureux.
Le film a été récompensé par le Grand Prix au dernier Festival de Cannes, une récompense méritée pour un film qui, loin de bien d’autres œuvres plus tape-à-l’œil de la compétition, éblouit par son apparente simplicité, par la violence des émotions qui ne basculent pourtant jamais dans le règlement de comptes à la "Festen", mais mènent vers un possible apaisement, voire un pardon.
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En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Petite salle
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Nora, brouillée depuis des années avec son réalisateur de père, le voit redébarquer dans sa vie avec une proposition de rôle. Et avec lui, tous les spectres d’un passé douloureux.
Le film a été récompensé par le Grand Prix au dernier Festival de Cannes, une récompense méritée pour un film qui, loin de bien d’autres œuvres plus tape-à-l’œil de la compétition, éblouit par son apparente simplicité, par la violence des émotions qui ne basculent pourtant jamais dans le règlement de comptes à la "Festen", mais mènent vers un possible apaisement, voire un pardon.
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Grande salle
Le nom d’Antonin Peretjatko est plutôt associé à des comédies loufoques, se déroulant dans un monde au bord du dérèglement. Ce dérèglement, on le retrouve dans sa forme la plus funeste, dans ce documentaire tourné
en Ukraine.
Avec sa caméra 16mm, dont l’image renvoie à d’autres guerres, Antonin Peretjatko filme le quotidien des habitant·es. La forme du film épouse ce sentiment d’urgence, à travers de brèves séquences prises sur le vif, des instantanés du réel aussi belles que terribles.
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En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Années 60, Sud-Ouest de la France. Téchiné nous offre un voyage dans le temps, pour revenir à l’époque de son adolescence, évoquant autant les tourments amoureux que la guerre d'Algérie.
Ce chef d'œuvre d’André Téchiné bouleverse encore par sa façon de raconter l'Histoire par le prisme des individus qui composent son récit, partagés entre espoir pour le futur et douleur du présent.
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Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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Un homme, très heureux dans son couple, trompe sa femme une nuit avec un homme… On suit le moment où les certitudes d’un couple s’effritent. Les dialogues impressionnent par leur sincérité et leur intelligente. Le film est une quête de sens, qui nous bouleverse tant puisque l’introspection ne se joue pas qu’entre les personnages. En effet, le réalisateur, talentueux, nous pousse aussi à l’introspection : l’amour, la confiance, la pluralité des désirs et la non-binarité. Un film d’une modernité rafraîchissante.
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Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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Même si les Bad Guys ne sont plus des crapules, difficile d’afficher patte blanche auprès de la société. Surtout quand le clan des Bad Girls fait tout pour les piéger !
Finies les arnaques : pour faire le bien, nos vilains héros doivent désormais forger leur réputation de Cool Guys !
Les réalisateurs continuent leur hommage aux films de braquage hollywoodiens, en en déjouant les codes avec brio, et une ironie particulièrement mordante (mention spéciale à la parodie de Mission : impossible !)
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Jouez de la flûte avec deux fillettes dans un monde où la musique a été bannie ! Chevauchez des dragons, devenez ami·e avec une licorne…
et bien d’autres merveilleuses aventures dans ce programme de quatre courts métrages!
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En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Michele patauge. Ce joueur de waterpolo et communiste convaincu a perdu la mémoire, et depuis, disons que le monde lui semble aussi absurde qu’obscur.
Palombella Rossa n’a rien perdu de sa drôlerie, et l’esprit acerbe de Moretti fait toujours des étincelles ! Se déroulant en grande partie dans une piscine, au cours d’un match, le film impose des images de cinéma inoubliables, où l’eau devient un personnage à part entière, et le bassin un reflet de la société. Ou comment parler d'une société italienne qui boit la tasse !
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Le nom d’Antonin Peretjatko est plutôt associé à des comédies loufoques, se déroulant dans un monde au bord du dérèglement. Ce dérèglement, on le retrouve dans sa forme la plus funeste, dans ce documentaire tourné
en Ukraine.
Avec sa caméra 16mm, dont l’image renvoie à d’autres guerres, Antonin Peretjatko filme le quotidien des habitant·es. La forme du film épouse ce sentiment d’urgence, à travers de brèves séquences prises sur le vif, des instantanés du réel aussi belles que terribles.
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Michele patauge. Ce joueur de waterpolo et communiste convaincu a perdu la mémoire, et depuis, disons que le monde lui semble aussi absurde qu’obscur.
Palombella Rossa n’a rien perdu de sa drôlerie, et l’esprit acerbe de Moretti fait toujours des étincelles ! Se déroulant en grande partie dans une piscine, au cours d’un match, le film impose des images de cinéma inoubliables, où l’eau devient un personnage à part entière, et le bassin un reflet de la société. Ou comment parler d'une société italienne qui boit la tasse !
Même si les Bad Guys ne sont plus des crapules, difficile d’afficher patte blanche auprès de la société. Surtout quand le clan des Bad Girls fait tout pour les piéger !
Finies les arnaques : pour faire le bien, nos vilains héros doivent désormais forger leur réputation de Cool Guys !
Les réalisateurs continuent leur hommage aux films de braquage hollywoodiens, en en déjouant les codes avec brio, et une ironie particulièrement mordante (mention spéciale à la parodie de Mission : impossible !)
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Grande salle
La Palme d’or 1975 relate l’histoire de l’Algérie depuis la conquête française jusqu’à la révolte de 1954, explorant la violence subie par le pays, des humiliations à la répression.
Une vaste fresque aux allures de western politique, qu’un Sergio Leone n’aurait pas dédaignée !
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Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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Un homme, très heureux dans son couple, trompe sa femme une nuit avec un homme… On suit le moment où les certitudes d’un couple s’effritent. Les dialogues impressionnent par leur sincérité et leur intelligente. Le film est une quête de sens, qui nous bouleverse tant puisque l’introspection ne se joue pas qu’entre les personnages. En effet, le réalisateur, talentueux, nous pousse aussi à l’introspection : l’amour, la confiance, la pluralité des désirs et la non-binarité. Un film d’une modernité rafraîchissante.
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Longtemps mal dans sa peau, Hugo aborde les vacances d’été avec confiance : il amène sur l’île où il a grandi sa nouvelle petite amie, Queen. Mais le regard que ses ami·es portent sur la volcanique jeune femme va peu à peu modifier sa relation avec elle.
Que peut l’amour fasse à la conscience de classe ? Telle est la question que pose avec délicatesse Aurélien Peyre dans ce premier long métrage, qui invente un personnage féminin qui dépasse tous les clichés.
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Michele patauge. Ce joueur de waterpolo et communiste convaincu a perdu la mémoire, et depuis, disons que le monde lui semble aussi absurde qu’obscur.
Palombella Rossa n’a rien perdu de sa drôlerie, et l’esprit acerbe de Moretti fait toujours des étincelles ! Se déroulant en grande partie dans une piscine, au cours d’un match, le film impose des images de cinéma inoubliables, où l’eau devient un personnage à part entière, et le bassin un reflet de la société. Ou comment parler d'une société italienne qui boit la tasse !
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Petite salle
La Palme d’or 1975 relate l’histoire de l’Algérie depuis la conquête française jusqu’à la révolte de 1954, explorant la violence subie par le pays, des humiliations à la répression.
Une vaste fresque aux allures de western politique, qu’un Sergio Leone n’aurait pas dédaignée !
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En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Petite salle
Années 60, Sud-Ouest de la France. Téchiné nous offre un voyage dans le temps, pour revenir à l’époque de son adolescence, évoquant autant les tourments amoureux que la guerre d'Algérie.
Ce chef d'œuvre d’André Téchiné bouleverse encore par sa façon de raconter l'Histoire par le prisme des individus qui composent son récit, partagés entre espoir pour le futur et douleur du présent.
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Petite salle
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Grande salle
Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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Petite salle
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Après un accident, Laura s'installe chez Betty, qui semble vivre seule. Elle reprend lentement pied, mais découvre que cette femme est rongée par une profonde tristesse.
Un tel résumé ne donne cependant pas le ton exact de ce film de Christian Petzold (Ondine, Le Ciel rouge), certes consacré à la douleur de la perte, mais qui se fait solaire et délicat, à l’image de son héroïne qui
renoue progressivement les bouts d’existences disloquées.
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La Palme d’or 1975 relate l’histoire de l’Algérie depuis la conquête française jusqu’à la révolte de 1954, explorant la violence subie par le pays, des humiliations à la répression.
Une vaste fresque aux allures de western politique, qu’un Sergio Leone n’aurait pas dédaignée !
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Petite salle
Le nom d’Antonin Peretjatko est plutôt associé à des comédies loufoques, se déroulant dans un monde au bord du dérèglement. Ce dérèglement, on le retrouve dans sa forme la plus funeste, dans ce documentaire tourné
en Ukraine.
Avec sa caméra 16mm, dont l’image renvoie à d’autres guerres, Antonin Peretjatko filme le quotidien des habitant·es. La forme du film épouse ce sentiment d’urgence, à travers de brèves séquences prises sur le vif, des instantanés du réel aussi belles que terribles.
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Grande salle
En Iran, Tarlan, professeur retraitée, est témoin d'un meurtre commis par une personnalité importante du gouvernement sur sa fille adoptive. Mais la police refuse d'enquêter.
Nader Saeivar rend ici hommage au mouvement « Femme, Vie, Liberté » à travers une héroïne témoin de la Révolution de 1979. Ainsi, c'est un écho des luttes à travers le temps que propose le cinéaste, tout comme
du silence, et parfois de la culpabilité qui entourent les femmes et hommes d’Iran de générations en générations.
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Grande salle
Tous les films du mercredi 10 au mardi 16 (semaine 202537)
Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
Léo, 11 ans, habite New York. C’est lors d’un séjour à l’hôpital qu’il se découvre un pouvoir hors du commun : une fois endormi, Léo peut sortir de son corps, se rendre invisible, voler et traverser les murs. Avec ses pouvoirs, il va aider Alex, un policier à la jambe cassée, à sauver la ville.
Après Une Vie de chat, Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli proposent un délicieux film d’animation mélangeant polar et histoires de fantômes.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
Dans ce film, les mort·es réapparaissent, mais ce sont d'étonnants fantômes: ainsi Nat, qui revient partager la vie de son mari (bien vivant, lui) sous la forme d'un... aspirateur.
Cette idée burlesque de métamorphoses variées suffirait à séduire. Mais le réalisateur va plus loin, interrogeant la place de ces fantômes dans la société contemporaine, en faisant l'incarnation - si on peut dire - des
violences et de la répression qui touchent la Thaïlande.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage A WALK INTO THE AFTERLIFE (Jiyun Jeong, 4')
Après une fête, la jeune Alpha, 13 ans, se retrouve avec un mystérieux tatouage. Craignant la réaction de sa mère, elle ne s'attend pas aux conséquences qui en découleront.
Julia Ducournau continue son exploration des « monstres », mais, cette fois, la mutation semble s’opérer dans un registre plus proche du réel, évoquant sans la nommer l'épidémie du sida. Une fable naturaliste, qui questionne avant tout notre capacité à intégrer la différence dans notre société.
Ce film est interdit aux - de 12 ans.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage BAVARAGES EN SIDA MINEURS (Virginie Thévenet, 4'20)
Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
Quelle merveille que de redécouvrir le cinéma d’Edward Yang, qui porta le cinéma taïwanais à son plus haut! Sa fresque familiale est d’une douce intimité, et parcourt les différentes étapes d’une vie, les choix et les
regrets, les moments de grâce et de doute, la joie d’apprendre et d’accepter, aussi, l’inévitable.
Après la fresque historique "Godland", Hlynur Pálmason revient avec un film intime, suivant le quotidien d'un couple en train de se séparer. Au fil des saisons, un portrait croisé bouleversant sur la manière dont chacun et chacune doit apprendre à retrouver sa place au sein d'une configuration familiale en voie d'éclatement.
Le nom d’Antonin Peretjatko est plutôt associé à des comédies loufoques, se déroulant dans un monde au bord du dérèglement. Ce dérèglement, on le retrouve dans sa forme la plus funeste, dans ce documentaire tourné
en Ukraine.
Avec sa caméra 16mm, dont l’image renvoie à d’autres guerres, Antonin Peretjatko filme le quotidien des habitant·es. La forme du film épouse ce sentiment d’urgence, à travers de brèves séquences prises sur le vif, des instantanés du réel aussi belles que terribles.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Petite salle
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Grande salle
Léo, 11 ans, habite New York. C’est lors d’un séjour à l’hôpital qu’il se découvre un pouvoir hors du commun : une fois endormi, Léo peut sortir de son corps, se rendre invisible, voler et traverser les murs. Avec ses pouvoirs, il va aider Alex, un policier à la jambe cassée, à sauver la ville.
Après Une Vie de chat, Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli proposent un délicieux film d’animation mélangeant polar et histoires de fantômes.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
vf
Grande salle
Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
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Grande salle
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Petite salle
Dans ce film, les mort·es réapparaissent, mais ce sont d'étonnants fantômes: ainsi Nat, qui revient partager la vie de son mari (bien vivant, lui) sous la forme d'un... aspirateur.
Cette idée burlesque de métamorphoses variées suffirait à séduire. Mais le réalisateur va plus loin, interrogeant la place de ces fantômes dans la société contemporaine, en faisant l'incarnation - si on peut dire - des
violences et de la répression qui touchent la Thaïlande.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage A WALK INTO THE AFTERLIFE (Jiyun Jeong, 4')
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Grande salle
Après une fête, la jeune Alpha, 13 ans, se retrouve avec un mystérieux tatouage. Craignant la réaction de sa mère, elle ne s'attend pas aux conséquences qui en découleront.
Julia Ducournau continue son exploration des « monstres », mais, cette fois, la mutation semble s’opérer dans un registre plus proche du réel, évoquant sans la nommer l'épidémie du sida. Une fable naturaliste, qui questionne avant tout notre capacité à intégrer la différence dans notre société.
Ce film est interdit aux - de 12 ans.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage BAVARAGES EN SIDA MINEURS (Virginie Thévenet, 4'20)
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Petite salle
Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
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Petite salle
Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Quelle merveille que de redécouvrir le cinéma d’Edward Yang, qui porta le cinéma taïwanais à son plus haut! Sa fresque familiale est d’une douce intimité, et parcourt les différentes étapes d’une vie, les choix et les
regrets, les moments de grâce et de doute, la joie d’apprendre et d’accepter, aussi, l’inévitable.
Après une fête, la jeune Alpha, 13 ans, se retrouve avec un mystérieux tatouage. Craignant la réaction de sa mère, elle ne s'attend pas aux conséquences qui en découleront.
Julia Ducournau continue son exploration des « monstres », mais, cette fois, la mutation semble s’opérer dans un registre plus proche du réel, évoquant sans la nommer l'épidémie du sida. Une fable naturaliste, qui questionne avant tout notre capacité à intégrer la différence dans notre société.
Ce film est interdit aux - de 12 ans.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage BAVARAGES EN SIDA MINEURS (Virginie Thévenet, 4'20)
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Après la fresque historique "Godland", Hlynur Pálmason revient avec un film intime, suivant le quotidien d'un couple en train de se séparer. Au fil des saisons, un portrait croisé bouleversant sur la manière dont chacun et chacune doit apprendre à retrouver sa place au sein d'une configuration familiale en voie d'éclatement.
Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
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Léo, 11 ans, habite New York. C’est lors d’un séjour à l’hôpital qu’il se découvre un pouvoir hors du commun : une fois endormi, Léo peut sortir de son corps, se rendre invisible, voler et traverser les murs. Avec ses pouvoirs, il va aider Alex, un policier à la jambe cassée, à sauver la ville.
Après Une Vie de chat, Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli proposent un délicieux film d’animation mélangeant polar et histoires de fantômes.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Dans ce film, les mort·es réapparaissent, mais ce sont d'étonnants fantômes: ainsi Nat, qui revient partager la vie de son mari (bien vivant, lui) sous la forme d'un... aspirateur.
Cette idée burlesque de métamorphoses variées suffirait à séduire. Mais le réalisateur va plus loin, interrogeant la place de ces fantômes dans la société contemporaine, en faisant l'incarnation - si on peut dire - des
violences et de la répression qui touchent la Thaïlande.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage A WALK INTO THE AFTERLIFE (Jiyun Jeong, 4')
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Après une fête, la jeune Alpha, 13 ans, se retrouve avec un mystérieux tatouage. Craignant la réaction de sa mère, elle ne s'attend pas aux conséquences qui en découleront.
Julia Ducournau continue son exploration des « monstres », mais, cette fois, la mutation semble s’opérer dans un registre plus proche du réel, évoquant sans la nommer l'épidémie du sida. Une fable naturaliste, qui questionne avant tout notre capacité à intégrer la différence dans notre société.
Ce film est interdit aux - de 12 ans.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage BAVARAGES EN SIDA MINEURS (Virginie Thévenet, 4'20)
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Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Léo, 11 ans, habite New York. C’est lors d’un séjour à l’hôpital qu’il se découvre un pouvoir hors du commun : une fois endormi, Léo peut sortir de son corps, se rendre invisible, voler et traverser les murs. Avec ses pouvoirs, il va aider Alex, un policier à la jambe cassée, à sauver la ville.
Après Une Vie de chat, Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli proposent un délicieux film d’animation mélangeant polar et histoires de fantômes.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
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Petite salle
Le nom d’Antonin Peretjatko est plutôt associé à des comédies loufoques, se déroulant dans un monde au bord du dérèglement. Ce dérèglement, on le retrouve dans sa forme la plus funeste, dans ce documentaire tourné
en Ukraine.
Avec sa caméra 16mm, dont l’image renvoie à d’autres guerres, Antonin Peretjatko filme le quotidien des habitant·es. La forme du film épouse ce sentiment d’urgence, à travers de brèves séquences prises sur le vif, des instantanés du réel aussi belles que terribles.
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Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
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Quelle merveille que de redécouvrir le cinéma d’Edward Yang, qui porta le cinéma taïwanais à son plus haut! Sa fresque familiale est d’une douce intimité, et parcourt les différentes étapes d’une vie, les choix et les
regrets, les moments de grâce et de doute, la joie d’apprendre et d’accepter, aussi, l’inévitable.
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Dans ce film, les mort·es réapparaissent, mais ce sont d'étonnants fantômes: ainsi Nat, qui revient partager la vie de son mari (bien vivant, lui) sous la forme d'un... aspirateur.
Cette idée burlesque de métamorphoses variées suffirait à séduire. Mais le réalisateur va plus loin, interrogeant la place de ces fantômes dans la société contemporaine, en faisant l'incarnation - si on peut dire - des
violences et de la répression qui touchent la Thaïlande.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage A WALK INTO THE AFTERLIFE (Jiyun Jeong, 4')
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Dans ce film, les mort·es réapparaissent, mais ce sont d'étonnants fantômes: ainsi Nat, qui revient partager la vie de son mari (bien vivant, lui) sous la forme d'un... aspirateur.
Cette idée burlesque de métamorphoses variées suffirait à séduire. Mais le réalisateur va plus loin, interrogeant la place de ces fantômes dans la société contemporaine, en faisant l'incarnation - si on peut dire - des
violences et de la répression qui touchent la Thaïlande.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage A WALK INTO THE AFTERLIFE (Jiyun Jeong, 4')
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Après une fête, la jeune Alpha, 13 ans, se retrouve avec un mystérieux tatouage. Craignant la réaction de sa mère, elle ne s'attend pas aux conséquences qui en découleront.
Julia Ducournau continue son exploration des « monstres », mais, cette fois, la mutation semble s’opérer dans un registre plus proche du réel, évoquant sans la nommer l'épidémie du sida. Une fable naturaliste, qui questionne avant tout notre capacité à intégrer la différence dans notre société.
Ce film est interdit aux - de 12 ans.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage BAVARAGES EN SIDA MINEURS (Virginie Thévenet, 4'20)
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Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Un léger accident de la route à Haïfa déclenche une série de répercussions dans la vie de quatre individus aux destins interconnectés.
Avec humour et émotion, Scandar Copti signe une chronique familiale où chaque personnage cherche sa place. Une analyse fine des êtres humains, ainsi que de la crise identitaire des Palestinien·nes: comment se construire et faire unité, quand tous nos repères sont si précaires?
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Petite salle
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
Dans ce film, les mort·es réapparaissent, mais ce sont d'étonnants fantômes: ainsi Nat, qui revient partager la vie de son mari (bien vivant, lui) sous la forme d'un... aspirateur.
Cette idée burlesque de métamorphoses variées suffirait à séduire. Mais le réalisateur va plus loin, interrogeant la place de ces fantômes dans la société contemporaine, en faisant l'incarnation - si on peut dire - des
violences et de la répression qui touchent la Thaïlande.
Toutes les séances du film sont précédées du court métrage A WALK INTO THE AFTERLIFE (Jiyun Jeong, 4')
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Tous les films du mercredi 17 au mardi 23 (semaine 202538)
Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
Quand Chaplin s’approprie le western! On n’oublie pas Charlot mangeant ses lacets comme des spaghettis ou la maison tanguant d’un bord à l’autre de l’abîme lors d’une hilarante scène de bagarre!
Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
Le Roi Soleil, c’est un bar PMU comme il y en a tant. Sauf qu’aujourd’hui, un homme est mort, laissant derrière lui un ticket de loto qui attire bien des convoitises.
Après "Les Magnétiques" et ses afficionados de la radio pirate, Vincent Maël Cardona nous plonge dans une autre communauté, qui se côtoie dans ce bar, tour à tour inquiétant ou rassurant, décor de polar ou de film d’horreur, refuge face à une certaine mélancolie.
En 1890, Mademoiselle Julie et sa compagne et associée Mademoiselle Cara dirigent le pensionnat des Avons, qui accueille des jeunes filles de bonnes familles. Troublants, le charme et la personnalité de Mademoiselle Julie fascinent les jeunes pensionnaires, et ne tardent pas à envoûter Olivia, une nouvelle arrivante.
La sortie en 1951 de ce film réalisé par une femme, écrit par une femme, adapté d’un roman écrit par une femme, et joué par des femmes, tient de l’événement : la presse rendra tour à tour des verdicts élogieux ou outragés. Toutefois, si Olivia est nécessairement un film avant-gardiste par son féminisme, celui-ci ne doit pas éclipser le talent de sa réalisatrice, Jacqueline Audry, et de son élégante mise en scène, qui nous emporte dans un délicieux tourment.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Dès le générique, porté par un morceau de Nine Inch Nails, David Fincher annonce un film très sombre et dérangeant. Juste après Alien 3, ce jeune réalisateur encore inconnu, fait un coup double : mettre en scène un des thrillers les plus captivant des années 90 et sortir Brad Pitt de ses rôles de bellâtre. Ce film, à la violence graphique assez prononcée, repose surtout sur une mise en scène faisant de New York une ville hostile dans une atmosphère poisseuse sublimée par le travail de Darius Khondji (directeur photo) et la musique de Howard Shore.
Un prince, maudit par un démon, doit abandonner son village. Dans un monde où les anciens dieux et les humain·es se combattent, il devra apprendre à jeter sur eux « un regard sans haine.»
Fresque épique, tragédie déchirante et réflexion sur la place des êtres humains au sein de la nature, Princesse Mononoké concilie les obsessions de Miyazaki et offre un spectacle haletant, dépourvu de tout manichéisme.
Un écrivain se rapproche de la famille d'un homme détestable : il est en effet persuadé que ce dernier est responsable de la mort de son enfant, écrasé par un chauffard.
Un récit de vengeance et d'abjection.
Dans une petite ville de province, Paul, un boucher traumatisé par la guerre, fait la connaissance de Mademoiselle Hélène, la nouvelle institutrice. Entre eux, une relation commence à se nouer, alors que la tranquillité du bourg est troublée par des meurtres sauvages.
Tout le génie de Chabrol est là : la représentation sans concession de la vie de province, la brutalité cachée sous le vernis de la civilisation, et bien sûr, en bon hitchcockien qu’il était, l’exploration ténue de la frontière entre pulsion de vie et désir de mort.
À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
Fiona, infirmière, est de garde ce soir. Alors que le personnel est en sous-effectif, les patient·es comme les crises se succèdent.
Un film dont le récit est contenu sur quelques heures : quelques heures pour mieux sentir le rythme, effréné, auquel se cramponne Fiona, et l'abattement de millions de gestes - tous d’une urgence et d’une importance capitales.
Un film-électrochoc, et un hommage saisissant au travail des soignant·es.
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Quand Chaplin s’approprie le western! On n’oublie pas Charlot mangeant ses lacets comme des spaghettis ou la maison tanguant d’un bord à l’autre de l’abîme lors d’une hilarante scène de bagarre!
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Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
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Grande salle
Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Petite salle
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Grande salle
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Le Roi Soleil, c’est un bar PMU comme il y en a tant. Sauf qu’aujourd’hui, un homme est mort, laissant derrière lui un ticket de loto qui attire bien des convoitises.
Après "Les Magnétiques" et ses afficionados de la radio pirate, Vincent Maël Cardona nous plonge dans une autre communauté, qui se côtoie dans ce bar, tour à tour inquiétant ou rassurant, décor de polar ou de film d’horreur, refuge face à une certaine mélancolie.
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Petite salle
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Le Roi Soleil, c’est un bar PMU comme il y en a tant. Sauf qu’aujourd’hui, un homme est mort, laissant derrière lui un ticket de loto qui attire bien des convoitises.
Après "Les Magnétiques" et ses afficionados de la radio pirate, Vincent Maël Cardona nous plonge dans une autre communauté, qui se côtoie dans ce bar, tour à tour inquiétant ou rassurant, décor de polar ou de film d’horreur, refuge face à une certaine mélancolie.
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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En 1890, Mademoiselle Julie et sa compagne et associée Mademoiselle Cara dirigent le pensionnat des Avons, qui accueille des jeunes filles de bonnes familles. Troublants, le charme et la personnalité de Mademoiselle Julie fascinent les jeunes pensionnaires, et ne tardent pas à envoûter Olivia, une nouvelle arrivante.
La sortie en 1951 de ce film réalisé par une femme, écrit par une femme, adapté d’un roman écrit par une femme, et joué par des femmes, tient de l’événement : la presse rendra tour à tour des verdicts élogieux ou outragés. Toutefois, si Olivia est nécessairement un film avant-gardiste par son féminisme, celui-ci ne doit pas éclipser le talent de sa réalisatrice, Jacqueline Audry, et de son élégante mise en scène, qui nous emporte dans un délicieux tourment.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Il y a des amis qu’on adorent, mais qui nous entraînent toujours dans des histoires pas possibles…
C’est le cas des lamas Hector, Raul et Fernando, nouvelles recrues de la ferme que Shaun aura bien du mal à contenir ! On retrouve ici la maestria burlesque des studios Aardman, toujours au poil !
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Le Roi Soleil, c’est un bar PMU comme il y en a tant. Sauf qu’aujourd’hui, un homme est mort, laissant derrière lui un ticket de loto qui attire bien des convoitises.
Après "Les Magnétiques" et ses afficionados de la radio pirate, Vincent Maël Cardona nous plonge dans une autre communauté, qui se côtoie dans ce bar, tour à tour inquiétant ou rassurant, décor de polar ou de film d’horreur, refuge face à une certaine mélancolie.
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Dès le générique, porté par un morceau de Nine Inch Nails, David Fincher annonce un film très sombre et dérangeant. Juste après Alien 3, ce jeune réalisateur encore inconnu, fait un coup double : mettre en scène un des thrillers les plus captivant des années 90 et sortir Brad Pitt de ses rôles de bellâtre. Ce film, à la violence graphique assez prononcée, repose surtout sur une mise en scène faisant de New York une ville hostile dans une atmosphère poisseuse sublimée par le travail de Darius Khondji (directeur photo) et la musique de Howard Shore.
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Un prince, maudit par un démon, doit abandonner son village. Dans un monde où les anciens dieux et les humain·es se combattent, il devra apprendre à jeter sur eux « un regard sans haine.»
Fresque épique, tragédie déchirante et réflexion sur la place des êtres humains au sein de la nature, Princesse Mononoké concilie les obsessions de Miyazaki et offre un spectacle haletant, dépourvu de tout manichéisme.
Le Roi Soleil, c’est un bar PMU comme il y en a tant. Sauf qu’aujourd’hui, un homme est mort, laissant derrière lui un ticket de loto qui attire bien des convoitises.
Après "Les Magnétiques" et ses afficionados de la radio pirate, Vincent Maël Cardona nous plonge dans une autre communauté, qui se côtoie dans ce bar, tour à tour inquiétant ou rassurant, décor de polar ou de film d’horreur, refuge face à une certaine mélancolie.
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Un écrivain se rapproche de la famille d'un homme détestable : il est en effet persuadé que ce dernier est responsable de la mort de son enfant, écrasé par un chauffard.
Un récit de vengeance et d'abjection.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Dans une petite ville de province, Paul, un boucher traumatisé par la guerre, fait la connaissance de Mademoiselle Hélène, la nouvelle institutrice. Entre eux, une relation commence à se nouer, alors que la tranquillité du bourg est troublée par des meurtres sauvages.
Tout le génie de Chabrol est là : la représentation sans concession de la vie de province, la brutalité cachée sous le vernis de la civilisation, et bien sûr, en bon hitchcockien qu’il était, l’exploration ténue de la frontière entre pulsion de vie et désir de mort.
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
Luis et son fils n’ont rien à faire là, et pourtant ils s’acharnent. Au milieu du désert marocain, parmi des ravers, ils sont à la recherche de la fille de Luis. Là, ils apprennent l’existence d’une autre fête, et persuadent
une bande de marginaux de les y mener.
On peut comprendre l’enthousiasme suscité par cette œuvre ambitieuse au dernier Festival de Cannes. Le film, qui a remporté le Prix
du jury, propose un étonnant travail sur le son et nous plonge dans des paysages désertiques dignes de grands westerns. Entre "Mad Max" et "Zabriskie Point", une expérience de cinéma puissante.
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Tous les films du mercredi 24 au mardi 30 (semaine 202539)
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
Le réalisateur, qui est aussi le papa de Maya, lui demande son aide pour trouver l'inspiration. Elle lui donne des histoires, et lui leur donne vie, avec ses ciseaux, ses papiers de couleur et son imagination!
Quand Chaplin s’approprie le western! On n’oublie pas Charlot mangeant ses lacets comme des spaghettis ou la maison tanguant d’un bord à l’autre de l’abîme lors d’une hilarante scène de bagarre!
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
Lidia grandit dans un village de mineurs, au milieu d’une joyeuse famille de personnes queer qui revendiquent leur marginalité.
Un film étonnant entre western (pour la beauté sauvage des paysages et la thématique de la vengeance) et utopie où un petit groupe parvient, vaille que vaille, à faire admettre sa différence.
Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
Gilberte et William Sportisse forment un couple hors du commun : juif·ve, algérien·ne, communistes… Ils représentent soixante-dix ans de l’Histoire de leur pays. Un récit que les cinéastes ont souhaité recueillir, d’abord en hommage à cet amour qui a bravé tant d’obstacles. Mais aussi parce que leurs témoignages relatent l’évolution de l'Algérie, le colonialisme confronté à l'intimité d’une vie,. Le résultat est un documentaire poignant bien que parfois douloureux.
Trois courts métrages, et des envolées d’oiseaux, du roitelet qui ose affronter un redoutable aigle, au modeste moineau, qui mène un jeune moine vers la sagesse. Sans oublier le rossignol qui fascine la Princesse Cerise, retenue dans un château. Avec ces trois contes, les enfants apprendront eux aussi à déployer leurs ailes et à découvrir le monde. On n'a qu'une hâte : voler avec ces oiseaux-là !
Les aventures de la petite Violette et de son oncle Régis à Versailles.
Brésil, 1977. Un homme au passé sombre se sait traqué. Fatigué de sa cavale, il tente de reconstruire sa vie à Recife, sa ville natale. Mais les démons n'offrent jamais de répit durable…
Après "Aquarius", Kleber Mendonça Filho signe un film d'une grande virtuosité, entre quête identitaire et film d’espionnage, sur la dictature militaire qui a eu cours dans son pays. Il tend ainsi un miroir déroutant au climat politique de notre époque.
Agathe travaille dans une librairie anglaise à Paris, et pour cette aspirante écrivaine, les jours passent sans que l’amour pointe le bout de son nez. Une résidence d’écriture en Angleterre pourrait changer la donne.
Jolie surprise que cette comédie romantique, qui joue avec l’univers de Jane Austen. Des quiproquos, de l’orgueil et quelques préjugés, beaucoup de sentiments, une pincée de raison, et surtout une héroïne irrésistible de
drôlerie et de maladresse !
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Le réalisateur, qui est aussi le papa de Maya, lui demande son aide pour trouver l'inspiration. Elle lui donne des histoires, et lui leur donne vie, avec ses ciseaux, ses papiers de couleur et son imagination!
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Quand Chaplin s’approprie le western! On n’oublie pas Charlot mangeant ses lacets comme des spaghettis ou la maison tanguant d’un bord à l’autre de l’abîme lors d’une hilarante scène de bagarre!
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Lidia grandit dans un village de mineurs, au milieu d’une joyeuse famille de personnes queer qui revendiquent leur marginalité.
Un film étonnant entre western (pour la beauté sauvage des paysages et la thématique de la vengeance) et utopie où un petit groupe parvient, vaille que vaille, à faire admettre sa différence.
Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
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Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Gilberte et William Sportisse forment un couple hors du commun : juif·ve, algérien·ne, communistes… Ils représentent soixante-dix ans de l’Histoire de leur pays. Un récit que les cinéastes ont souhaité recueillir, d’abord en hommage à cet amour qui a bravé tant d’obstacles. Mais aussi parce que leurs témoignages relatent l’évolution de l'Algérie, le colonialisme confronté à l'intimité d’une vie,. Le résultat est un documentaire poignant bien que parfois douloureux.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
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Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Le réalisateur, qui est aussi le papa de Maya, lui demande son aide pour trouver l'inspiration. Elle lui donne des histoires, et lui leur donne vie, avec ses ciseaux, ses papiers de couleur et son imagination!
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Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Trois courts métrages, et des envolées d’oiseaux, du roitelet qui ose affronter un redoutable aigle, au modeste moineau, qui mène un jeune moine vers la sagesse. Sans oublier le rossignol qui fascine la Princesse Cerise, retenue dans un château. Avec ces trois contes, les enfants apprendront eux aussi à déployer leurs ailes et à découvrir le monde. On n'a qu'une hâte : voler avec ces oiseaux-là !
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Les aventures de la petite Violette et de son oncle Régis à Versailles.
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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Petite salle
Brésil, 1977. Un homme au passé sombre se sait traqué. Fatigué de sa cavale, il tente de reconstruire sa vie à Recife, sa ville natale. Mais les démons n'offrent jamais de répit durable…
Après "Aquarius", Kleber Mendonça Filho signe un film d'une grande virtuosité, entre quête identitaire et film d’espionnage, sur la dictature militaire qui a eu cours dans son pays. Il tend ainsi un miroir déroutant au climat politique de notre époque.
Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Grande salle
À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
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Petite salle
À 20 ans, Kwame est porté par ses rêves et une furieuse ambition. Il travaille dans les mines illégales de saphir à Tamatave, ville portuaire de Madagascar. Le jour où il est contraint de retourner dans sa ville natale,
la réalité politique de son pays le rattrape.
Entre documentaire et fiction, "Disco Afrika" dresse un portrait enflammé de la jeunesse malgache, rythmé par des sons alliant le jazz, le yoruba ou encore le funk.
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Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Petite salle
Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Grande salle
Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Petite salle
Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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Grande salle
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Fatem Hassona était journaliste. Habitante de Gaza, qu’elle refusait de quitter, elle racontait le quotidien d’un pays en guerre avec courage et fierté. C’est de cette femme inoubliable que la réalisatrice Sepideh Farsi fait l’héroïne de son film, et à laquelle elle rend hommage après son décès, le 16 avril 2025.
Le film fait se rencontrer deux douleurs, deux exils, celui de Fatem Hassona, dont le monde est en train de s’écrouler, et celui de Sepideh Farsi, exilée de son Iran natal.
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Y. fait tout ce qu’on lui dit de faire : chanter, danser, faire la fête ou l’amour. Au lendemain du 7 octobre 2023, il est contacté pour écrire
un hymne national vengeur et destructeur.
Dialoguant de manière frontale avec l’actualité, Nadav Lapid continue son portrait au vitriol de la société israélienne, dans un film de tous les excès, d’une inventivité formelle permanente : comédie musicale, satire, dénonciation politique se mêlent dans une danse macabre détonante.
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Un SDF se suicide après avoir été expulsé de son abri. L’huissière en charge de l’affaire tente d'éponger sa culpabilité par tous les moyens.
Clin d'œil à peine voilé au néoréalisme d'Europe 51, c’est au maître des surréalistes, Luis Buñuel, que Radu Jude a choisi de dédier son
Ours d’argent pour Kontinental’25. Une jolie pirouette pour le réalisateur de cette terrible fable sociale, dont l’absurdité du scénario n’a d’égale que la noirceur de son humour.
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Petite salle
Agathe travaille dans une librairie anglaise à Paris, et pour cette aspirante écrivaine, les jours passent sans que l’amour pointe le bout de son nez. Une résidence d’écriture en Angleterre pourrait changer la donne.
Jolie surprise que cette comédie romantique, qui joue avec l’univers de Jane Austen. Des quiproquos, de l’orgueil et quelques préjugés, beaucoup de sentiments, une pincée de raison, et surtout une héroïne irrésistible de
drôlerie et de maladresse !
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Un premier film délicat porté par un interprète brillant, Théodore Pellerin. Nino apprend devoir commencer une chimiothérapie. Choqué par cette annonce, le jeune homme, qui a perdu ses clefs, va déambuler dans Paris entre sa mère, son meilleur ami et d’autres croisé·es au hasard. Dans ce quotidien suspendu, on ne quitte jamais le personnage, entre errance et questionnements.
Un film aux allures de "Cléo de 5 à 7" qui cristallise la solitude contemporaine.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 01 au mardi 07 (semaine 202540)
Le petit poisson qui racontait des histoires… Timioche, un petit poisson toujours en retard, adore inventer des excuses, souvent plus grosses que lui ! Jusqu'au jour où une mésaventure lui arrive vraiment…
Le petit poisson qui racontait des histoires… Timioche, un petit poisson toujours en retard, adore inventer des excuses, souvent plus grosses que lui ! Jusqu'au jour où une mésaventure lui arrive vraiment…
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Le petit poisson qui racontait des histoires… Timioche, un petit poisson toujours en retard, adore inventer des excuses, souvent plus grosses que lui ! Jusqu'au jour où une mésaventure lui arrive vraiment…
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Tous les films du mercredi 08 au mardi 14 (semaine 202541)
Née en 1969 dans les forêts de Bornéo, Nénette vient d’avoir 40 ans. Il est très rare qu’un orang-outan atteigne cet âge-là ! Pensionnaire à la ménagerie du Jardin des Plantes - à Paris - depuis 1972, elle y a aujourd’hui plus d’ancienneté que n’importe quel membre du personnel. Vedette incontestée des lieux, elle voit, chaque jour, des centaines de visiteurs défiler devant sa cage. Naturellement, chacun y va de son petit commentaire…
Lassés des mauvais traitements, les animaux de la Ferme du manoir se révoltent contre Mr Jones, le fermier. Ils le chassent et proclament une nouvelle société où tous les animaux sont égaux. Mais quelques-uns dans la ferme décident bientôt que certains sont plus égaux que d'autres…
Le petit poisson qui racontait des histoires… Timioche, un petit poisson toujours en retard, adore inventer des excuses, souvent plus grosses que lui ! Jusqu'au jour où une mésaventure lui arrive vraiment…
Née en 1969 dans les forêts de Bornéo, Nénette vient d’avoir 40 ans. Il est très rare qu’un orang-outan atteigne cet âge-là ! Pensionnaire à la ménagerie du Jardin des Plantes - à Paris - depuis 1972, elle y a aujourd’hui plus d’ancienneté que n’importe quel membre du personnel. Vedette incontestée des lieux, elle voit, chaque jour, des centaines de visiteurs défiler devant sa cage. Naturellement, chacun y va de son petit commentaire…
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Lassés des mauvais traitements, les animaux de la Ferme du manoir se révoltent contre Mr Jones, le fermier. Ils le chassent et proclament une nouvelle société où tous les animaux sont égaux. Mais quelques-uns dans la ferme décident bientôt que certains sont plus égaux que d'autres…
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Lassés des mauvais traitements, les animaux de la Ferme du manoir se révoltent contre Mr Jones, le fermier. Ils le chassent et proclament une nouvelle société où tous les animaux sont égaux. Mais quelques-uns dans la ferme décident bientôt que certains sont plus égaux que d'autres…
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Lassés des mauvais traitements, les animaux de la Ferme du manoir se révoltent contre Mr Jones, le fermier. Ils le chassent et proclament une nouvelle société où tous les animaux sont égaux. Mais quelques-uns dans la ferme décident bientôt que certains sont plus égaux que d'autres…
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Tous les films du mercredi 15 au mardi 21 (semaine 202542)
Les yeux dans les étoiles Un programme de 5 courts-métrages d'animation sur le thème du ciel et les étoiles : A Sunny day de Gil Alkabetz. Galiléo de Ghislain Avrillon. La P'tite Ourse de Fabienne Collet. Un Tricot pour la Lune de Gil Alkabetz. Margarita d'Alex Cervantes.
Les yeux dans les étoiles Un programme de 5 courts-métrages d'animation sur le thème du ciel et les étoiles : A Sunny day de Gil Alkabetz. Galiléo de Ghislain Avrillon. La P'tite Ourse de Fabienne Collet. Un Tricot pour la Lune de Gil Alkabetz. Margarita d'Alex Cervantes.
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Les yeux dans les étoiles Un programme de 5 courts-métrages d'animation sur le thème du ciel et les étoiles : A Sunny day de Gil Alkabetz. Galiléo de Ghislain Avrillon. La P'tite Ourse de Fabienne Collet. Un Tricot pour la Lune de Gil Alkabetz. Margarita d'Alex Cervantes.
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Tous les films du mercredi 22 au mardi 28 (semaine 202543)
Lucie, petite fille dégourdie de 10 ans, vient passer quelques jours de vacances avec sa mère, Caroline. Celle-ci est archéologue et participe à des fouilles à la campagne avec Pierrot, un collègue débonnaire. Très vite, Lucie découvre que sa mère a vécu enfant dans cette région et qu’elle cache un secret sur son histoire familiale. Encouragée dans sa quête par un couple de mésanges et d’autres amis à quatre pattes, Lucie entraîne dans ses aventures Yann, un nouveau copain qui, bien malgré lui, va se retrouver au coeur des évènements. Tous les deux vont aller de surprises insolites en découvertes fabuleuses.
Lucie, petite fille dégourdie de 10 ans, vient passer quelques jours de vacances avec sa mère, Caroline. Celle-ci est archéologue et participe à des fouilles à la campagne avec Pierrot, un collègue débonnaire. Très vite, Lucie découvre que sa mère a vécu enfant dans cette région et qu’elle cache un secret sur son histoire familiale. Encouragée dans sa quête par un couple de mésanges et d’autres amis à quatre pattes, Lucie entraîne dans ses aventures Yann, un nouveau copain qui, bien malgré lui, va se retrouver au coeur des évènements. Tous les deux vont aller de surprises insolites en découvertes fabuleuses.
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Lucie, petite fille dégourdie de 10 ans, vient passer quelques jours de vacances avec sa mère, Caroline. Celle-ci est archéologue et participe à des fouilles à la campagne avec Pierrot, un collègue débonnaire. Très vite, Lucie découvre que sa mère a vécu enfant dans cette région et qu’elle cache un secret sur son histoire familiale. Encouragée dans sa quête par un couple de mésanges et d’autres amis à quatre pattes, Lucie entraîne dans ses aventures Yann, un nouveau copain qui, bien malgré lui, va se retrouver au coeur des évènements. Tous les deux vont aller de surprises insolites en découvertes fabuleuses.
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Lucie, petite fille dégourdie de 10 ans, vient passer quelques jours de vacances avec sa mère, Caroline. Celle-ci est archéologue et participe à des fouilles à la campagne avec Pierrot, un collègue débonnaire. Très vite, Lucie découvre que sa mère a vécu enfant dans cette région et qu’elle cache un secret sur son histoire familiale. Encouragée dans sa quête par un couple de mésanges et d’autres amis à quatre pattes, Lucie entraîne dans ses aventures Yann, un nouveau copain qui, bien malgré lui, va se retrouver au coeur des évènements. Tous les deux vont aller de surprises insolites en découvertes fabuleuses.
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Lucie, petite fille dégourdie de 10 ans, vient passer quelques jours de vacances avec sa mère, Caroline. Celle-ci est archéologue et participe à des fouilles à la campagne avec Pierrot, un collègue débonnaire. Très vite, Lucie découvre que sa mère a vécu enfant dans cette région et qu’elle cache un secret sur son histoire familiale. Encouragée dans sa quête par un couple de mésanges et d’autres amis à quatre pattes, Lucie entraîne dans ses aventures Yann, un nouveau copain qui, bien malgré lui, va se retrouver au coeur des évènements. Tous les deux vont aller de surprises insolites en découvertes fabuleuses.
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Tous les films du mercredi 05 au mardi 11 (semaine 202545)
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
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