Cria Cuervos
2021 - Espagne - Durée : 1h 49minDe Carlos Saura
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda Chico, Ana Torrent, Conchita Pérez, Mayte Sánchez, Héctor Alterio, Germán Cobos, Mirta Miller, Josefina Díaz, Julieta Serrano, Juan Sánchez Almendros
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda...
Cria Cuervos
2021 - Espagne - Durée : 1h 49minDe Carlos Saura
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda Chico, Ana Torrent, Conchita Pérez, Mayte Sánchez, Héctor Alterio, Germán Cobos, Mirta Miller, Josefina Díaz, Julieta Serrano, Juan Sánchez Almendros
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda...
Cria Cuervos
2021 - Espagne - Durée : 1h 49minDe Carlos Saura
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda Chico, Ana Torrent, Conchita Pérez, Mayte Sánchez, Héctor Alterio, Germán Cobos, Mirta Miller, Josefina Díaz, Julieta Serrano, Juan Sánchez Almendros
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda...
Cria Cuervos
2021 - Espagne - Durée : 1h 49minDe Carlos Saura
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda Chico, Ana Torrent, Conchita Pérez, Mayte Sánchez, Héctor Alterio, Germán Cobos, Mirta Miller, Josefina Díaz, Julieta Serrano, Juan Sánchez Almendros
Avec Geraldine Chaplin, Mónica Randall, Florinda...
Dès 5 ans
Mon voisin Totoro
1999 - Japon - Durée : 1h 27minDe Hayao Miyazaki
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato Itoi, Sumi Shimamoto, Tanie Kitabayashi, Hitoshi Takagi, Masashi Hirose, Yûko Maruyama, Shigeru Chiba, Toshiyuki Amagasa
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato...
Dès 5 ans
Mon voisin Totoro
1999 - Japon - Durée : 1h 27minDe Hayao Miyazaki
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato Itoi, Sumi Shimamoto, Tanie Kitabayashi, Hitoshi Takagi, Masashi Hirose, Yûko Maruyama, Shigeru Chiba, Toshiyuki Amagasa
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato...
Dès 5 ans
Mon voisin Totoro
1999 - Japon - Durée : 1h 27minDe Hayao Miyazaki
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato Itoi, Sumi Shimamoto, Tanie Kitabayashi, Hitoshi Takagi, Masashi Hirose, Yûko Maruyama, Shigeru Chiba, Toshiyuki Amagasa
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato...
Dès 5 ans
Mon voisin Totoro
1999 - Japon - Durée : 1h 27minDe Hayao Miyazaki
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato Itoi, Sumi Shimamoto, Tanie Kitabayashi, Hitoshi Takagi, Masashi Hirose, Yûko Maruyama, Shigeru Chiba, Toshiyuki Amagasa
Avec Noriko Hidaka, Chika Sakamoto, Shigesato...
À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième...
À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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À mon seul désir
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Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
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À mon seul désir
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
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Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
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À mon seul désir
2023 - France - Durée : 1h 57minDe Lucie Borleteau
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième Miladi, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Yuliya Abiss, Tokou Bogui, Céline Fuhrer, Sipan Mouradian, Thimotée Robart, Melvil Poupaud, Félix Maritaud
Avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Sième...
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Dès 6 ans
Maurice le chat fabuleux
2023 - Allemagne / Royaume Uni - Durée : 1h 33minDe Toby Genkel
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, Himesh Patel, Gemma Arterton, Hugh Bonneville, Ariyon Bakare, Julie Atherton, David Tennant, Joe Sugg, Peter Serafinowicz, Rob Brydon
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, ...
Dès 6 ans
Maurice le chat fabuleux
2023 - Allemagne / Royaume Uni - Durée : 1h 33minDe Toby Genkel
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, Himesh Patel, Gemma Arterton, Hugh Bonneville, Ariyon Bakare, Julie Atherton, David Tennant, Joe Sugg, Peter Serafinowicz, Rob Brydon
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, ...
Dès 6 ans
Maurice le chat fabuleux
2023 - Allemagne / Royaume Uni - Durée : 1h 33minDe Toby Genkel
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, Himesh Patel, Gemma Arterton, Hugh Bonneville, Ariyon Bakare, Julie Atherton, David Tennant, Joe Sugg, Peter Serafinowicz, Rob Brydon
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Dès 6 ans
Maurice le chat fabuleux
2023 - Allemagne / Royaume Uni - Durée : 1h 33minDe Toby Genkel
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, Himesh Patel, Gemma Arterton, Hugh Bonneville, Ariyon Bakare, Julie Atherton, David Tennant, Joe Sugg, Peter Serafinowicz, Rob Brydon
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, ...
Dès 6 ans
Maurice le chat fabuleux
2023 - Allemagne / Royaume Uni - Durée : 1h 33minDe Toby Genkel
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, Himesh Patel, Gemma Arterton, Hugh Bonneville, Ariyon Bakare, Julie Atherton, David Tennant, Joe Sugg, Peter Serafinowicz, Rob Brydon
Avec Hugh Laurie, Emilia Clarke, David Thewlis, ...
Tous les films du mercredi 22 au mardi 28 (semaine 202312)
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
Chihiro, 10 ans, a tout d’une petite fille capricieuse. Elle s’apprête à emménager avec ses parents dans une nouvelle demeure. Sur la route, la petite famille se retrouve face à un immense bâtiment rouge au centre duquel s’ouvre un long tunnel. De l’autre côté du passage se dresse une ville fantôme. Les parents découvrent dans un restaurant désert de nombreux mets succulents et ne tardent pas à se jeter dessus. Ils se retrouvent alors transformés en cochons. Prise de panique, Chihiro s’enfuit et se dématérialise progressivement. L’énigmatique Haku se charge de lui expliquer le fonctionnement de l’univers dans lequel elle vient de pénétrer. Pour sauver ses parents, la fillette va devoir faire face à la terrible sorcière Yubaba, qui arbore les traits d’une harpie méphistophélique.
Pompon est un petit ours heureux de vivre. Avec ses amis, ils se lancent dans de belles aventures !
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
Tout a commencé par Sammy avec le déraillement d’un train, sur l’écran d’une salle de cinéma. Depuis ce jour, le garçon n’a qu’une passion : faire des films.
Le nouveau film de Steven Spielberg est autant une déclaration d’amour au cinéma qu’à sa famille. Sammy, en grandissant, en tournant, apprend peu à peu le pouvoir des images et la responsabilité qui incombe à un cinéaste (même amateur) , entre une mère à la vocation artistique contrariée et un père doux mais qui ne voit dans l’activité de son fils qu’un hobby. Profondément intime, ce subtile portrait d’une famille face au temps qui passe et aux aspirations parfois contraires de ses membres est aussi lumineux qu’émouvant.
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
La petite Ana passe l’été dans la grande maison familiale, entre un père général qui ne s’intéresse que peu à elle et ses deux soeurs, avec qui elle passe des après-midi parfois languissantes. Mais quand vient la nuit, Ana sait qu’elle retrouvera sa mère disparue.
Le chef d’oeuvre de Carlos Saura est un magnifique film sur l’enfance, ce monde à part entière où l’imagination se mêle au réel. Conte cruel, le film est aussi le récit d’un apprentissage : celui de la mort et de la vie, qui se mélangent dans l’esprit d’Ana, voyageuse entre le royaume des disparus et celui des vivants.
Maureen, syndicaliste chez Areva, a le sens du combat, et sa dénonciation d’un contrat autour du nucléaire entre la France et la Chine lui a fait quelques ennemis. Agressée sauvagement chez elle, traitée de haut par la police, parviendra-t-elle encore à trouver la force de lutter ?
Porté par une Isabelle Huppert aussi résolue que fragile, cette adaptation d’un fait-divers réel nous offre un film aux multiples facettes : thriller politique aux accents paranoïaques autour de la collusion des grands pouvoirs, le film se révèle aussi être le portrait poignant d’une femme pour se reconstruire et faire entendre sa voix.
Quand le Petit Nicolas est témoin de la rencontre de ses créateurs !
Un film sur l’amitié entre René Goscinny et Jean-Jacques Sempé, créateurs du gamin en culottes courtes le plus populaire de la littérature française. Cette œuvre au dessin délicat s’attache à raconter la naissance de ce personnage. Ce Petit Nicolas nous plonge avec bonheur dans le Paris des années 1950, avec pour guide un gamin malicieux.
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
vo
Petite salle
Chihiro, 10 ans, a tout d’une petite fille capricieuse. Elle s’apprête à emménager avec ses parents dans une nouvelle demeure. Sur la route, la petite famille se retrouve face à un immense bâtiment rouge au centre duquel s’ouvre un long tunnel. De l’autre côté du passage se dresse une ville fantôme. Les parents découvrent dans un restaurant désert de nombreux mets succulents et ne tardent pas à se jeter dessus. Ils se retrouvent alors transformés en cochons. Prise de panique, Chihiro s’enfuit et se dématérialise progressivement. L’énigmatique Haku se charge de lui expliquer le fonctionnement de l’univers dans lequel elle vient de pénétrer. Pour sauver ses parents, la fillette va devoir faire face à la terrible sorcière Yubaba, qui arbore les traits d’une harpie méphistophélique.
vf
Grande salle
Pompon est un petit ours heureux de vivre. Avec ses amis, ils se lancent dans de belles aventures !
vo
Petite salle
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
vo
Grande salle / Version ST sur demande
En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
vo
Petite salle
Tout a commencé par Sammy avec le déraillement d’un train, sur l’écran d’une salle de cinéma. Depuis ce jour, le garçon n’a qu’une passion : faire des films.
Le nouveau film de Steven Spielberg est autant une déclaration d’amour au cinéma qu’à sa famille. Sammy, en grandissant, en tournant, apprend peu à peu le pouvoir des images et la responsabilité qui incombe à un cinéaste (même amateur) , entre une mère à la vocation artistique contrariée et un père doux mais qui ne voit dans l’activité de son fils qu’un hobby. Profondément intime, ce subtile portrait d’une famille face au temps qui passe et aux aspirations parfois contraires de ses membres est aussi lumineux qu’émouvant.
vo
Grande salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
vo
Petite salle / Version ST sur demande
En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
vo
Grande salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Petite salle
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
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Petite salle
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
La petite Ana passe l’été dans la grande maison familiale, entre un père général qui ne s’intéresse que peu à elle et ses deux soeurs, avec qui elle passe des après-midi parfois languissantes. Mais quand vient la nuit, Ana sait qu’elle retrouvera sa mère disparue.
Le chef d’oeuvre de Carlos Saura est un magnifique film sur l’enfance, ce monde à part entière où l’imagination se mêle au réel. Conte cruel, le film est aussi le récit d’un apprentissage : celui de la mort et de la vie, qui se mélangent dans l’esprit d’Ana, voyageuse entre le royaume des disparus et celui des vivants.
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Petite salle
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
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Grande salle
En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
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Petite salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Grande salle
La petite Ana passe l’été dans la grande maison familiale, entre un père général qui ne s’intéresse que peu à elle et ses deux soeurs, avec qui elle passe des après-midi parfois languissantes. Mais quand vient la nuit, Ana sait qu’elle retrouvera sa mère disparue.
Le chef d’oeuvre de Carlos Saura est un magnifique film sur l’enfance, ce monde à part entière où l’imagination se mêle au réel. Conte cruel, le film est aussi le récit d’un apprentissage : celui de la mort et de la vie, qui se mélangent dans l’esprit d’Ana, voyageuse entre le royaume des disparus et celui des vivants.
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Petite salle
Maureen, syndicaliste chez Areva, a le sens du combat, et sa dénonciation d’un contrat autour du nucléaire entre la France et la Chine lui a fait quelques ennemis. Agressée sauvagement chez elle, traitée de haut par la police, parviendra-t-elle encore à trouver la force de lutter ?
Porté par une Isabelle Huppert aussi résolue que fragile, cette adaptation d’un fait-divers réel nous offre un film aux multiples facettes : thriller politique aux accents paranoïaques autour de la collusion des grands pouvoirs, le film se révèle aussi être le portrait poignant d’une femme pour se reconstruire et faire entendre sa voix.
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Grande salle
Maureen, syndicaliste chez Areva, a le sens du combat, et sa dénonciation d’un contrat autour du nucléaire entre la France et la Chine lui a fait quelques ennemis. Agressée sauvagement chez elle, traitée de haut par la police, parviendra-t-elle encore à trouver la force de lutter ?
Porté par une Isabelle Huppert aussi résolue que fragile, cette adaptation d’un fait-divers réel nous offre un film aux multiples facettes : thriller politique aux accents paranoïaques autour de la collusion des grands pouvoirs, le film se révèle aussi être le portrait poignant d’une femme pour se reconstruire et faire entendre sa voix.
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Petite salle
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
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Grande salle
Quand le Petit Nicolas est témoin de la rencontre de ses créateurs !
Un film sur l’amitié entre René Goscinny et Jean-Jacques Sempé, créateurs du gamin en culottes courtes le plus populaire de la littérature française. Cette œuvre au dessin délicat s’attache à raconter la naissance de ce personnage. Ce Petit Nicolas nous plonge avec bonheur dans le Paris des années 1950, avec pour guide un gamin malicieux.
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Petite salle
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Pompon est un petit ours heureux de vivre. Avec ses amis, ils se lancent dans de belles aventures !
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Grande salle
Tout a commencé par Sammy avec le déraillement d’un train, sur l’écran d’une salle de cinéma. Depuis ce jour, le garçon n’a qu’une passion : faire des films.
Le nouveau film de Steven Spielberg est autant une déclaration d’amour au cinéma qu’à sa famille. Sammy, en grandissant, en tournant, apprend peu à peu le pouvoir des images et la responsabilité qui incombe à un cinéaste (même amateur) , entre une mère à la vocation artistique contrariée et un père doux mais qui ne voit dans l’activité de son fils qu’un hobby. Profondément intime, ce subtile portrait d’une famille face au temps qui passe et aux aspirations parfois contraires de ses membres est aussi lumineux qu’émouvant.
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Grande salle
En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
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Petite salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Petite salle
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Grande salle
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Grande salle
Chihiro, 10 ans, a tout d’une petite fille capricieuse. Elle s’apprête à emménager avec ses parents dans une nouvelle demeure. Sur la route, la petite famille se retrouve face à un immense bâtiment rouge au centre duquel s’ouvre un long tunnel. De l’autre côté du passage se dresse une ville fantôme. Les parents découvrent dans un restaurant désert de nombreux mets succulents et ne tardent pas à se jeter dessus. Ils se retrouvent alors transformés en cochons. Prise de panique, Chihiro s’enfuit et se dématérialise progressivement. L’énigmatique Haku se charge de lui expliquer le fonctionnement de l’univers dans lequel elle vient de pénétrer. Pour sauver ses parents, la fillette va devoir faire face à la terrible sorcière Yubaba, qui arbore les traits d’une harpie méphistophélique.
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Petite salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Grande salle
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
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Petite salle
La petite Ana passe l’été dans la grande maison familiale, entre un père général qui ne s’intéresse que peu à elle et ses deux soeurs, avec qui elle passe des après-midi parfois languissantes. Mais quand vient la nuit, Ana sait qu’elle retrouvera sa mère disparue.
Le chef d’oeuvre de Carlos Saura est un magnifique film sur l’enfance, ce monde à part entière où l’imagination se mêle au réel. Conte cruel, le film est aussi le récit d’un apprentissage : celui de la mort et de la vie, qui se mélangent dans l’esprit d’Ana, voyageuse entre le royaume des disparus et celui des vivants.
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En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
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Petite salle
Tout a commencé par Sammy avec le déraillement d’un train, sur l’écran d’une salle de cinéma. Depuis ce jour, le garçon n’a qu’une passion : faire des films.
Le nouveau film de Steven Spielberg est autant une déclaration d’amour au cinéma qu’à sa famille. Sammy, en grandissant, en tournant, apprend peu à peu le pouvoir des images et la responsabilité qui incombe à un cinéaste (même amateur) , entre une mère à la vocation artistique contrariée et un père doux mais qui ne voit dans l’activité de son fils qu’un hobby. Profondément intime, ce subtile portrait d’une famille face au temps qui passe et aux aspirations parfois contraires de ses membres est aussi lumineux qu’émouvant.
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Grande salle
Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
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Grande salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Petite salle / Version ST sur demande
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Petite salle
La petite Ana passe l’été dans la grande maison familiale, entre un père général qui ne s’intéresse que peu à elle et ses deux soeurs, avec qui elle passe des après-midi parfois languissantes. Mais quand vient la nuit, Ana sait qu’elle retrouvera sa mère disparue.
Le chef d’oeuvre de Carlos Saura est un magnifique film sur l’enfance, ce monde à part entière où l’imagination se mêle au réel. Conte cruel, le film est aussi le récit d’un apprentissage : celui de la mort et de la vie, qui se mélangent dans l’esprit d’Ana, voyageuse entre le royaume des disparus et celui des vivants.
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« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Petite salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Grande salle
En 2017, alors que la crise des opiacés fait rage aux États-Unis, l’artiste et activiste Nan Goldin entre en lutte contre la famille Sackler. Richissimes propriétaires d’un des plus puissants laboratoires d’opioïdes, ces derniers engrangent des milliards par la vente de ces médicaments hautement addictifs, boostée par un marketing sans vergogne.
Après Citizen Four, Laura Poitras illustre une nouvelle fois le combat pour la justice à travers l’engagement de Nan Goldin, fondatrice du collectif PAIN (Pain Addiction Intervention Now), et elle-même rescapée d’une addiction aux opiacés. Entre entretiens, images d’archive et oeuvres visuelles, la cinéaste raconte la construction d’un capitalisme mortifère, et dresse le portrait d’une artiste pleinement dédiée à la lutte contre la stigmatisation sociale, quelle qu’elle soit.
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Houria aimerait être danseuse. Mais une violente agression va balayer ce rêve et l’obliger à se réinventer.
Si l’on se contentait de ce résumé, on pourrait se laisser aller à penser que Houria n’est qu’une relecture de En corps, de Cédric Klapisch, sorti l’année dernière. Si le thème de la reconstruction après un traumatisme est bien présent dans les deux films, déclarations d’amour revendiquées à la danse sous toutes ses formes, Houria se singularise par sa manière d’inscrire cette histoire dans la réalité sociale d’un pays. Après Papicha, Mounia Meddour arrive avec un certain talent à filmer les groupes de femmes et à dessiner des personnages touchants, reflets d’existences brisées.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 29 au mardi 04 (semaine 202313)
Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
Épouse lassée, Anna part rejoindre une amie en Toscane. Là-bas, elle développe une attirance dévorante pour Oakley, un homme de vingt ans son cadet.
La matière du récit chez Hogg se trouve souvent dans les non-dits et la distance entre les personnages, vecteurs d’une incroyable tension émotionnelle que l’on croirait surgie du néant. Ce premier film, vivement remarqué à sa sortie, contient déjà toutes les thématiques chères à la cinéaste.
En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
Antoine, comptable d’une salle de sport, découvre des plaisirs insoupçonnés sous les mains toniques du masseur Dominique…
Noir et Blanc, premier long métrage de Claire Devers, questionne les contrastes qui s’attirent, les fantasmes inavoués prenant le chemin de relations dangereuses. La réalisatrice joue du hors-champ et de la bande son pour évoquer ce dialogue entre jouissance et douleur. Son titre, Noir et Blanc, nourrit le film dans sa texture (pellicule 16mm), ses décors, ses jeux d’ombres jusqu’à l’épiderme des acteurs. Dans ce décor presque abstrait, Claire Devers a su filmer, avec pudeur mais sans rien éviter, une intimité naissance, troublante,dérangeante qui ne manquera pas de créer une émotion chez le spectateur.
Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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Petite salle
meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
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Grande salle
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
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« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Grande salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Petite salle
Épouse lassée, Anna part rejoindre une amie en Toscane. Là-bas, elle développe une attirance dévorante pour Oakley, un homme de vingt ans son cadet.
La matière du récit chez Hogg se trouve souvent dans les non-dits et la distance entre les personnages, vecteurs d’une incroyable tension émotionnelle que l’on croirait surgie du néant. Ce premier film, vivement remarqué à sa sortie, contient déjà toutes les thématiques chères à la cinéaste.
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Grande salle
En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Petite salle
Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Petite salle
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Grande salle / Version ST sur demande
Antoine, comptable d’une salle de sport, découvre des plaisirs insoupçonnés sous les mains toniques du masseur Dominique…
Noir et Blanc, premier long métrage de Claire Devers, questionne les contrastes qui s’attirent, les fantasmes inavoués prenant le chemin de relations dangereuses. La réalisatrice joue du hors-champ et de la bande son pour évoquer ce dialogue entre jouissance et douleur. Son titre, Noir et Blanc, nourrit le film dans sa texture (pellicule 16mm), ses décors, ses jeux d’ombres jusqu’à l’épiderme des acteurs. Dans ce décor presque abstrait, Claire Devers a su filmer, avec pudeur mais sans rien éviter, une intimité naissance, troublante,dérangeante qui ne manquera pas de créer une émotion chez le spectateur.
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Grande salle
En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Épouse lassée, Anna part rejoindre une amie en Toscane. Là-bas, elle développe une attirance dévorante pour Oakley, un homme de vingt ans son cadet.
La matière du récit chez Hogg se trouve souvent dans les non-dits et la distance entre les personnages, vecteurs d’une incroyable tension émotionnelle que l’on croirait surgie du néant. Ce premier film, vivement remarqué à sa sortie, contient déjà toutes les thématiques chères à la cinéaste.
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« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
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meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
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En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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Antoine, comptable d’une salle de sport, découvre des plaisirs insoupçonnés sous les mains toniques du masseur Dominique…
Noir et Blanc, premier long métrage de Claire Devers, questionne les contrastes qui s’attirent, les fantasmes inavoués prenant le chemin de relations dangereuses. La réalisatrice joue du hors-champ et de la bande son pour évoquer ce dialogue entre jouissance et douleur. Son titre, Noir et Blanc, nourrit le film dans sa texture (pellicule 16mm), ses décors, ses jeux d’ombres jusqu’à l’épiderme des acteurs. Dans ce décor presque abstrait, Claire Devers a su filmer, avec pudeur mais sans rien éviter, une intimité naissance, troublante,dérangeante qui ne manquera pas de créer une émotion chez le spectateur.
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« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Petite salle
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Grande salle
meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Grande salle
Épouse lassée, Anna part rejoindre une amie en Toscane. Là-bas, elle développe une attirance dévorante pour Oakley, un homme de vingt ans son cadet.
La matière du récit chez Hogg se trouve souvent dans les non-dits et la distance entre les personnages, vecteurs d’une incroyable tension émotionnelle que l’on croirait surgie du néant. Ce premier film, vivement remarqué à sa sortie, contient déjà toutes les thématiques chères à la cinéaste.
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Petite salle
En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Grande salle
Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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Une femme et sa mère passent quelques jours ensemble à l’hôtel pour célébrer un anniversaire. Peu à peu, l’atmosphère feutrée de l’hôtel devient inquiétante...
Si Joanna Hogg joue habilement des codes du film gothique horrifique (lumières diffuses, bruits mystérieux, brume anglaise...), c’est pour mieux les déjouer dans un film psychologique très intime. Tilda Swinton, impériale, se dédouble pour interroger la relation mère-fille et le rapport à la création dans une oeuvre aussi troublante que duplice.
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Lorsque des policiers viennent retirer une petite fille de 12 ans du domicile paternel, celle-ci se débat à cor et à cri. Car Dalva n’est pas une enfant : maquillée, juchée sur des talons, elle est une femme, une femme amoureuse de son père.
Emmanuelle Nicot suit le cheminement intime de son personnage en pleine (dé-)construction. Lorsqu’une situation familiale est nocive, comment un enfant peut-il se détacher du seul amour qu’il connaît ? Rendant hommage au rôle vital et complexe des éducateurs.rices, la cinéaste signe ici un film d’émancipation à la fois brut et touchant.
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Petite salle / Version ST sur demande
« Tu en auras plus l’usage que moi », déclare un homme à sa femme en lui offrant une télévision. Dans le reflet de l’écran, Carmen contemple son enfermement. On aura reconnu un hommage à Tout ce que le ciel permet, de Douglas Sirk, mélodrame sur une femme que tous traitent comme si elle était déjà à l’automne de sa vie, pleinement satisfaite, sans désir ni aspirations.
L’actrice Manuela Martelli, qui signe sa première réalisation, vient faire cohabiter la petite et la grande histoire : car la violence de la dictature, en cette année de bascule que fut 1976 pour l’Amérique latine, vient de plus en plus traverser la petite bulle de son héroïne. Sans jamais tomber dans le spectaculaire, la réalisatrice instaure une tension de plus en plus palpable dans un passionnant film paranoïaque.
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Grande salle
Épouse lassée, Anna part rejoindre une amie en Toscane. Là-bas, elle développe une attirance dévorante pour Oakley, un homme de vingt ans son cadet.
La matière du récit chez Hogg se trouve souvent dans les non-dits et la distance entre les personnages, vecteurs d’une incroyable tension émotionnelle que l’on croirait surgie du néant. Ce premier film, vivement remarqué à sa sortie, contient déjà toutes les thématiques chères à la cinéaste.
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Tous les films du mercredi 05 au mardi 11 (semaine 202314)
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
Dans ce film aussi doux que les teintes aquarelles qui le composent,
les enfants comme les adultes sont incités à se libérer pour voler de
leur propres ailes !
Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
Edward, un jeune homme issu d’une famille bourgeoise, décide de partir pour un voyage humanitaire en Afrique. Avant son départ pour de longs mois, il retrouve sa mère et sa soeur dans la maison de vacances familiale sur les îles Scilly au large de la Cornouaille britannique, pour profiter des derniers instants ensemble. Si le cadre est idyllique, les rancoeurs, elles, refont bientôt surface...
Dans son deuxième long métrage, Joanna Hogg offre de nouveau un portrait des relations complexes qui lient les êtres entre eux, en prenant ici le thème de la famille. À la manière du peintre et de son tableau qui ouvre le film, la réalisatrice esquisse par petites touches subtiles et un fin travail d’observation les tourments et les sensibilités propres de ses personnages, îlots isolés tentant chacun de trouver sa place.
En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
Un soldat russe, autrefois tout dévoué à Staline, comprend en cette année 1938 qu’il n’échappera pas aux purges qui sévissent à l’intérieur même de l’armée. Persuadé de sa mort prochaine, il n’a alors qu’une obsession : obtenir le pardon de l’une des familles de ses anciennes victimes.
Les deux cinéastes, aujourd’hui en exil, signent une histoire de rédemption aux accents dostoïevskiens. Le Capitaine Volkonogov, âme torturée par ses crimes passés, est notre guide dans une échappée qui prend parfois les allures d’un chemin de croix, et qui nous fait découvrir cette société divisée et douloureuse. Le film parvient à unir le prosaïsme de ce monde au bord du gouffre avec les aspirations au divin de son héros.
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Dans ce film aussi doux que les teintes aquarelles qui le composent,
les enfants comme les adultes sont incités à se libérer pour voler de
leur propres ailes !
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Deux petites filles viennent s’installer avec leur père dans une grande maison. Elles vont découvrir l’existence de créatures merveilleuses...
Qui ne connaît pas désormais la douce silhouette du Totoro, créature géante et magique en communion avec les forces de la nature ? Avec ce conte, Hayao Miyazaki signe un magnifique hymne à la nature et une exploration douce du monde de l’enfance, avec ses tristesses et ses joies.
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meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Grande salle / Version ST sur demande
Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
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Edward, un jeune homme issu d’une famille bourgeoise, décide de partir pour un voyage humanitaire en Afrique. Avant son départ pour de longs mois, il retrouve sa mère et sa soeur dans la maison de vacances familiale sur les îles Scilly au large de la Cornouaille britannique, pour profiter des derniers instants ensemble. Si le cadre est idyllique, les rancoeurs, elles, refont bientôt surface...
Dans son deuxième long métrage, Joanna Hogg offre de nouveau un portrait des relations complexes qui lient les êtres entre eux, en prenant ici le thème de la famille. À la manière du peintre et de son tableau qui ouvre le film, la réalisatrice esquisse par petites touches subtiles et un fin travail d’observation les tourments et les sensibilités propres de ses personnages, îlots isolés tentant chacun de trouver sa place.
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En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Petite salle
Un soldat russe, autrefois tout dévoué à Staline, comprend en cette année 1938 qu’il n’échappera pas aux purges qui sévissent à l’intérieur même de l’armée. Persuadé de sa mort prochaine, il n’a alors qu’une obsession : obtenir le pardon de l’une des familles de ses anciennes victimes.
Les deux cinéastes, aujourd’hui en exil, signent une histoire de rédemption aux accents dostoïevskiens. Le Capitaine Volkonogov, âme torturée par ses crimes passés, est notre guide dans une échappée qui prend parfois les allures d’un chemin de croix, et qui nous fait découvrir cette société divisée et douloureuse. Le film parvient à unir le prosaïsme de ce monde au bord du gouffre avec les aspirations au divin de son héros.
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Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
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Petite salle
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Edward, un jeune homme issu d’une famille bourgeoise, décide de partir pour un voyage humanitaire en Afrique. Avant son départ pour de longs mois, il retrouve sa mère et sa soeur dans la maison de vacances familiale sur les îles Scilly au large de la Cornouaille britannique, pour profiter des derniers instants ensemble. Si le cadre est idyllique, les rancoeurs, elles, refont bientôt surface...
Dans son deuxième long métrage, Joanna Hogg offre de nouveau un portrait des relations complexes qui lient les êtres entre eux, en prenant ici le thème de la famille. À la manière du peintre et de son tableau qui ouvre le film, la réalisatrice esquisse par petites touches subtiles et un fin travail d’observation les tourments et les sensibilités propres de ses personnages, îlots isolés tentant chacun de trouver sa place.
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Grande salle
Un soldat russe, autrefois tout dévoué à Staline, comprend en cette année 1938 qu’il n’échappera pas aux purges qui sévissent à l’intérieur même de l’armée. Persuadé de sa mort prochaine, il n’a alors qu’une obsession : obtenir le pardon de l’une des familles de ses anciennes victimes.
Les deux cinéastes, aujourd’hui en exil, signent une histoire de rédemption aux accents dostoïevskiens. Le Capitaine Volkonogov, âme torturée par ses crimes passés, est notre guide dans une échappée qui prend parfois les allures d’un chemin de croix, et qui nous fait découvrir cette société divisée et douloureuse. Le film parvient à unir le prosaïsme de ce monde au bord du gouffre avec les aspirations au divin de son héros.
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Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Grande salle
En 2007, Reyhaneh Jabbari rencontre un homme, chirurgien, qui lui dit pouvoir l’aider dans son parcours. Alors qu’il tente de la violer, la jeune étudiante parviendra à se défaire de son emprise en poignardant son agresseur. À travers des images clandestines, ce film est le récit de son jugement pour homicide.
L’actrice et réalisatrice allemande Steffi Niederzoll reprend ici une figure emblématique des luttes actuelles pour la condition des femmes en Iran, et raconte son histoire dans un documentaire poignant, fait à partir d’extraits vidéo filmés à la sauvette accompagnés de la voix de Reyhaneh Jabbari elle-même. Un film témoin sur cette femme dont on a réclamé la vie pour sauver les allures d’un régime en décrépitude.
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Dans ce film aussi doux que les teintes aquarelles qui le composent,
les enfants comme les adultes sont incités à se libérer pour voler de
leur propres ailes !
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meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
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Grande salle
Un soldat russe, autrefois tout dévoué à Staline, comprend en cette année 1938 qu’il n’échappera pas aux purges qui sévissent à l’intérieur même de l’armée. Persuadé de sa mort prochaine, il n’a alors qu’une obsession : obtenir le pardon de l’une des familles de ses anciennes victimes.
Les deux cinéastes, aujourd’hui en exil, signent une histoire de rédemption aux accents dostoïevskiens. Le Capitaine Volkonogov, âme torturée par ses crimes passés, est notre guide dans une échappée qui prend parfois les allures d’un chemin de croix, et qui nous fait découvrir cette société divisée et douloureuse. Le film parvient à unir le prosaïsme de ce monde au bord du gouffre avec les aspirations au divin de son héros.
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Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Dans ce film aussi doux que les teintes aquarelles qui le composent,
les enfants comme les adultes sont incités à se libérer pour voler de
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Petite salle
meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
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Grande salle
Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
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Petite salle
Edward, un jeune homme issu d’une famille bourgeoise, décide de partir pour un voyage humanitaire en Afrique. Avant son départ pour de longs mois, il retrouve sa mère et sa soeur dans la maison de vacances familiale sur les îles Scilly au large de la Cornouaille britannique, pour profiter des derniers instants ensemble. Si le cadre est idyllique, les rancoeurs, elles, refont bientôt surface...
Dans son deuxième long métrage, Joanna Hogg offre de nouveau un portrait des relations complexes qui lient les êtres entre eux, en prenant ici le thème de la famille. À la manière du peintre et de son tableau qui ouvre le film, la réalisatrice esquisse par petites touches subtiles et un fin travail d’observation les tourments et les sensibilités propres de ses personnages, îlots isolés tentant chacun de trouver sa place.
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Petite salle
Un soldat russe, autrefois tout dévoué à Staline, comprend en cette année 1938 qu’il n’échappera pas aux purges qui sévissent à l’intérieur même de l’armée. Persuadé de sa mort prochaine, il n’a alors qu’une obsession : obtenir le pardon de l’une des familles de ses anciennes victimes.
Les deux cinéastes, aujourd’hui en exil, signent une histoire de rédemption aux accents dostoïevskiens. Le Capitaine Volkonogov, âme torturée par ses crimes passés, est notre guide dans une échappée qui prend parfois les allures d’un chemin de croix, et qui nous fait découvrir cette société divisée et douloureuse. Le film parvient à unir le prosaïsme de ce monde au bord du gouffre avec les aspirations au divin de son héros.
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Grande salle
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Grande salle
Un soldat russe, autrefois tout dévoué à Staline, comprend en cette année 1938 qu’il n’échappera pas aux purges qui sévissent à l’intérieur même de l’armée. Persuadé de sa mort prochaine, il n’a alors qu’une obsession : obtenir le pardon de l’une des familles de ses anciennes victimes.
Les deux cinéastes, aujourd’hui en exil, signent une histoire de rédemption aux accents dostoïevskiens. Le Capitaine Volkonogov, âme torturée par ses crimes passés, est notre guide dans une échappée qui prend parfois les allures d’un chemin de croix, et qui nous fait découvrir cette société divisée et douloureuse. Le film parvient à unir le prosaïsme de ce monde au bord du gouffre avec les aspirations au divin de son héros.
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Partir en voyage à deux quand votre couple bat de l’aile est peut-être une excellente idée pour raviver la flamme. Mais le voyage n’est pas toujours de tout repos...
Sophie Letourneur (Énorme) nous propose une délicieuse comédie estivale où l’on retrouve les ingrédients qui font la saveur de son cinéma : de l’irrévérence à foison, un rapport sans fard au quotidien et des situations embarrassantes à souhait. La réalisatrice se met elle-même en scène dans un duo avec le toujours étonnant Philippe Katerine, parfait en mari fatigué. Le film séduit ainsi par la simplicité de sa forme, qui explore la réalité d’un couple qui peine à se comprendre ou à formuler des désirs communs. Mais, comme dans le film de Rossellini auquel le titre fait malicieusement référence, il est des voyages dont on ressort métamorphosé.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle / Version ST sur demande
meilleure en France, bouleversant ainsi le destin des générations à venir.
Le réalisateur s’inspire de l’histoire de sa famille dans ce film entièrement créé en stop-motion. Il mêle avec humour et émotion les époques, faisant intervenir directement le réalisateur, dont les mains animent ce petit monde. La poésie est là, dans ce travail si concret avec la matière, la transformation des objets qui prennent mille apparences pour mieux nous plonger dans le quotidien de cette si attachante famille.
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Petite salle
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle / Version ST sur demande
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
Edward, un jeune homme issu d’une famille bourgeoise, décide de partir pour un voyage humanitaire en Afrique. Avant son départ pour de longs mois, il retrouve sa mère et sa soeur dans la maison de vacances familiale sur les îles Scilly au large de la Cornouaille britannique, pour profiter des derniers instants ensemble. Si le cadre est idyllique, les rancoeurs, elles, refont bientôt surface...
Dans son deuxième long métrage, Joanna Hogg offre de nouveau un portrait des relations complexes qui lient les êtres entre eux, en prenant ici le thème de la famille. À la manière du peintre et de son tableau qui ouvre le film, la réalisatrice esquisse par petites touches subtiles et un fin travail d’observation les tourments et les sensibilités propres de ses personnages, îlots isolés tentant chacun de trouver sa place.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 12 au mardi 18 (semaine 202315)
Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
Ici, quand les adultes ont le dos tourné, la guerre fait rage : à coup de
bâtons et de lance-pierre, les enfants de deux villages continuent à se
mener une lutte farouche !
« Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant.» L’histoire d’un petit
bonhomme haut comme trois pommes qui doit sauver son village
d’une terrifiante sorcière.
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
Bienvenu dans la vallée de Saint-Imier, charmant coin de Suisse où l’on vit à des heures différentes selon qu’on soit au télégraphe ou à la gare. Tout y est calme, et même le développement de l’anarchisme (Kropotkine vient à passer par là) ne semble pas inquiéter les paisibles notables.
Voilà un film étonnant sur le temps, celui, chronométré, des ouvrières dans l’usine de montres, celui qui s’écoule dans cette ville où l’on rêve calmement de révolution. Un film inclassable, qui mêle réalisme social et réflexion humoristique sur l’utilisation du temps dans notre société capitaliste.
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
Un couple d’artistes s’apprête à vendre la maison dans laquelle il habite depuis toujours. Alors que les entretiens se succèdent, D. et H. préparent leurs adieux à cet espace si particulier, témoin silencieux de leur relation.
Qui mieux que Joanna Hogg pour décrire le lien si froid et pourtant si intime qui nous attache aux lieux dans lesquels nous avons vécu ? En filmant ses deux personnages entre quatre murs, la cinéaste illustre aussi bien les espaces qui les unissent que ceux qui les séparent. L’immensité des pièces nous fait ressentir la distance qui les éloigne, l’impraticabilité des lieux souligne une communication en peine, mais les spécificités de cette maison, au design aussi somptueux qu’improbable, font quant à elles transparaître la complicité indéfectible qui lie ces deux êtres. Un film bouleversant sur cet amour éprouvé qui pourtant traverse le temps.
Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Ici, quand les adultes ont le dos tourné, la guerre fait rage : à coup de
bâtons et de lance-pierre, les enfants de deux villages continuent à se
mener une lutte farouche !
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« Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant.» L’histoire d’un petit
bonhomme haut comme trois pommes qui doit sauver son village
d’une terrifiante sorcière.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Bienvenu dans la vallée de Saint-Imier, charmant coin de Suisse où l’on vit à des heures différentes selon qu’on soit au télégraphe ou à la gare. Tout y est calme, et même le développement de l’anarchisme (Kropotkine vient à passer par là) ne semble pas inquiéter les paisibles notables.
Voilà un film étonnant sur le temps, celui, chronométré, des ouvrières dans l’usine de montres, celui qui s’écoule dans cette ville où l’on rêve calmement de révolution. Un film inclassable, qui mêle réalisme social et réflexion humoristique sur l’utilisation du temps dans notre société capitaliste.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Un couple d’artistes s’apprête à vendre la maison dans laquelle il habite depuis toujours. Alors que les entretiens se succèdent, D. et H. préparent leurs adieux à cet espace si particulier, témoin silencieux de leur relation.
Qui mieux que Joanna Hogg pour décrire le lien si froid et pourtant si intime qui nous attache aux lieux dans lesquels nous avons vécu ? En filmant ses deux personnages entre quatre murs, la cinéaste illustre aussi bien les espaces qui les unissent que ceux qui les séparent. L’immensité des pièces nous fait ressentir la distance qui les éloigne, l’impraticabilité des lieux souligne une communication en peine, mais les spécificités de cette maison, au design aussi somptueux qu’improbable, font quant à elles transparaître la complicité indéfectible qui lie ces deux êtres. Un film bouleversant sur cet amour éprouvé qui pourtant traverse le temps.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle / Version ST sur demande
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Bienvenu dans la vallée de Saint-Imier, charmant coin de Suisse où l’on vit à des heures différentes selon qu’on soit au télégraphe ou à la gare. Tout y est calme, et même le développement de l’anarchisme (Kropotkine vient à passer par là) ne semble pas inquiéter les paisibles notables.
Voilà un film étonnant sur le temps, celui, chronométré, des ouvrières dans l’usine de montres, celui qui s’écoule dans cette ville où l’on rêve calmement de révolution. Un film inclassable, qui mêle réalisme social et réflexion humoristique sur l’utilisation du temps dans notre société capitaliste.
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Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Un couple d’artistes s’apprête à vendre la maison dans laquelle il habite depuis toujours. Alors que les entretiens se succèdent, D. et H. préparent leurs adieux à cet espace si particulier, témoin silencieux de leur relation.
Qui mieux que Joanna Hogg pour décrire le lien si froid et pourtant si intime qui nous attache aux lieux dans lesquels nous avons vécu ? En filmant ses deux personnages entre quatre murs, la cinéaste illustre aussi bien les espaces qui les unissent que ceux qui les séparent. L’immensité des pièces nous fait ressentir la distance qui les éloigne, l’impraticabilité des lieux souligne une communication en peine, mais les spécificités de cette maison, au design aussi somptueux qu’improbable, font quant à elles transparaître la complicité indéfectible qui lie ces deux êtres. Un film bouleversant sur cet amour éprouvé qui pourtant traverse le temps.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Ici, quand les adultes ont le dos tourné, la guerre fait rage : à coup de
bâtons et de lance-pierre, les enfants de deux villages continuent à se
mener une lutte farouche !
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« Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant.» L’histoire d’un petit
bonhomme haut comme trois pommes qui doit sauver son village
d’une terrifiante sorcière.
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Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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« Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant.» L’histoire d’un petit
bonhomme haut comme trois pommes qui doit sauver son village
d’une terrifiante sorcière.
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Un couple d’artistes s’apprête à vendre la maison dans laquelle il habite depuis toujours. Alors que les entretiens se succèdent, D. et H. préparent leurs adieux à cet espace si particulier, témoin silencieux de leur relation.
Qui mieux que Joanna Hogg pour décrire le lien si froid et pourtant si intime qui nous attache aux lieux dans lesquels nous avons vécu ? En filmant ses deux personnages entre quatre murs, la cinéaste illustre aussi bien les espaces qui les unissent que ceux qui les séparent. L’immensité des pièces nous fait ressentir la distance qui les éloigne, l’impraticabilité des lieux souligne une communication en peine, mais les spécificités de cette maison, au design aussi somptueux qu’improbable, font quant à elles transparaître la complicité indéfectible qui lie ces deux êtres. Un film bouleversant sur cet amour éprouvé qui pourtant traverse le temps.
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Petite salle
Bienvenu dans la vallée de Saint-Imier, charmant coin de Suisse où l’on vit à des heures différentes selon qu’on soit au télégraphe ou à la gare. Tout y est calme, et même le développement de l’anarchisme (Kropotkine vient à passer par là) ne semble pas inquiéter les paisibles notables.
Voilà un film étonnant sur le temps, celui, chronométré, des ouvrières dans l’usine de montres, celui qui s’écoule dans cette ville où l’on rêve calmement de révolution. Un film inclassable, qui mêle réalisme social et réflexion humoristique sur l’utilisation du temps dans notre société capitaliste.
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Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Petite salle
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Petite salle / Version ST sur demande
Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Grande salle
Bienvenu dans la vallée de Saint-Imier, charmant coin de Suisse où l’on vit à des heures différentes selon qu’on soit au télégraphe ou à la gare. Tout y est calme, et même le développement de l’anarchisme (Kropotkine vient à passer par là) ne semble pas inquiéter les paisibles notables.
Voilà un film étonnant sur le temps, celui, chronométré, des ouvrières dans l’usine de montres, celui qui s’écoule dans cette ville où l’on rêve calmement de révolution. Un film inclassable, qui mêle réalisme social et réflexion humoristique sur l’utilisation du temps dans notre société capitaliste.
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Petite salle
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle / Version ST sur demande
Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Grande salle
Au début du désir, il y a la curiosité. Qui n’a jamais rêvé, l’espace d’un instant, être celui ou celle qu’il n’est pas, et aller là où on ne l’attend pas ? C’est le cas d’une jeune thésarde discrète et fauchée, qui décide un beau jour de s’aventurer dans un club de strip-tease. Un univers haut en couleurs et en paillettes !
Dans le film de Lucie Borleteau, Aurore (c’est le nom de scène que choisit de s’attribuer le personnage principal, en référence à la Belle au bois dormant) tombe dans un club de strip-tease comme Alice tombe dans le terrier du lapin. Loin des représentations glauques souvent véhiculées dans les films, loin des clichés voyeuristes, elle y découvre un univers fait de bienveillance et de sororité, peuplé de femmes ambitieuses plutôt que de victimes.
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Petite salle
Un couple d’artistes s’apprête à vendre la maison dans laquelle il habite depuis toujours. Alors que les entretiens se succèdent, D. et H. préparent leurs adieux à cet espace si particulier, témoin silencieux de leur relation.
Qui mieux que Joanna Hogg pour décrire le lien si froid et pourtant si intime qui nous attache aux lieux dans lesquels nous avons vécu ? En filmant ses deux personnages entre quatre murs, la cinéaste illustre aussi bien les espaces qui les unissent que ceux qui les séparent. L’immensité des pièces nous fait ressentir la distance qui les éloigne, l’impraticabilité des lieux souligne une communication en peine, mais les spécificités de cette maison, au design aussi somptueux qu’improbable, font quant à elles transparaître la complicité indéfectible qui lie ces deux êtres. Un film bouleversant sur cet amour éprouvé qui pourtant traverse le temps.
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Petite salle
Robert est un intellectuel et mène une vie confortable dans un appartement bourgeois, entre sa femme et sa petite fille. Pourtant, en cette année 1968, il décide de rejoindre une usine afin de comprendre les conditions de vie des ouvriers et de préparer ensemble le monde révolutionnaire qu’il appelle de ses voeux.
Cette adaptation du bouleversant récit de Robert Linhart évite les écueils de la reconstitution historique pour nous faire ressentir le quotidien de cette usine, à travers les yeux d’un homme nourri d’idéaux. L’Établi parvient à faire exister une multitude de personnages avec leur voix, leurs raisons, leur histoire, et à faire résonner cette richesse humaine.
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Petite salle / Version ST sur demande
Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Grande salle
Tous les films du mercredi 19 au mardi 25 (semaine 202316)
Un ourson recherche sa maman, une botte court après sa paire, un chaton est perdu sans sa maîtresse...
Qu’il soit filial, amical ou amoureux, ce programme évoque avec tendresse l’attachement inconditionnel à l’être aimé et décrit délicatement le bonheur d’aimer.
Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
Venez découvrir la véritable histoire de Titina, adorable chienne qui accompagna son maître dans un grand voyage à la découverte du Pôle Nord !
De formidables aventures attendent le courageux animal qui parcourra le monde.
Qu’il fait bon vivre à Cardamome, ville où le soleil brille toujours et les habitants vivent sans souci. Du moins jusqu’à l’arrivée tonitruante de trois brigands et... de leur lion !
Un classique de la littérature jeunesse scandinave, adapté avec humour !
Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
Après le tremblement de terre de 2011 au Japon qui engendra un tsunami et des milliers de disparitions, des personnages désoeuvrés tentent par des moyens détournés de changer leur destin.
Si le film reprend le titre d’une nouvelle d’Haruki Murakami, l’adaptation de Pierre Földes en incorpore en réalité cinq autres. Évitant la simple illustration, il retranscrit l’onirisme si particulier de ses écrits, servi ici magnifiquement par une animation riche de mille détails.
Lucie est une ado comme beaucoup d’autres. Un peu timide, un peu rebelle, avec un béguin pour un garçon qui la remarque à peine. Mais Lucie a une double vie : elle s’occupe de son père, dont l’état de santé vacillant lui impose de prendre elle-même en main la vie de la maisonnée.
On aurait pu craindre un énième film sur une adolescence perturbée et sur des relations filiales contrariées. Mais Olivier Babinet déjoue cet a priori en allant davantage vers le comique que le drame social. Le père et la fille sont complices et prêts à tout pour continuer à vivre ensemble. Un peu arnaqueurs, un peu acteurs, ils savent s’amuser avec ce que les autres attendent d’eux. S’inspirant parfois des codes du teen movie, le réalisateur émeut en proposant le portrait de cette gamine qui doit apprendre à s’épanouir sans grandir trop vite.
Il était une fois... Le fils d’un marchand prospère épouse une charmante jeune femme, mais la délaisse en partant à la ville afin de faire fortune. En son absence, un génie, amoureux de la mariée, prend son apparence.
Mani Kaul adapte un conte populaire qui éblouit d’abord par sa riche palette de couleurs, du jaune des robes de la mariée au rouge des fruits. Des gros plans magnifiques sur les visages aux élégantes compositions d’intérieur, il magnifie cette histoire d’amour, nous faisant deviner la puissante magie qui s’y joue. Un film parfait pour rentrer dans l’oeuvre du cinéaste, et vouloir y rester !
Un ourson recherche sa maman, une botte court après sa paire, un chaton est perdu sans sa maîtresse...
Qu’il soit filial, amical ou amoureux, ce programme évoque avec tendresse l’attachement inconditionnel à l’être aimé et décrit délicatement le bonheur d’aimer.
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Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Petite salle / Version ST sur demande
Venez découvrir la véritable histoire de Titina, adorable chienne qui accompagna son maître dans un grand voyage à la découverte du Pôle Nord !
De formidables aventures attendent le courageux animal qui parcourra le monde.
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Grande salle
Qu’il fait bon vivre à Cardamome, ville où le soleil brille toujours et les habitants vivent sans souci. Du moins jusqu’à l’arrivée tonitruante de trois brigands et... de leur lion !
Un classique de la littérature jeunesse scandinave, adapté avec humour !
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Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Après le tremblement de terre de 2011 au Japon qui engendra un tsunami et des milliers de disparitions, des personnages désoeuvrés tentent par des moyens détournés de changer leur destin.
Si le film reprend le titre d’une nouvelle d’Haruki Murakami, l’adaptation de Pierre Földes en incorpore en réalité cinq autres. Évitant la simple illustration, il retranscrit l’onirisme si particulier de ses écrits, servi ici magnifiquement par une animation riche de mille détails.
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Lucie est une ado comme beaucoup d’autres. Un peu timide, un peu rebelle, avec un béguin pour un garçon qui la remarque à peine. Mais Lucie a une double vie : elle s’occupe de son père, dont l’état de santé vacillant lui impose de prendre elle-même en main la vie de la maisonnée.
On aurait pu craindre un énième film sur une adolescence perturbée et sur des relations filiales contrariées. Mais Olivier Babinet déjoue cet a priori en allant davantage vers le comique que le drame social. Le père et la fille sont complices et prêts à tout pour continuer à vivre ensemble. Un peu arnaqueurs, un peu acteurs, ils savent s’amuser avec ce que les autres attendent d’eux. S’inspirant parfois des codes du teen movie, le réalisateur émeut en proposant le portrait de cette gamine qui doit apprendre à s’épanouir sans grandir trop vite.
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Après le tremblement de terre de 2011 au Japon qui engendra un tsunami et des milliers de disparitions, des personnages désoeuvrés tentent par des moyens détournés de changer leur destin.
Si le film reprend le titre d’une nouvelle d’Haruki Murakami, l’adaptation de Pierre Földes en incorpore en réalité cinq autres. Évitant la simple illustration, il retranscrit l’onirisme si particulier de ses écrits, servi ici magnifiquement par une animation riche de mille détails.
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Lucie est une ado comme beaucoup d’autres. Un peu timide, un peu rebelle, avec un béguin pour un garçon qui la remarque à peine. Mais Lucie a une double vie : elle s’occupe de son père, dont l’état de santé vacillant lui impose de prendre elle-même en main la vie de la maisonnée.
On aurait pu craindre un énième film sur une adolescence perturbée et sur des relations filiales contrariées. Mais Olivier Babinet déjoue cet a priori en allant davantage vers le comique que le drame social. Le père et la fille sont complices et prêts à tout pour continuer à vivre ensemble. Un peu arnaqueurs, un peu acteurs, ils savent s’amuser avec ce que les autres attendent d’eux. S’inspirant parfois des codes du teen movie, le réalisateur émeut en proposant le portrait de cette gamine qui doit apprendre à s’épanouir sans grandir trop vite.
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Il était une fois... Le fils d’un marchand prospère épouse une charmante jeune femme, mais la délaisse en partant à la ville afin de faire fortune. En son absence, un génie, amoureux de la mariée, prend son apparence.
Mani Kaul adapte un conte populaire qui éblouit d’abord par sa riche palette de couleurs, du jaune des robes de la mariée au rouge des fruits. Des gros plans magnifiques sur les visages aux élégantes compositions d’intérieur, il magnifie cette histoire d’amour, nous faisant deviner la puissante magie qui s’y joue. Un film parfait pour rentrer dans l’oeuvre du cinéaste, et vouloir y rester !
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Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Grande salle / Version ST sur demande
Après le tremblement de terre de 2011 au Japon qui engendra un tsunami et des milliers de disparitions, des personnages désoeuvrés tentent par des moyens détournés de changer leur destin.
Si le film reprend le titre d’une nouvelle d’Haruki Murakami, l’adaptation de Pierre Földes en incorpore en réalité cinq autres. Évitant la simple illustration, il retranscrit l’onirisme si particulier de ses écrits, servi ici magnifiquement par une animation riche de mille détails.
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Petite salle
Il était une fois... Le fils d’un marchand prospère épouse une charmante jeune femme, mais la délaisse en partant à la ville afin de faire fortune. En son absence, un génie, amoureux de la mariée, prend son apparence.
Mani Kaul adapte un conte populaire qui éblouit d’abord par sa riche palette de couleurs, du jaune des robes de la mariée au rouge des fruits. Des gros plans magnifiques sur les visages aux élégantes compositions d’intérieur, il magnifie cette histoire d’amour, nous faisant deviner la puissante magie qui s’y joue. Un film parfait pour rentrer dans l’oeuvre du cinéaste, et vouloir y rester !
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Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la société et ses interdits. Enfants terribles, le frère et la soeur devront apprendre à regagner le monde et à y trouver, l’un et l’autre, leur place.
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Lucie est une ado comme beaucoup d’autres. Un peu timide, un peu rebelle, avec un béguin pour un garçon qui la remarque à peine. Mais Lucie a une double vie : elle s’occupe de son père, dont l’état de santé vacillant lui impose de prendre elle-même en main la vie de la maisonnée.
On aurait pu craindre un énième film sur une adolescence perturbée et sur des relations filiales contrariées. Mais Olivier Babinet déjoue cet a priori en allant davantage vers le comique que le drame social. Le père et la fille sont complices et prêts à tout pour continuer à vivre ensemble. Un peu arnaqueurs, un peu acteurs, ils savent s’amuser avec ce que les autres attendent d’eux. S’inspirant parfois des codes du teen movie, le réalisateur émeut en proposant le portrait de cette gamine qui doit apprendre à s’épanouir sans grandir trop vite.
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Après le tremblement de terre de 2011 au Japon qui engendra un tsunami et des milliers de disparitions, des personnages désoeuvrés tentent par des moyens détournés de changer leur destin.
Si le film reprend le titre d’une nouvelle d’Haruki Murakami, l’adaptation de Pierre Földes en incorpore en réalité cinq autres. Évitant la simple illustration, il retranscrit l’onirisme si particulier de ses écrits, servi ici magnifiquement par une animation riche de mille détails.
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Petite salle
Un ourson recherche sa maman, une botte court après sa paire, un chaton est perdu sans sa maîtresse...
Qu’il soit filial, amical ou amoureux, ce programme évoque avec tendresse l’attachement inconditionnel à l’être aimé et décrit délicatement le bonheur d’aimer.
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Venez découvrir la véritable histoire de Titina, adorable chienne qui accompagna son maître dans un grand voyage à la découverte du Pôle Nord !
De formidables aventures attendent le courageux animal qui parcourra le monde.
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Cette colline n’est pas un paysage verdoyant. Construction humaine, elle est formée de tous les détritus produits par notre société, des sacs en plastique aux emballages de gâteaux. Au milieu de cet impressionnant décor, terrain de chasse des oiseaux affamés et des chiens errants, vivent des hommes et des femmes, eux et elles aussi rejetés loin de la société.
Les deux cinéastes font le portrait de personnes qui habitent dans cette déchetterie du Kirghizistan. Trouvant la bonne distance avec leurs interlocuteurs, ils leur donnent la réponse et une chance de se raconter: soldat déchu, homme alcoolique, âmes perdues se retrouvent, et parfois s’aiment dans ce monde à part entière qu’est la Colline, au point que l’on se croirait parfois chez Dostoïevski, tant sont questionnés les thèmes de la chute et de la rédemption.
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Lucie est une ado comme beaucoup d’autres. Un peu timide, un peu rebelle, avec un béguin pour un garçon qui la remarque à peine. Mais Lucie a une double vie : elle s’occupe de son père, dont l’état de santé vacillant lui impose de prendre elle-même en main la vie de la maisonnée.
On aurait pu craindre un énième film sur une adolescence perturbée et sur des relations filiales contrariées. Mais Olivier Babinet déjoue cet a priori en allant davantage vers le comique que le drame social. Le père et la fille sont complices et prêts à tout pour continuer à vivre ensemble. Un peu arnaqueurs, un peu acteurs, ils savent s’amuser avec ce que les autres attendent d’eux. S’inspirant parfois des codes du teen movie, le réalisateur émeut en proposant le portrait de cette gamine qui doit apprendre à s’épanouir sans grandir trop vite.
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Petite salle
Une explosion, et puis plus rien. David, soldat français au Mali, a perdu la mémoire après un traumatisme. Sa soeur Jeanne l’accueille chez elle, en Ariège, et tente de retrouver son frère malgré son amnésie.
Chez André Téchiné, les liens du sang sont puissants : Jeanne ne connaît-elle pas David mieux qu’il se connaît lui-même ? La relation fusionnelle entre le frère et la soeur est aussi belle qu’étouffante, dans cette campagne isolée, presque hors du temps. Le passage des saisons y est d’ailleurs omniprésent, et David apprend à faire corps avec ce paysage dont il a tout oublié, à revenir à un état primaire, presque sauvage, un état d’avant la mémoire, d’avant la s