Dès 3 ans
Bon voyage, Dimitri !
2014 - diverses nationalités - Durée : 44minDe Natalia Chernysheva, Olesya Shchukina, Agnès Lecreux, Sami Guellai, Fabien Drouet, Mohamed Fadera
Avec Samuel Legay, Solenn Gaillot, Lou Legay, Charlotte Cabanis, Eric Lichou, Philippe Robert, Geneviève Le Meur-Guisnel, Dominique Prie, Sabrina Horvais Amengual, Eddy Frogeais, Louison Pochat
Avec Samuel Legay, Solenn Gaillot, Lou Legay, ...
Dès 3 ans
Bon voyage, Dimitri !
2014 - diverses nationalités - Durée : 44minDe Natalia Chernysheva, Olesya Shchukina, Agnès Lecreux, Sami Guellai, Fabien Drouet, Mohamed Fadera
Avec Samuel Legay, Solenn Gaillot, Lou Legay, Charlotte Cabanis, Eric Lichou, Philippe Robert, Geneviève Le Meur-Guisnel, Dominique Prie, Sabrina Horvais Amengual, Eddy Frogeais, Louison Pochat
Avec Samuel Legay, Solenn Gaillot, Lou Legay, ...
En corps
2022 - France - Durée : 2h 00minDe Cédric Klapisch
Avec Marion Barbeau, Pio Marmaï, Denis Podalydès, François Civil, Muriel Robin, Hofesh Shechter, Souheila Yacoub, Damien Chapelle, Zinedine Soualem, Mehdi Baki, Robinson Cassarino, Florence Clerc, Louis Lancien
Avec Marion Barbeau, Pio Marmaï, Denis...
Dès 3 ans
Bon voyage, Dimitri !
2014 - diverses nationalités - Durée : 44minDe Natalia Chernysheva, Olesya Shchukina, Agnès Lecreux, Sami Guellai, Fabien Drouet, Mohamed Fadera
Avec Samuel Legay, Solenn Gaillot, Lou Legay, Charlotte Cabanis, Eric Lichou, Philippe Robert, Geneviève Le Meur-Guisnel, Dominique Prie, Sabrina Horvais Amengual, Eddy Frogeais, Louison Pochat
Avec Samuel Legay, Solenn Gaillot, Lou Legay, ...
Les Femmes des autres
1964 - Durée : 1h 50minDe Damiano Damiani
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco Rabal, Riccardo Garrone, Dominique Boschero, Mino Guerrini, Paul Guers, Gastone Moschin, Jacqueline Pierreux, Mimma Di Terlizzi
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco...
Les Femmes des autres
1964 - Durée : 1h 50minDe Damiano Damiani
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco Rabal, Riccardo Garrone, Dominique Boschero, Mino Guerrini, Paul Guers, Gastone Moschin, Jacqueline Pierreux, Mimma Di Terlizzi
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco...
Les Femmes des autres
1964 - Durée : 1h 50minDe Damiano Damiani
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco Rabal, Riccardo Garrone, Dominique Boschero, Mino Guerrini, Paul Guers, Gastone Moschin, Jacqueline Pierreux, Mimma Di Terlizzi
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco...
Les Femmes des autres
1964 - Durée : 1h 50minDe Damiano Damiani
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco Rabal, Riccardo Garrone, Dominique Boschero, Mino Guerrini, Paul Guers, Gastone Moschin, Jacqueline Pierreux, Mimma Di Terlizzi
Avec Walter Chiari, Letícia Román, Francisco...
Murina
2022 - Croatie - Durée : 1h 36minDe Antoneta Alamat Kusijanović
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon Lučev, Cliff Curtis, Jonas Smulders, Nikša Butijer, Mislav Čavajda, Klara Mucci, Milan Štrljić, Lovro Zafred, Ivana Živković
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon...
Murina
2022 - Croatie - Durée : 1h 36minDe Antoneta Alamat Kusijanović
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon Lučev, Cliff Curtis, Jonas Smulders, Nikša Butijer, Mislav Čavajda, Klara Mucci, Milan Štrljić, Lovro Zafred, Ivana Živković
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon...
Murina
2022 - Croatie - Durée : 1h 36minDe Antoneta Alamat Kusijanović
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon Lučev, Cliff Curtis, Jonas Smulders, Nikša Butijer, Mislav Čavajda, Klara Mucci, Milan Štrljić, Lovro Zafred, Ivana Živković
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon...
Dès 6 ans
Un conte peut en cacher un autre
2017 - Grande-Bretagne - Durée : 1h 01minDe Jakob Schuh, Jan Lachauer
Avec Dominic West, Gemma Chan, Rose Leslie, Tamsin Greig, Bertie Carvel, Rob Brydon, Amelie Forester-Evans, Isaac Hempstead-Wright, Dylan Issberner, Bel Powley, David Walliams, Rob Brydon, Eden Muckle, Dolly Heavey
Avec Dominic West, Gemma Chan, Rose Leslie, ...
Murina
2022 - Croatie - Durée : 1h 36minDe Antoneta Alamat Kusijanović
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon Lučev, Cliff Curtis, Jonas Smulders, Nikša Butijer, Mislav Čavajda, Klara Mucci, Milan Štrljić, Lovro Zafred, Ivana Živković
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon...
Murina
2022 - Croatie - Durée : 1h 36minDe Antoneta Alamat Kusijanović
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon Lučev, Cliff Curtis, Jonas Smulders, Nikša Butijer, Mislav Čavajda, Klara Mucci, Milan Štrljić, Lovro Zafred, Ivana Živković
Avec Gracija Filipović, Danica Ćurčić, Leon...
Dès 6 ans
Un conte peut en cacher un autre
2017 - Grande-Bretagne - Durée : 1h 01minDe Jakob Schuh, Jan Lachauer
Avec Dominic West, Gemma Chan, Rose Leslie, Tamsin Greig, Bertie Carvel, Rob Brydon, Amelie Forester-Evans, Isaac Hempstead-Wright, Dylan Issberner, Bel Powley, David Walliams, Rob Brydon, Eden Muckle, Dolly Heavey
Avec Dominic West, Gemma Chan, Rose Leslie, ...
A Chiara
2022 - Italie - Durée : 2h 01minDe Jonas Carpignano
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia Rotolo, Carmela Fumo, Giorgia Rotolo, Antonio Rotolo, Vincenzo Rotolo, Antonina Fumo, Giusy D'Uscio, Patrizia Amato, Concetta Grillo, Koudous Seihon, Pio Amato
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia...
A Chiara
2022 - Italie - Durée : 2h 01minDe Jonas Carpignano
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia Rotolo, Carmela Fumo, Giorgia Rotolo, Antonio Rotolo, Vincenzo Rotolo, Antonina Fumo, Giusy D'Uscio, Patrizia Amato, Concetta Grillo, Koudous Seihon, Pio Amato
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia...
A Chiara
2022 - Italie - Durée : 2h 01minDe Jonas Carpignano
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia Rotolo, Carmela Fumo, Giorgia Rotolo, Antonio Rotolo, Vincenzo Rotolo, Antonina Fumo, Giusy D'Uscio, Patrizia Amato, Concetta Grillo, Koudous Seihon, Pio Amato
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia...
Dès 6 ans
Un conte peut en cacher un autre
2017 - Grande-Bretagne - Durée : 1h 01minDe Jakob Schuh, Jan Lachauer
Avec Dominic West, Gemma Chan, Rose Leslie, Tamsin Greig, Bertie Carvel, Rob Brydon, Amelie Forester-Evans, Isaac Hempstead-Wright, Dylan Issberner, Bel Powley, David Walliams, Rob Brydon, Eden Muckle, Dolly Heavey
Avec Dominic West, Gemma Chan, Rose Leslie, ...
A Chiara
2022 - Italie - Durée : 2h 01minDe Jonas Carpignano
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia Rotolo, Carmela Fumo, Giorgia Rotolo, Antonio Rotolo, Vincenzo Rotolo, Antonina Fumo, Giusy D'Uscio, Patrizia Amato, Concetta Grillo, Koudous Seihon, Pio Amato
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia...
A Chiara
2022 - Italie - Durée : 2h 01minDe Jonas Carpignano
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia Rotolo, Carmela Fumo, Giorgia Rotolo, Antonio Rotolo, Vincenzo Rotolo, Antonina Fumo, Giusy D'Uscio, Patrizia Amato, Concetta Grillo, Koudous Seihon, Pio Amato
Avec Swamy Rotolo, Claudio Rotolo, Grecia...
Dès 8 ans
Le Royaume des chats
2003 - Japon - Durée : 1h 15minDe Hiroyuki Morita
Avec Chizuru Ikewaki, Yoshihiko Hakamada, Aki Maeda, Takayuki Yamada, Hitomi Satô, Kenta Satoi, Mari Hamada, Tetsu Watanabe, Yousuke Saito, Kumiko Okae, Tetsurō Tamba, Yo Oizumi, Yoko Honna, Ken Yasuda
Avec Chizuru Ikewaki, Yoshihiko Hakamada, Aki...
Dès 8 ans
Le Royaume des chats
2003 - Japon - Durée : 1h 15minDe Hiroyuki Morita
Avec Chizuru Ikewaki, Yoshihiko Hakamada, Aki Maeda, Takayuki Yamada, Hitomi Satô, Kenta Satoi, Mari Hamada, Tetsu Watanabe, Yousuke Saito, Kumiko Okae, Tetsurō Tamba, Yo Oizumi, Yoko Honna, Ken Yasuda
Avec Chizuru Ikewaki, Yoshihiko Hakamada, Aki...
Tous les films du mercredi 25 au mardi 31 (semaine 202221)
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
Un éléphant qui fait du vélo, une panthère dans la neige, un pêcheur malchanceux ou encore Dimitri, l’oiseau timide...Voici quatre personnages qui nous emportent dans des aventures fantaisistes, à la rencontre d’animaux tantôt mystérieux et sauvages, tantôt bienveillants et généreux.
Le monde des sorciers est au bord de basculer. Le redoutable mage noir Grindelwald est aux portes du pouvoir, et rien ni personne ne semble pouvoir arrêter son ascension. A moins que Dumbledore, aidé de Norbert Dragonneau, n'ait un plan...
Tsuji, employé dans une petite entreprise, voit sa vie s’écouler sans surprise entre les rendez-vous professionnels et sa liaison secrète avec une collègue. Jusqu’au jour où il sauve la vie de Ukiyo, une jeune femme en pleine confusion. Rapidement, il s’attache à cette inconnue qui semble fuir quelque chose ou quelqu’un.
Kôji Fukada s’approprie avec bonheur un thème classique du film noir : la femme mystérieuse au passé trouble, à la fois dangereuse et irrésistible, qu’il traite de manière décalée. Ses personnages sont fortement ancrés dans le quotidien, et c’est avec une bonne dose d’humour qu’il raconte les mésaventures de cette femme qui ne cesse de disparaître et de réapparaître, et qui exerce un étrange pouvoir sur les hommes. Est-elle sincère, joue-t-elle un rôle ? Il faudra attendre le deuxième volet de ce dyptique pour en avoir, peut-être, le cœur net.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
Damouré et Lam, deux hommes d’affaires africains, découvrent la manière dont on vit à la Capitale, tandis que deux Parisiennes se rendent au Niger.
Une fable audacieuse qui évoque les Lettres persanes et inverse avec bonheur les rapports entre le Nord et le Sud, se riant des clichés. Le réalisateur, adepte du « cinéma vérité », oscille joyeusement entre documentaire et fiction en démontant soigneusement les dispositifs classiques. Ce cinéma qui s’amuse de lui-même et de ses certitudes inspira les cinéastes de la Nouvelle vague.
Une famille dans une voiture. Entre le rire et les larmes, les chansons et les silences, elle avance vers une destination inconnue…
Le cinéma iranien n’en finit pas de nous surprendre. Nous voici face à un film inclassable, entre le road movie, le thriller et le mélodrame. Tout commence dans l’habitacle d’une voiture, où mille choses semblent se produire à la fois : derrière les facéties d’un enfant bien agité, on sent sourdre une curieuse inquiétude…
Peu à peu, le film s’ouvre sur les grands espaces et les paysages magnifiques et changeants de l’Iran. Le mystère s’épaissit ou se lève au détour de chaque séquence traversée par toutes sortes d’émotions. Et le voyage cinématographique devient un incroyable voyage de vie…
Années 1980. Elisabeth, récemment divorcée, doit apprendre à mener seule sa barque. Avec, à bord, une famille recomposée qu’il faut mener à bon port. À moins que ce ne soit cette famille qui la guide.
Saisissant les petites choses du quotidien, Mikhaël Hers compose, par touches légères, le portrait de personnages aussi fragiles qu’attachants. Après Amanda et Ce sentiment de l’été où il évoquait le chemin à parcourir pour se reconstruire après un décès, le réalisateur parle ici, avec toujours autant de sensibilité, d’une forme de deuil : celui qu’on doit faire de son passé, de son ancienne existence, parfois de ses certitudes, afin de pouvoir continuer à avancer.
En corps commence par un ballet : dix minutes qui témoignent de la sincérité de Cédric Klapisch, amoureux de la danse qu’il a déjà approchée par le documentaire ou via des captations. En s’offrant et en nous offrant une telle séquence d’introduction, le réalisateur dit bien qu’il est arrivé à ce film avec le désir de servir l’art qui sert d’écrin à l’histoire qu’il va nous conter et sur lequel il pose sa propre réflexion de passionné.
Car si En corps est bien le récit d’une reconstruction - celle d’une danseuse qui, suite à une grave blessure, va devoir « se réparer » pour envisager danser à nouveau - c’est la manière dont cette reconstruction va pouvoir s’opérer, tissant le lien entre la danse classique et la danse contemporaine, qui s’avère au final être le vrai sujet du film. En amoureux de la danse, Cédric Klapisch dit le plaisir de toutes les formes qu’elle prend. En amoureux de l’art, il aborde son univers par le biais d’un parcours de vie qui trouve dans la pratique artistique la possibité d’exprimer, intensément, une passion.
À 18 ans, le bac en poche, Lise, Lola et leur groupe d’ami.es profitent de la douceur de l’été, des plages ensoleillées de Marseille et de ses nuits endiablées. Elles et ils sont libres et invincibles. Mais leur univers entier va être chamboulé, et il va falloir renaître…
Émilie Aussel signe un premier long métrage qui nous dépeint avec fracas et mélancolie la fin de l’adolescence et évoque un passage à l’âge adulte qui devient un parcours initiatique. D’une incroyable et émouvante justesse, avec délicatesse, la réalisatrice ne tient pas de discours : elle donne à partager et parvient ainsi à interroger sur la façon que l’on a, à cet âge où tout se termine et où tout commence, d’aborder le reste de sa vie.
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
vo
grande salle
Un éléphant qui fait du vélo, une panthère dans la neige, un pêcheur malchanceux ou encore Dimitri, l’oiseau timide...Voici quatre personnages qui nous emportent dans des aventures fantaisistes, à la rencontre d’animaux tantôt mystérieux et sauvages, tantôt bienveillants et généreux.
vo
petite salle
Le monde des sorciers est au bord de basculer. Le redoutable mage noir Grindelwald est aux portes du pouvoir, et rien ni personne ne semble pouvoir arrêter son ascension. A moins que Dumbledore, aidé de Norbert Dragonneau, n'ait un plan...
vf
grande salle
Tsuji, employé dans une petite entreprise, voit sa vie s’écouler sans surprise entre les rendez-vous professionnels et sa liaison secrète avec une collègue. Jusqu’au jour où il sauve la vie de Ukiyo, une jeune femme en pleine confusion. Rapidement, il s’attache à cette inconnue qui semble fuir quelque chose ou quelqu’un.
Kôji Fukada s’approprie avec bonheur un thème classique du film noir : la femme mystérieuse au passé trouble, à la fois dangereuse et irrésistible, qu’il traite de manière décalée. Ses personnages sont fortement ancrés dans le quotidien, et c’est avec une bonne dose d’humour qu’il raconte les mésaventures de cette femme qui ne cesse de disparaître et de réapparaître, et qui exerce un étrange pouvoir sur les hommes. Est-elle sincère, joue-t-elle un rôle ? Il faudra attendre le deuxième volet de ce dyptique pour en avoir, peut-être, le cœur net.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
petite salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
grande salle
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
petite salle
Damouré et Lam, deux hommes d’affaires africains, découvrent la manière dont on vit à la Capitale, tandis que deux Parisiennes se rendent au Niger.
Une fable audacieuse qui évoque les Lettres persanes et inverse avec bonheur les rapports entre le Nord et le Sud, se riant des clichés. Le réalisateur, adepte du « cinéma vérité », oscille joyeusement entre documentaire et fiction en démontant soigneusement les dispositifs classiques. Ce cinéma qui s’amuse de lui-même et de ses certitudes inspira les cinéastes de la Nouvelle vague.
vo
grande salle
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
vo
grande salle
Un éléphant qui fait du vélo, une panthère dans la neige, un pêcheur malchanceux ou encore Dimitri, l’oiseau timide...Voici quatre personnages qui nous emportent dans des aventures fantaisistes, à la rencontre d’animaux tantôt mystérieux et sauvages, tantôt bienveillants et généreux.
vo
petite salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
petite salle
Le monde des sorciers est au bord de basculer. Le redoutable mage noir Grindelwald est aux portes du pouvoir, et rien ni personne ne semble pouvoir arrêter son ascension. A moins que Dumbledore, aidé de Norbert Dragonneau, n'ait un plan...
vo
grande salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Tsuji, employé dans une petite entreprise, voit sa vie s’écouler sans surprise entre les rendez-vous professionnels et sa liaison secrète avec une collègue. Jusqu’au jour où il sauve la vie de Ukiyo, une jeune femme en pleine confusion. Rapidement, il s’attache à cette inconnue qui semble fuir quelque chose ou quelqu’un.
Kôji Fukada s’approprie avec bonheur un thème classique du film noir : la femme mystérieuse au passé trouble, à la fois dangereuse et irrésistible, qu’il traite de manière décalée. Ses personnages sont fortement ancrés dans le quotidien, et c’est avec une bonne dose d’humour qu’il raconte les mésaventures de cette femme qui ne cesse de disparaître et de réapparaître, et qui exerce un étrange pouvoir sur les hommes. Est-elle sincère, joue-t-elle un rôle ? Il faudra attendre le deuxième volet de ce dyptique pour en avoir, peut-être, le cœur net.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
Une famille dans une voiture. Entre le rire et les larmes, les chansons et les silences, elle avance vers une destination inconnue…
Le cinéma iranien n’en finit pas de nous surprendre. Nous voici face à un film inclassable, entre le road movie, le thriller et le mélodrame. Tout commence dans l’habitacle d’une voiture, où mille choses semblent se produire à la fois : derrière les facéties d’un enfant bien agité, on sent sourdre une curieuse inquiétude…
Peu à peu, le film s’ouvre sur les grands espaces et les paysages magnifiques et changeants de l’Iran. Le mystère s’épaissit ou se lève au détour de chaque séquence traversée par toutes sortes d’émotions. Et le voyage cinématographique devient un incroyable voyage de vie…
vo
petite salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
petite salle
Le monde des sorciers est au bord de basculer. Le redoutable mage noir Grindelwald est aux portes du pouvoir, et rien ni personne ne semble pouvoir arrêter son ascension. A moins que Dumbledore, aidé de Norbert Dragonneau, n'ait un plan...
vf
grande salle
Une famille dans une voiture. Entre le rire et les larmes, les chansons et les silences, elle avance vers une destination inconnue…
Le cinéma iranien n’en finit pas de nous surprendre. Nous voici face à un film inclassable, entre le road movie, le thriller et le mélodrame. Tout commence dans l’habitacle d’une voiture, où mille choses semblent se produire à la fois : derrière les facéties d’un enfant bien agité, on sent sourdre une curieuse inquiétude…
Peu à peu, le film s’ouvre sur les grands espaces et les paysages magnifiques et changeants de l’Iran. Le mystère s’épaissit ou se lève au détour de chaque séquence traversée par toutes sortes d’émotions. Et le voyage cinématographique devient un incroyable voyage de vie…
vo
petite salle
Damouré et Lam, deux hommes d’affaires africains, découvrent la manière dont on vit à la Capitale, tandis que deux Parisiennes se rendent au Niger.
Une fable audacieuse qui évoque les Lettres persanes et inverse avec bonheur les rapports entre le Nord et le Sud, se riant des clichés. Le réalisateur, adepte du « cinéma vérité », oscille joyeusement entre documentaire et fiction en démontant soigneusement les dispositifs classiques. Ce cinéma qui s’amuse de lui-même et de ses certitudes inspira les cinéastes de la Nouvelle vague.
vo
grande salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
Années 1980. Elisabeth, récemment divorcée, doit apprendre à mener seule sa barque. Avec, à bord, une famille recomposée qu’il faut mener à bon port. À moins que ce ne soit cette famille qui la guide.
Saisissant les petites choses du quotidien, Mikhaël Hers compose, par touches légères, le portrait de personnages aussi fragiles qu’attachants. Après Amanda et Ce sentiment de l’été où il évoquait le chemin à parcourir pour se reconstruire après un décès, le réalisateur parle ici, avec toujours autant de sensibilité, d’une forme de deuil : celui qu’on doit faire de son passé, de son ancienne existence, parfois de ses certitudes, afin de pouvoir continuer à avancer.
vo
petite salle
En corps commence par un ballet : dix minutes qui témoignent de la sincérité de Cédric Klapisch, amoureux de la danse qu’il a déjà approchée par le documentaire ou via des captations. En s’offrant et en nous offrant une telle séquence d’introduction, le réalisateur dit bien qu’il est arrivé à ce film avec le désir de servir l’art qui sert d’écrin à l’histoire qu’il va nous conter et sur lequel il pose sa propre réflexion de passionné.
Car si En corps est bien le récit d’une reconstruction - celle d’une danseuse qui, suite à une grave blessure, va devoir « se réparer » pour envisager danser à nouveau - c’est la manière dont cette reconstruction va pouvoir s’opérer, tissant le lien entre la danse classique et la danse contemporaine, qui s’avère au final être le vrai sujet du film. En amoureux de la danse, Cédric Klapisch dit le plaisir de toutes les formes qu’elle prend. En amoureux de l’art, il aborde son univers par le biais d’un parcours de vie qui trouve dans la pratique artistique la possibité d’exprimer, intensément, une passion.
vo
petite salle
Tsuji, employé dans une petite entreprise, voit sa vie s’écouler sans surprise entre les rendez-vous professionnels et sa liaison secrète avec une collègue. Jusqu’au jour où il sauve la vie de Ukiyo, une jeune femme en pleine confusion. Rapidement, il s’attache à cette inconnue qui semble fuir quelque chose ou quelqu’un.
Kôji Fukada s’approprie avec bonheur un thème classique du film noir : la femme mystérieuse au passé trouble, à la fois dangereuse et irrésistible, qu’il traite de manière décalée. Ses personnages sont fortement ancrés dans le quotidien, et c’est avec une bonne dose d’humour qu’il raconte les mésaventures de cette femme qui ne cesse de disparaître et de réapparaître, et qui exerce un étrange pouvoir sur les hommes. Est-elle sincère, joue-t-elle un rôle ? Il faudra attendre le deuxième volet de ce dyptique pour en avoir, peut-être, le cœur net.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
Un éléphant qui fait du vélo, une panthère dans la neige, un pêcheur malchanceux ou encore Dimitri, l’oiseau timide...Voici quatre personnages qui nous emportent dans des aventures fantaisistes, à la rencontre d’animaux tantôt mystérieux et sauvages, tantôt bienveillants et généreux.
vo
petite salle
vo
petite salle
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
Le monde des sorciers est au bord de basculer. Le redoutable mage noir Grindelwald est aux portes du pouvoir, et rien ni personne ne semble pouvoir arrêter son ascension. A moins que Dumbledore, aidé de Norbert Dragonneau, n'ait un plan...
vf
petite salle
Damouré et Lam, deux hommes d’affaires africains, découvrent la manière dont on vit à la Capitale, tandis que deux Parisiennes se rendent au Niger.
Une fable audacieuse qui évoque les Lettres persanes et inverse avec bonheur les rapports entre le Nord et le Sud, se riant des clichés. Le réalisateur, adepte du « cinéma vérité », oscille joyeusement entre documentaire et fiction en démontant soigneusement les dispositifs classiques. Ce cinéma qui s’amuse de lui-même et de ses certitudes inspira les cinéastes de la Nouvelle vague.
vo
grande salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
vo
petite salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
grande salle
Le monde des sorciers est au bord de basculer. Le redoutable mage noir Grindelwald est aux portes du pouvoir, et rien ni personne ne semble pouvoir arrêter son ascension. A moins que Dumbledore, aidé de Norbert Dragonneau, n'ait un plan...
vo
petite salle
Tsuji, employé dans une petite entreprise, voit sa vie s’écouler sans surprise entre les rendez-vous professionnels et sa liaison secrète avec une collègue. Jusqu’au jour où il sauve la vie de Ukiyo, une jeune femme en pleine confusion. Rapidement, il s’attache à cette inconnue qui semble fuir quelque chose ou quelqu’un.
Kôji Fukada s’approprie avec bonheur un thème classique du film noir : la femme mystérieuse au passé trouble, à la fois dangereuse et irrésistible, qu’il traite de manière décalée. Ses personnages sont fortement ancrés dans le quotidien, et c’est avec une bonne dose d’humour qu’il raconte les mésaventures de cette femme qui ne cesse de disparaître et de réapparaître, et qui exerce un étrange pouvoir sur les hommes. Est-elle sincère, joue-t-elle un rôle ? Il faudra attendre le deuxième volet de ce dyptique pour en avoir, peut-être, le cœur net.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
À 18 ans, le bac en poche, Lise, Lola et leur groupe d’ami.es profitent de la douceur de l’été, des plages ensoleillées de Marseille et de ses nuits endiablées. Elles et ils sont libres et invincibles. Mais leur univers entier va être chamboulé, et il va falloir renaître…
Émilie Aussel signe un premier long métrage qui nous dépeint avec fracas et mélancolie la fin de l’adolescence et évoque un passage à l’âge adulte qui devient un parcours initiatique. D’une incroyable et émouvante justesse, avec délicatesse, la réalisatrice ne tient pas de discours : elle donne à partager et parvient ainsi à interroger sur la façon que l’on a, à cet âge où tout se termine et où tout commence, d’aborder le reste de sa vie.
vo
petite salle
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
petite salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
grande salle
Damouré et Lam, deux hommes d’affaires africains, découvrent la manière dont on vit à la Capitale, tandis que deux Parisiennes se rendent au Niger.
Une fable audacieuse qui évoque les Lettres persanes et inverse avec bonheur les rapports entre le Nord et le Sud, se riant des clichés. Le réalisateur, adepte du « cinéma vérité », oscille joyeusement entre documentaire et fiction en démontant soigneusement les dispositifs classiques. Ce cinéma qui s’amuse de lui-même et de ses certitudes inspira les cinéastes de la Nouvelle vague.
vo
petite salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
grande salle
Tsuji veut oublier Ukiyo et retourner à sa vie normale, tant bien que mal, et lutte contre son amour pour elle. Mais tout semble déréglé et Ukiyo, de son côté, est déterminée à le retrouver.
Si le premier volet de ce diptyque de Kôji Fukada regardait du côté du film noir, cette seconde partie ose ouvertement le mélodrame. Sous des dehors d’une grande simplicité, c’est une grande fresque amoureuse que nous propose le cinéaste, et l’histoire d’une passion inextinguible. Les deux personnages principaux subissent l’épreuve du feu et connaissent une importante expérience initiatique : Tsuji saura-t-il assumer ses choix ? Ukiyo parviendra-t-elle à affirmer ses désirs ? Une belle conclusion à ce diptyque aussi élégant que délicat.
Un film en 2 parties :
Prenez une place, voyez les 2 parties !
Découvrez les 2 parties à la suite !
Un sandwich offert à l’interséance
des soirées du 19, 21, 25 et 29 mai
Un thé offert à l’interséance le 28 mai
vo
grande salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Tous les films du mercredi 01 au mardi 07 (semaine 202222)
Un jeune instituteur est envoyé dans un village isolé de montagne. D’abord rebuté par les conditions de vie, il commence à nouer des liens forts avec les habitant.es.
Ce premier long métrage séduit d’abord par sa beauté plastique : les magnifiques paysages du Bhoutan invitent le personnage à l’apaisement et à la méditation. Puis il nous touche par cette fable pleine d’humanité sur l’enseignement où l’éducation se fait réciproque entre instituteur et élèves.
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
Partez à la découverte d’un lapin et d’un écureuil en désaccord, de deux amis lapins qui partent faire une mystérieuse chasse au trésor, d’un petit hérisson très très gourmand, ou encore d’une souris poursuivie par un chat...
Réalisé à partir de plusieurs techniques d’animation aussi diverses que le papier découpé ou encore le dessins animé, ce très beau programme de courts métrages à l’esthétique douce et chaleureuse nous régale les yeux et nous fait apprécier encore plus ce délicieux légume tant apprécié.
Herra, jeune femme tchèque, décide par amour de suivre Nazir à Kaboul, où il vit avec toute sa famille. Elle apprend à s’habituer tant bien que mal à ce pays où sa place, en tant que femme, est bien différente de ce qu’elle a toujours connu.
Refusant la caricature et le simplisme, Michaela Pavlatova ancre son histoire dans les gestes et les habitudes de tous les jours pour faire le portrait de cette famille afghane. Elle compose tout un panel de figures complexes qui doivent faire face à de grands bouleversements et décider de la vie qu’elles désirent mener.
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
Cinq meilleurs amis, séparés par la vie, se retrouvent tous ensemble pour quelques jours. Tous âgés d'une quarantaine d'années, ils veulent retrouver, l'espace d'une nuit, le goût de l'insouciance et les plaisirs de leurs soirées adolescentes.
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
Pour sauver leur ville, la bande des Goonies part sur les traces
du pirate Willy le Borgne et de son légendaire trésor perdu.
Une aventure sous le signe de l’amitié dans ce classique des
années 1980.
Un jeune instituteur est envoyé dans un village isolé de montagne. D’abord rebuté par les conditions de vie, il commence à nouer des liens forts avec les habitant.es.
Ce premier long métrage séduit d’abord par sa beauté plastique : les magnifiques paysages du Bhoutan invitent le personnage à l’apaisement et à la méditation. Puis il nous touche par cette fable pleine d’humanité sur l’enseignement où l’éducation se fait réciproque entre instituteur et élèves.
vo
petite salle
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
vo
grande salle
Partez à la découverte d’un lapin et d’un écureuil en désaccord, de deux amis lapins qui partent faire une mystérieuse chasse au trésor, d’un petit hérisson très très gourmand, ou encore d’une souris poursuivie par un chat...
Réalisé à partir de plusieurs techniques d’animation aussi diverses que le papier découpé ou encore le dessins animé, ce très beau programme de courts métrages à l’esthétique douce et chaleureuse nous régale les yeux et nous fait apprécier encore plus ce délicieux légume tant apprécié.
vo
petite salle
Herra, jeune femme tchèque, décide par amour de suivre Nazir à Kaboul, où il vit avec toute sa famille. Elle apprend à s’habituer tant bien que mal à ce pays où sa place, en tant que femme, est bien différente de ce qu’elle a toujours connu.
Refusant la caricature et le simplisme, Michaela Pavlatova ancre son histoire dans les gestes et les habitudes de tous les jours pour faire le portrait de cette famille afghane. Elle compose tout un panel de figures complexes qui doivent faire face à de grands bouleversements et décider de la vie qu’elles désirent mener.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
grande salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
grande salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Herra, jeune femme tchèque, décide par amour de suivre Nazir à Kaboul, où il vit avec toute sa famille. Elle apprend à s’habituer tant bien que mal à ce pays où sa place, en tant que femme, est bien différente de ce qu’elle a toujours connu.
Refusant la caricature et le simplisme, Michaela Pavlatova ancre son histoire dans les gestes et les habitudes de tous les jours pour faire le portrait de cette famille afghane. Elle compose tout un panel de figures complexes qui doivent faire face à de grands bouleversements et décider de la vie qu’elles désirent mener.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Un jeune instituteur est envoyé dans un village isolé de montagne. D’abord rebuté par les conditions de vie, il commence à nouer des liens forts avec les habitant.es.
Ce premier long métrage séduit d’abord par sa beauté plastique : les magnifiques paysages du Bhoutan invitent le personnage à l’apaisement et à la méditation. Puis il nous touche par cette fable pleine d’humanité sur l’enseignement où l’éducation se fait réciproque entre instituteur et élèves.
vo
petite salle
Herra, jeune femme tchèque, décide par amour de suivre Nazir à Kaboul, où il vit avec toute sa famille. Elle apprend à s’habituer tant bien que mal à ce pays où sa place, en tant que femme, est bien différente de ce qu’elle a toujours connu.
Refusant la caricature et le simplisme, Michaela Pavlatova ancre son histoire dans les gestes et les habitudes de tous les jours pour faire le portrait de cette famille afghane. Elle compose tout un panel de figures complexes qui doivent faire face à de grands bouleversements et décider de la vie qu’elles désirent mener.
vo
grande salle
Cinq meilleurs amis, séparés par la vie, se retrouvent tous ensemble pour quelques jours. Tous âgés d'une quarantaine d'années, ils veulent retrouver, l'espace d'une nuit, le goût de l'insouciance et les plaisirs de leurs soirées adolescentes.
vo
grande salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
grande salle
Un jeune instituteur est envoyé dans un village isolé de montagne. D’abord rebuté par les conditions de vie, il commence à nouer des liens forts avec les habitant.es.
Ce premier long métrage séduit d’abord par sa beauté plastique : les magnifiques paysages du Bhoutan invitent le personnage à l’apaisement et à la méditation. Puis il nous touche par cette fable pleine d’humanité sur l’enseignement où l’éducation se fait réciproque entre instituteur et élèves.
vo
petite salle
Partez à la découverte d’un lapin et d’un écureuil en désaccord, de deux amis lapins qui partent faire une mystérieuse chasse au trésor, d’un petit hérisson très très gourmand, ou encore d’une souris poursuivie par un chat...
Réalisé à partir de plusieurs techniques d’animation aussi diverses que le papier découpé ou encore le dessins animé, ce très beau programme de courts métrages à l’esthétique douce et chaleureuse nous régale les yeux et nous fait apprécier encore plus ce délicieux légume tant apprécié.
vo
petite salle
Cinq meilleurs amis, séparés par la vie, se retrouvent tous ensemble pour quelques jours. Tous âgés d'une quarantaine d'années, ils veulent retrouver, l'espace d'une nuit, le goût de l'insouciance et les plaisirs de leurs soirées adolescentes.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
petite salle
Hopper est un aventurier en herbe, complexé et maladroit. Mais alors que la survie de son royaume est menacée, il (se) prouvera qu’il a bien l’étoffe d’un véritable héros.
Un hommage à Indiana Jones, avec tout ce qu’il faut d’action, d’épreuves mortelles et d’humour.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Herra, jeune femme tchèque, décide par amour de suivre Nazir à Kaboul, où il vit avec toute sa famille. Elle apprend à s’habituer tant bien que mal à ce pays où sa place, en tant que femme, est bien différente de ce qu’elle a toujours connu.
Refusant la caricature et le simplisme, Michaela Pavlatova ancre son histoire dans les gestes et les habitudes de tous les jours pour faire le portrait de cette famille afghane. Elle compose tout un panel de figures complexes qui doivent faire face à de grands bouleversements et décider de la vie qu’elles désirent mener.
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
grande salle
Une soeur et un frère se haïssent depuis plus de vingt ans. Lui exploite sa rancoeur pour nourrir les pages de ses livres, tandis qu’elle nie l’existence de ce dernier en vivant pleinement sa carrière d’actrice. La mort imminente de leurs parents va les amener à se recroiser.
Frère et Soeur aborde une thématique dont Arnaud Desplechin ne s’éloigne jamais : celle des relations familiales. Il porte une nouvelle fois à l’écran les membres d’une famille réunis par un événement sinistre, propice à exacerber les jalousies et les non-dits.
Naviguant avec virtuosité au milieu des flashbacks et imposant un climat de tension sans répit, le réalisateur décortique sans ménagement les sentiments complexes et intenses qui peuvent former le lien entre un frère et une soeur.
vo
petite salle
Un jeune instituteur est envoyé dans un village isolé de montagne. D’abord rebuté par les conditions de vie, il commence à nouer des liens forts avec les habitant.es.
Ce premier long métrage séduit d’abord par sa beauté plastique : les magnifiques paysages du Bhoutan invitent le personnage à l’apaisement et à la méditation. Puis il nous touche par cette fable pleine d’humanité sur l’enseignement où l’éducation se fait réciproque entre instituteur et élèves.
vo
grande salle
Pour sauver leur ville, la bande des Goonies part sur les traces
du pirate Willy le Borgne et de son légendaire trésor perdu.
Une aventure sous le signe de l’amitié dans ce classique des
années 1980.
vf
grande salle
Partez à la découverte d’un lapin et d’un écureuil en désaccord, de deux amis lapins qui partent faire une mystérieuse chasse au trésor, d’un petit hérisson très très gourmand, ou encore d’une souris poursuivie par un chat...
Réalisé à partir de plusieurs techniques d’animation aussi diverses que le papier découpé ou encore le dessins animé, ce très beau programme de courts métrages à l’esthétique douce et chaleureuse nous régale les yeux et nous fait apprécier encore plus ce délicieux légume tant apprécié.
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
grande salle
Herra, jeune femme tchèque, décide par amour de suivre Nazir à Kaboul, où il vit avec toute sa famille. Elle apprend à s’habituer tant bien que mal à ce pays où sa place, en tant que femme, est bien différente de ce qu’elle a toujours connu.
Refusant la caricature et le simplisme, Michaela Pavlatova ancre son histoire dans les gestes et les habitudes de tous les jours pour faire le portrait de cette famille afghane. Elle compose tout un panel de figures complexes qui doivent faire face à de grands bouleversements et décider de la vie qu’elles désirent mener.
vo
grande salle
Cinq meilleurs amis, séparés par la vie, se retrouvent tous ensemble pour quelques jours. Tous âgés d'une quarantaine d'années, ils veulent retrouver, l'espace d'une nuit, le goût de l'insouciance et les plaisirs de leurs soirées adolescentes.
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
grande salle
Cinq meilleurs amis, séparés par la vie, se retrouvent tous ensemble pour quelques jours. Tous âgés d'une quarantaine d'années, ils veulent retrouver, l'espace d'une nuit, le goût de l'insouciance et les plaisirs de leurs soirées adolescentes.
vo
petite salle
Laurent attend Julie pour une cérémonie, mais Julie ne vient pas. Alors, Laurent, pris d’une profonde tristesse, se met à la voir partout. En parallèle, il répète Don Juan, entre mélancolie et faux espoirs…
Dans cette interrogation qui porte autant sur le jeu d’acteur que sur l’amour, Serge Bozon donne à percevoir, avec cinéma et musique, ce que le jeu apporte à l’amour. Par ce puissant récit se servant de Don Juan comme lieu commun, Serge Bozon détourne les préjugés sociaux et renverse les codes amoureux, tout en filmant avec justesse l’intime et ses tourments. En s’appuyant sur un casting inattendu et en jouant malicieusement dees doubles discours, il nous offre un émouvant voyage digne d’une tragédie et/ou d’une comédie, cela reste à découvrir…
vo
petite salle
Un jeune instituteur est envoyé dans un village isolé de montagne. D’abord rebuté par les conditions de vie, il commence à nouer des liens forts avec les habitant.es.
Ce premier long métrage séduit d’abord par sa beauté plastique : les magnifiques paysages du Bhoutan invitent le personnage à l’apaisement et à la méditation. Puis il nous touche par cette fable pleine d’humanité sur l’enseignement où l’éducation se fait réciproque entre instituteur et élèves.
vo
grande salle
Tous les films du mercredi 08 au mardi 14 (semaine 202223)
Julija, jeune fille en quête d’indépendance, étouffe entre son père et sa mère, coincée dans une maison cernée par la mer. L’arrivée d’un ami de la famille lui fait miroiter l’espoir d’une nouvelle vie…
Caméra d’or remarquée du dernier festival de Cannes, ce premier film reste au plus près de son héroïne, sirène athlétique qui n’a de refuge que les fonds sous-marins. Julija est un personnage mutique, témoin de l’hypocrisie et de la violence des adultes, qui exprime ses sentiments par son silence et la violence de ses désirs par ses échappées belles.
Entre la terre rocailleuse, symbole d’enfermement, et la mer infinie où Julija peut trouver un semblant de liberté, la réalisatrice tisse un drame initiatique, fort et émouvant, où les relations entre les êtres sont toujours sur le fil.
Pour sauver leur ville, la bande des Goonies part sur les traces
du pirate Willy le Borgne et de son légendaire trésor perdu.
Une aventure sous le signe de l’amitié dans ce classique des
années 1980.
Contrarié le jour de son anniversaire, Tommy décide de partir s’installer chez sa grand-mère et se lance dans un grand voyage.
Une promenade dans une forêt pleine de beauté, au côté d’un petit gaillard débrouillard.
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
La croisade d’un commissaire contre la corruption face à un juge d’instruction qui tente de s’opposer à ses méthodes.
Un polar froid qui fait état de la puissance absolue de la pègre sicilienne et du dévoiement des institutions étatiques dans l’Italie d’alors. Un film noir mêlant conflits psychologiques, pouvoirs politico-judiciaires et Mafia, dans la lignée du cinéma contestataire des années 1960/70.
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
Vous croyez connaître ces histoires par coeur ? Détrompezvous, et redécouvrez-les dans cette adaptation pleine d’humour du livre éponyme de Roald Dahl.
Ces contes détruisent les clichés et jouent sur nos attentes pour mieux nous amuser.
Un film documentaire à la croisée des dernières recherches sur le cerveau et l’intelligence artificielle.
Julija, jeune fille en quête d’indépendance, étouffe entre son père et sa mère, coincée dans une maison cernée par la mer. L’arrivée d’un ami de la famille lui fait miroiter l’espoir d’une nouvelle vie…
Caméra d’or remarquée du dernier festival de Cannes, ce premier film reste au plus près de son héroïne, sirène athlétique qui n’a de refuge que les fonds sous-marins. Julija est un personnage mutique, témoin de l’hypocrisie et de la violence des adultes, qui exprime ses sentiments par son silence et la violence de ses désirs par ses échappées belles.
Entre la terre rocailleuse, symbole d’enfermement, et la mer infinie où Julija peut trouver un semblant de liberté, la réalisatrice tisse un drame initiatique, fort et émouvant, où les relations entre les êtres sont toujours sur le fil.
vo
petite salle
Pour sauver leur ville, la bande des Goonies part sur les traces
du pirate Willy le Borgne et de son légendaire trésor perdu.
Une aventure sous le signe de l’amitié dans ce classique des
années 1980.
vf
grande salle
Contrarié le jour de son anniversaire, Tommy décide de partir s’installer chez sa grand-mère et se lance dans un grand voyage.
Une promenade dans une forêt pleine de beauté, au côté d’un petit gaillard débrouillard.
vo
petite salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
grande salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
petite salle
La croisade d’un commissaire contre la corruption face à un juge d’instruction qui tente de s’opposer à ses méthodes.
Un polar froid qui fait état de la puissance absolue de la pègre sicilienne et du dévoiement des institutions étatiques dans l’Italie d’alors. Un film noir mêlant conflits psychologiques, pouvoirs politico-judiciaires et Mafia, dans la lignée du cinéma contestataire des années 1960/70.
vo
grande salle
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
vo
grande salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
petite salle
La croisade d’un commissaire contre la corruption face à un juge d’instruction qui tente de s’opposer à ses méthodes.
Un polar froid qui fait état de la puissance absolue de la pègre sicilienne et du dévoiement des institutions étatiques dans l’Italie d’alors. Un film noir mêlant conflits psychologiques, pouvoirs politico-judiciaires et Mafia, dans la lignée du cinéma contestataire des années 1960/70.
vo
grande salle
Julija, jeune fille en quête d’indépendance, étouffe entre son père et sa mère, coincée dans une maison cernée par la mer. L’arrivée d’un ami de la famille lui fait miroiter l’espoir d’une nouvelle vie…
Caméra d’or remarquée du dernier festival de Cannes, ce premier film reste au plus près de son héroïne, sirène athlétique qui n’a de refuge que les fonds sous-marins. Julija est un personnage mutique, témoin de l’hypocrisie et de la violence des adultes, qui exprime ses sentiments par son silence et la violence de ses désirs par ses échappées belles.
Entre la terre rocailleuse, symbole d’enfermement, et la mer infinie où Julija peut trouver un semblant de liberté, la réalisatrice tisse un drame initiatique, fort et émouvant, où les relations entre les êtres sont toujours sur le fil.
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
petite salle
Pour sauver leur ville, la bande des Goonies part sur les traces
du pirate Willy le Borgne et de son légendaire trésor perdu.
Une aventure sous le signe de l’amitié dans ce classique des
années 1980.
vf
petite salle
Julija, jeune fille en quête d’indépendance, étouffe entre son père et sa mère, coincée dans une maison cernée par la mer. L’arrivée d’un ami de la famille lui fait miroiter l’espoir d’une nouvelle vie…
Caméra d’or remarquée du dernier festival de Cannes, ce premier film reste au plus près de son héroïne, sirène athlétique qui n’a de refuge que les fonds sous-marins. Julija est un personnage mutique, témoin de l’hypocrisie et de la violence des adultes, qui exprime ses sentiments par son silence et la violence de ses désirs par ses échappées belles.
Entre la terre rocailleuse, symbole d’enfermement, et la mer infinie où Julija peut trouver un semblant de liberté, la réalisatrice tisse un drame initiatique, fort et émouvant, où les relations entre les êtres sont toujours sur le fil.
vo
petite salle
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
vo
grande salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
Contrarié le jour de son anniversaire, Tommy décide de partir s’installer chez sa grand-mère et se lance dans un grand voyage.
Une promenade dans une forêt pleine de beauté, au côté d’un petit gaillard débrouillard.
vo
grande salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
grande salle
Vous croyez connaître ces histoires par coeur ? Détrompezvous, et redécouvrez-les dans cette adaptation pleine d’humour du livre éponyme de Roald Dahl.
Ces contes détruisent les clichés et jouent sur nos attentes pour mieux nous amuser.
vo
petite salle
Julija, jeune fille en quête d’indépendance, étouffe entre son père et sa mère, coincée dans une maison cernée par la mer. L’arrivée d’un ami de la famille lui fait miroiter l’espoir d’une nouvelle vie…
Caméra d’or remarquée du dernier festival de Cannes, ce premier film reste au plus près de son héroïne, sirène athlétique qui n’a de refuge que les fonds sous-marins. Julija est un personnage mutique, témoin de l’hypocrisie et de la violence des adultes, qui exprime ses sentiments par son silence et la violence de ses désirs par ses échappées belles.
Entre la terre rocailleuse, symbole d’enfermement, et la mer infinie où Julija peut trouver un semblant de liberté, la réalisatrice tisse un drame initiatique, fort et émouvant, où les relations entre les êtres sont toujours sur le fil.
vo
petite salle
La croisade d’un commissaire contre la corruption face à un juge d’instruction qui tente de s’opposer à ses méthodes.
Un polar froid qui fait état de la puissance absolue de la pègre sicilienne et du dévoiement des institutions étatiques dans l’Italie d’alors. Un film noir mêlant conflits psychologiques, pouvoirs politico-judiciaires et Mafia, dans la lignée du cinéma contestataire des années 1960/70.
vo
petite salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
grande salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
petite salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
grande salle
Un film documentaire à la croisée des dernières recherches sur le cerveau et l’intelligence artificielle.
vo
grande salle
Clara vit dans une maison isolée avec sa famille. Élevée par des femmes très croyantes et conservatrices qui ne cessent de la surveiller, elle a de plus en plus de mal à refréner son besoin de liberté.
C’est dans une nature foisonnante et luxuriante que la cinéaste filme cette histoire d’émancipation féminine. Nathalie Álvarez Mesén interroge le poids des traditions religieuses et patriarcales au sein de la famille, et leur reproduction par les femmes. Clara vit sur le fil, entre deux mondes : le foyer étouffant, où chaque geste est suspect et chaque désir coupable, et l’espace de la forêt, aussi tentante qu’inquiétante. Devant elle, une destinée incertaine à laquelle il lui faudra nécessairement faire face. Un film à l’atmosphère étrange et vénéneuse, à mi-chemin entre le réalisme et la magie.
vo
grande salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
La croisade d’un commissaire contre la corruption face à un juge d’instruction qui tente de s’opposer à ses méthodes.
Un polar froid qui fait état de la puissance absolue de la pègre sicilienne et du dévoiement des institutions étatiques dans l’Italie d’alors. Un film noir mêlant conflits psychologiques, pouvoirs politico-judiciaires et Mafia, dans la lignée du cinéma contestataire des années 1960/70.
vo
petite salle
Julija, jeune fille en quête d’indépendance, étouffe entre son père et sa mère, coincée dans une maison cernée par la mer. L’arrivée d’un ami de la famille lui fait miroiter l’espoir d’une nouvelle vie…
Caméra d’or remarquée du dernier festival de Cannes, ce premier film reste au plus près de son héroïne, sirène athlétique qui n’a de refuge que les fonds sous-marins. Julija est un personnage mutique, témoin de l’hypocrisie et de la violence des adultes, qui exprime ses sentiments par son silence et la violence de ses désirs par ses échappées belles.
Entre la terre rocailleuse, symbole d’enfermement, et la mer infinie où Julija peut trouver un semblant de liberté, la réalisatrice tisse un drame initiatique, fort et émouvant, où les relations entre les êtres sont toujours sur le fil.
vo
grande salle
Tous les films du mercredi 15 au mardi 21 (semaine 202224)
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
Vous croyez connaître ces histoires par coeur ? Détrompezvous, et redécouvrez-les dans cette adaptation pleine d’humour du livre éponyme de Roald Dahl.
Ces contes détruisent les clichés et jouent sur nos attentes pour mieux nous amuser.
Contrarié le jour de son anniversaire, Tommy décide de partir s’installer chez sa grand-mère et se lance dans un grand voyage.
Une promenade dans une forêt pleine de beauté, au côté d’un petit gaillard débrouillard.
Chiara, 16 ans, vit dans une petite ville de Calabre. Elle s’épanouit entourée d’une grande famille aimante. Mais son quotidien est chamboulé le lendemain des 18 ans de sa soeur aînée. Son père Claudio disparaît et ne donne plus signe de vie. L’atmosphère chaleureuse et festive cède rapidement sa place à un silence pesant et Chiara, dans son désir de comprendre et de retrouver son père, va ouvrir les yeux sur les activités de sa famille.
Après Mediterranea traitant de l’arrivée de migrants africains en 2015 et A Ciambra, portrait de délinquants de la communauté rom en 2017, c’est entouré d’acteurs et actrices débutant.es tou.tes issu.es de la même famille que le cinéaste achève son triptyque de films mettant en lumière la petite ville calabraise de Gioia Tauro.
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
L’irrésistible Monsieur Ripois a l’habitude de plaire, et d’abandonner l’objet de son désir sitôt satisfait, indifférent à son épouse au bord de la crise de nerfs. Jusqu’à sa rencontre avec Patricia, amie de sa femme, qu’il peine à prendre dans ses filets.
Gérard Philipe joue avec bonheur de son image de jeune premier romantique en endossant l’habit de ce Français expatrié à Londres qui a fait des femmes sa principale distraction. Cynique, imperméable au remord, opportuniste, ce Monsieur Ripois, Don Juan mélancolique, traîne son ennui dans un Londres pluvieux, filmé avec un naturel qui n’est pas sans évoquer les oeuvres à venir de la Nouvelle vague. Avec ce conte moral cruel que ne dénigrerait pas le Luis Buñuel de Belle de jour, René Clément enthousiasme par son inventivité et son humour.
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
Vous croyez connaître ces histoires par coeur ? Détrompezvous, et redécouvrez-les dans cette adaptation pleine d’humour du livre éponyme de Roald Dahl.
Ces contes détruisent les clichés et jouent sur nos attentes pour mieux nous amuser.
vo
grande salle
Contrarié le jour de son anniversaire, Tommy décide de partir s’installer chez sa grand-mère et se lance dans un grand voyage.
Une promenade dans une forêt pleine de beauté, au côté d’un petit gaillard débrouillard.
vo
petite salle
Chiara, 16 ans, vit dans une petite ville de Calabre. Elle s’épanouit entourée d’une grande famille aimante. Mais son quotidien est chamboulé le lendemain des 18 ans de sa soeur aînée. Son père Claudio disparaît et ne donne plus signe de vie. L’atmosphère chaleureuse et festive cède rapidement sa place à un silence pesant et Chiara, dans son désir de comprendre et de retrouver son père, va ouvrir les yeux sur les activités de sa famille.
Après Mediterranea traitant de l’arrivée de migrants africains en 2015 et A Ciambra, portrait de délinquants de la communauté rom en 2017, c’est entouré d’acteurs et actrices débutant.es tou.tes issu.es de la même famille que le cinéaste achève son triptyque de films mettant en lumière la petite ville calabraise de Gioia Tauro.
vo
grande salle
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
vo
petite salle
L’irrésistible Monsieur Ripois a l’habitude de plaire, et d’abandonner l’objet de son désir sitôt satisfait, indifférent à son épouse au bord de la crise de nerfs. Jusqu’à sa rencontre avec Patricia, amie de sa femme, qu’il peine à prendre dans ses filets.
Gérard Philipe joue avec bonheur de son image de jeune premier romantique en endossant l’habit de ce Français expatrié à Londres qui a fait des femmes sa principale distraction. Cynique, imperméable au remord, opportuniste, ce Monsieur Ripois, Don Juan mélancolique, traîne son ennui dans un Londres pluvieux, filmé avec un naturel qui n’est pas sans évoquer les oeuvres à venir de la Nouvelle vague. Avec ce conte moral cruel que ne dénigrerait pas le Luis Buñuel de Belle de jour, René Clément enthousiasme par son inventivité et son humour.
vo
grande salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
grande salle
vo
grande salle
Chiara, 16 ans, vit dans une petite ville de Calabre. Elle s’épanouit entourée d’une grande famille aimante. Mais son quotidien est chamboulé le lendemain des 18 ans de sa soeur aînée. Son père Claudio disparaît et ne donne plus signe de vie. L’atmosphère chaleureuse et festive cède rapidement sa place à un silence pesant et Chiara, dans son désir de comprendre et de retrouver son père, va ouvrir les yeux sur les activités de sa famille.
Après Mediterranea traitant de l’arrivée de migrants africains en 2015 et A Ciambra, portrait de délinquants de la communauté rom en 2017, c’est entouré d’acteurs et actrices débutant.es tou.tes issu.es de la même famille que le cinéaste achève son triptyque de films mettant en lumière la petite ville calabraise de Gioia Tauro.
vo
petite salle
L’irrésistible Monsieur Ripois a l’habitude de plaire, et d’abandonner l’objet de son désir sitôt satisfait, indifférent à son épouse au bord de la crise de nerfs. Jusqu’à sa rencontre avec Patricia, amie de sa femme, qu’il peine à prendre dans ses filets.
Gérard Philipe joue avec bonheur de son image de jeune premier romantique en endossant l’habit de ce Français expatrié à Londres qui a fait des femmes sa principale distraction. Cynique, imperméable au remord, opportuniste, ce Monsieur Ripois, Don Juan mélancolique, traîne son ennui dans un Londres pluvieux, filmé avec un naturel qui n’est pas sans évoquer les oeuvres à venir de la Nouvelle vague. Avec ce conte moral cruel que ne dénigrerait pas le Luis Buñuel de Belle de jour, René Clément enthousiasme par son inventivité et son humour.
vo
grande salle
vo
petite salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
vo
grande salle
Contrarié le jour de son anniversaire, Tommy décide de partir s’installer chez sa grand-mère et se lance dans un grand voyage.
Une promenade dans une forêt pleine de beauté, au côté d’un petit gaillard débrouillard.
vo
petite salle
vo
petite salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
grande salle
Chiara, 16 ans, vit dans une petite ville de Calabre. Elle s’épanouit entourée d’une grande famille aimante. Mais son quotidien est chamboulé le lendemain des 18 ans de sa soeur aînée. Son père Claudio disparaît et ne donne plus signe de vie. L’atmosphère chaleureuse et festive cède rapidement sa place à un silence pesant et Chiara, dans son désir de comprendre et de retrouver son père, va ouvrir les yeux sur les activités de sa famille.
Après Mediterranea traitant de l’arrivée de migrants africains en 2015 et A Ciambra, portrait de délinquants de la communauté rom en 2017, c’est entouré d’acteurs et actrices débutant.es tou.tes issu.es de la même famille que le cinéaste achève son triptyque de films mettant en lumière la petite ville calabraise de Gioia Tauro.
vo
petite salle
Vous croyez connaître ces histoires par coeur ? Détrompezvous, et redécouvrez-les dans cette adaptation pleine d’humour du livre éponyme de Roald Dahl.
Ces contes détruisent les clichés et jouent sur nos attentes pour mieux nous amuser.
vo
petite salle
Chiara, 16 ans, vit dans une petite ville de Calabre. Elle s’épanouit entourée d’une grande famille aimante. Mais son quotidien est chamboulé le lendemain des 18 ans de sa soeur aînée. Son père Claudio disparaît et ne donne plus signe de vie. L’atmosphère chaleureuse et festive cède rapidement sa place à un silence pesant et Chiara, dans son désir de comprendre et de retrouver son père, va ouvrir les yeux sur les activités de sa famille.
Après Mediterranea traitant de l’arrivée de migrants africains en 2015 et A Ciambra, portrait de délinquants de la communauté rom en 2017, c’est entouré d’acteurs et actrices débutant.es tou.tes issu.es de la même famille que le cinéaste achève son triptyque de films mettant en lumière la petite ville calabraise de Gioia Tauro.
vo
petite salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
grande salle
L’irrésistible Monsieur Ripois a l’habitude de plaire, et d’abandonner l’objet de son désir sitôt satisfait, indifférent à son épouse au bord de la crise de nerfs. Jusqu’à sa rencontre avec Patricia, amie de sa femme, qu’il peine à prendre dans ses filets.
Gérard Philipe joue avec bonheur de son image de jeune premier romantique en endossant l’habit de ce Français expatrié à Londres qui a fait des femmes sa principale distraction. Cynique, imperméable au remord, opportuniste, ce Monsieur Ripois, Don Juan mélancolique, traîne son ennui dans un Londres pluvieux, filmé avec un naturel qui n’est pas sans évoquer les oeuvres à venir de la Nouvelle vague. Avec ce conte moral cruel que ne dénigrerait pas le Luis Buñuel de Belle de jour, René Clément enthousiasme par son inventivité et son humour.
vo
petite salle
vo
petite salle
Chiara, 16 ans, vit dans une petite ville de Calabre. Elle s’épanouit entourée d’une grande famille aimante. Mais son quotidien est chamboulé le lendemain des 18 ans de sa soeur aînée. Son père Claudio disparaît et ne donne plus signe de vie. L’atmosphère chaleureuse et festive cède rapidement sa place à un silence pesant et Chiara, dans son désir de comprendre et de retrouver son père, va ouvrir les yeux sur les activités de sa famille.
Après Mediterranea traitant de l’arrivée de migrants africains en 2015 et A Ciambra, portrait de délinquants de la communauté rom en 2017, c’est entouré d’acteurs et actrices débutant.es tou.tes issu.es de la même famille que le cinéaste achève son triptyque de films mettant en lumière la petite ville calabraise de Gioia Tauro.
vo
grande salle
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
vo
grande salle
Allez donc à la rencontre de ce père au foyer, qui, après avoir tué son voisin, le retrouve vivant le lendemain et découvre qu’il peut ainsi le tuer sans conséquences. Ce qui intéresse Santiago Mitre, ce n’est pas le meurtre mais la routine et ce quotidien absurde qu’il nous invite à partager (qui ne s’adonne nullement au plaisir de l’hémoglobine) . Le réalisateur compose une fable insolite qui interroge sur ce qui nous fait avancer chaque jour.
vo
petite salle
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
vo
petite salle
vo
grande salle
L’irrésistible Monsieur Ripois a l’habitude de plaire, et d’abandonner l’objet de son désir sitôt satisfait, indifférent à son épouse au bord de la crise de nerfs. Jusqu’à sa rencontre avec Patricia, amie de sa femme, qu’il peine à prendre dans ses filets.
Gérard Philipe joue avec bonheur de son image de jeune premier romantique en endossant l’habit de ce Français expatrié à Londres qui a fait des femmes sa principale distraction. Cynique, imperméable au remord, opportuniste, ce Monsieur Ripois, Don Juan mélancolique, traîne son ennui dans un Londres pluvieux, filmé avec un naturel qui n’est pas sans évoquer les oeuvres à venir de la Nouvelle vague. Avec ce conte moral cruel que ne dénigrerait pas le Luis Buñuel de Belle de jour, René Clément enthousiasme par son inventivité et son humour.
vo
petite salle
Tous les films du mercredi 22 au mardi 28 (semaine 202225)
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
Au cœur d’une vallée paisible, des fourmis noires vont vivre une série d’aventures extraordinaires suite à la découverte d’une boîte de sucres. Car ce trésor est également convoité par les terribles fourmis rouges ! Une amitié entre une coccinelle et une fourmi noire pourrait bien tout changer... Mêlant prises de vues réelles et animation, Minuscule, la vallée des fourmis perdues tente de sensibiliser le public au respect et à la protection de la nature, et des insectes.
Alors que tout le monde pensait que la renarde avait quitté la forêt, voilà qu’un vol de noisettes fait douter l’inspecteur Gordon. Pour éclaircir ce mystère, il va faire équipe avecPaddy la souris qui va nous apprendre que les choses ne sont pas toujours telles que nous le pensons.
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
Des fascistes, enfermés dans une splendide demeure, exercent leur pouvoir sans limite sur de jeunes gens retenus prisonniers.
OEuvre scandaleuse, irregardable ? Sorti quelques mois après la mort de son auteur, assassiné en 1975, Salò fit parler de lui pour sa crudité, sa représentation sans fard d’une violence tyrannique. Mais en adaptant le Marquis de Sade, Pier Paolo Pasolini n’entend pas se livrer à un exercice de style sadique : Salò, ville symbole du pouvoir fasciste sous Mussolini, raconte avant tout un monde où l’on courbe l’échine, que ce soit devant le pouvoir totalitaire ou celui de la société de consommation. Plus qu’un film-choc, une oeuvre politique majeure.
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
petite salle
Au cœur d’une vallée paisible, des fourmis noires vont vivre une série d’aventures extraordinaires suite à la découverte d’une boîte de sucres. Car ce trésor est également convoité par les terribles fourmis rouges ! Une amitié entre une coccinelle et une fourmi noire pourrait bien tout changer... Mêlant prises de vues réelles et animation, Minuscule, la vallée des fourmis perdues tente de sensibiliser le public au respect et à la protection de la nature, et des insectes.
vf
grande salle
Alors que tout le monde pensait que la renarde avait quitté la forêt, voilà qu’un vol de noisettes fait douter l’inspecteur Gordon. Pour éclaircir ce mystère, il va faire équipe avecPaddy la souris qui va nous apprendre que les choses ne sont pas toujours telles que nous le pensons.
vo
petite salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
grande salle
Des fascistes, enfermés dans une splendide demeure, exercent leur pouvoir sans limite sur de jeunes gens retenus prisonniers.
OEuvre scandaleuse, irregardable ? Sorti quelques mois après la mort de son auteur, assassiné en 1975, Salò fit parler de lui pour sa crudité, sa représentation sans fard d’une violence tyrannique. Mais en adaptant le Marquis de Sade, Pier Paolo Pasolini n’entend pas se livrer à un exercice de style sadique : Salò, ville symbole du pouvoir fasciste sous Mussolini, raconte avant tout un monde où l’on courbe l’échine, que ce soit devant le pouvoir totalitaire ou celui de la société de consommation. Plus qu’un film-choc, une oeuvre politique majeure.
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
grande salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
grande salle
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
vo
grande salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
grande salle
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
vo
petite salle
Alors que tout le monde pensait que la renarde avait quitté la forêt, voilà qu’un vol de noisettes fait douter l’inspecteur Gordon. Pour éclaircir ce mystère, il va faire équipe avecPaddy la souris qui va nous apprendre que les choses ne sont pas toujours telles que nous le pensons.
vo
grande salle
Des fascistes, enfermés dans une splendide demeure, exercent leur pouvoir sans limite sur de jeunes gens retenus prisonniers.
OEuvre scandaleuse, irregardable ? Sorti quelques mois après la mort de son auteur, assassiné en 1975, Salò fit parler de lui pour sa crudité, sa représentation sans fard d’une violence tyrannique. Mais en adaptant le Marquis de Sade, Pier Paolo Pasolini n’entend pas se livrer à un exercice de style sadique : Salò, ville symbole du pouvoir fasciste sous Mussolini, raconte avant tout un monde où l’on courbe l’échine, que ce soit devant le pouvoir totalitaire ou celui de la société de consommation. Plus qu’un film-choc, une oeuvre politique majeure.
vo
grande salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
petite salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Au cœur d’une vallée paisible, des fourmis noires vont vivre une série d’aventures extraordinaires suite à la découverte d’une boîte de sucres. Car ce trésor est également convoité par les terribles fourmis rouges ! Une amitié entre une coccinelle et une fourmi noire pourrait bien tout changer... Mêlant prises de vues réelles et animation, Minuscule, la vallée des fourmis perdues tente de sensibiliser le public au respect et à la protection de la nature, et des insectes.
vf
petite salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
grande salle
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
vo
petite salle
Des fascistes, enfermés dans une splendide demeure, exercent leur pouvoir sans limite sur de jeunes gens retenus prisonniers.
OEuvre scandaleuse, irregardable ? Sorti quelques mois après la mort de son auteur, assassiné en 1975, Salò fit parler de lui pour sa crudité, sa représentation sans fard d’une violence tyrannique. Mais en adaptant le Marquis de Sade, Pier Paolo Pasolini n’entend pas se livrer à un exercice de style sadique : Salò, ville symbole du pouvoir fasciste sous Mussolini, raconte avant tout un monde où l’on courbe l’échine, que ce soit devant le pouvoir totalitaire ou celui de la société de consommation. Plus qu’un film-choc, une oeuvre politique majeure.
vo
grande salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
grande salle
Ville symbole de la désindustrialisation et de la crise des subprimes, Detroit est depuis quelques années l’objet d’une fascination de la part des cinéastes. Pour Andreï Schtakleff, il y a cependant plus dans cette ville que ses façades tristes : des habitant.es qui se battent pour la survie de cette ville qu’ils aiment, berceau de tout un pan de la culture américaine.
Ce sont ces individus dont le cinéaste fait le portrait : c’est à travers leur regard et leur histoire qu’il raconte ce qu’a été et ce qu’est devenue Detroit, ce que signifie vivre là où les bouleversements ont été d’une telle violence, et où les populations les plus modestes sont rejetées à la marge. Sans jamais céder à un esthétisme complaisant, il contemple cette ville qu’il filme sous la neige, fantomatique mais peut-être prête à renaître.
vo
petite salle
Des fascistes, enfermés dans une splendide demeure, exercent leur pouvoir sans limite sur de jeunes gens retenus prisonniers.
OEuvre scandaleuse, irregardable ? Sorti quelques mois après la mort de son auteur, assassiné en 1975, Salò fit parler de lui pour sa crudité, sa représentation sans fard d’une violence tyrannique. Mais en adaptant le Marquis de Sade, Pier Paolo Pasolini n’entend pas se livrer à un exercice de style sadique : Salò, ville symbole du pouvoir fasciste sous Mussolini, raconte avant tout un monde où l’on courbe l’échine, que ce soit devant le pouvoir totalitaire ou celui de la société de consommation. Plus qu’un film-choc, une oeuvre politique majeure.
vo
petite salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
grande salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Tous les films du mercredi 29 au mardi 05 (semaine 202226)
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
Alors qu’elle rentre du lycée, Haru sauve le Prince des chats qui va, pour la remercier, lui présenter son royaume.
Un récit tendre et malicieux pour conter le passage à l’âge adulte d’une adolescente qui cherche sa place dans le monde.
Voilà le Rat Scélérat, bandit gourmand qui n’hésitera pas à vous dérober tout ce qui se mange. Qui pourra l’arrêter ?
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
Gênes, 1943. Emanuele Bardone est un petit escroc, qui profite de ses contacts pour soutirer de l’argent aux familles désespérées des prisonniers de guerre. Arrêté par les Nazis, il conclut un marché avec l’occupant : se faire passer en prison pour l’héroïque Général Della Rovere, et découvrir l’identité d’un chef de la Résistance, lui aussi incarcéré.
Roberto Rossellini revient sur la période de l’Occupation, qu’il décrit avec acuité dans tout son prosaïsme. Gênes est une ville pleine d’ombres où chacun.e tente de survivre tant bien que mal. Au milieu de ce marasme, une figure de séduction et de lâcheté, incarnée avec une coupable élégance par Vittorio De Sica. Un film de commande qui échappe au grandiloquent, dépouillé et puissant.
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
Tigres gourmands, malicieux, paresseux… Qu’ils s’invitent pour le thé, dévorent des spaghetti ou vivent de folles aventures, ces quatre doux félins feront rugir de joie les enfants !
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
petite salle
Alors qu’elle rentre du lycée, Haru sauve le Prince des chats qui va, pour la remercier, lui présenter son royaume.
Un récit tendre et malicieux pour conter le passage à l’âge adulte d’une adolescente qui cherche sa place dans le monde.
vf
grande salle
Voilà le Rat Scélérat, bandit gourmand qui n’hésitera pas à vous dérober tout ce qui se mange. Qui pourra l’arrêter ?
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
grande salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
petite salle
Gênes, 1943. Emanuele Bardone est un petit escroc, qui profite de ses contacts pour soutirer de l’argent aux familles désespérées des prisonniers de guerre. Arrêté par les Nazis, il conclut un marché avec l’occupant : se faire passer en prison pour l’héroïque Général Della Rovere, et découvrir l’identité d’un chef de la Résistance, lui aussi incarcéré.
Roberto Rossellini revient sur la période de l’Occupation, qu’il décrit avec acuité dans tout son prosaïsme. Gênes est une ville pleine d’ombres où chacun.e tente de survivre tant bien que mal. Au milieu de ce marasme, une figure de séduction et de lâcheté, incarnée avec une coupable élégance par Vittorio De Sica. Un film de commande qui échappe au grandiloquent, dépouillé et puissant.
vo
grande salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
grande salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
petite salle
Gênes, 1943. Emanuele Bardone est un petit escroc, qui profite de ses contacts pour soutirer de l’argent aux familles désespérées des prisonniers de guerre. Arrêté par les Nazis, il conclut un marché avec l’occupant : se faire passer en prison pour l’héroïque Général Della Rovere, et découvrir l’identité d’un chef de la Résistance, lui aussi incarcéré.
Roberto Rossellini revient sur la période de l’Occupation, qu’il décrit avec acuité dans tout son prosaïsme. Gênes est une ville pleine d’ombres où chacun.e tente de survivre tant bien que mal. Au milieu de ce marasme, une figure de séduction et de lâcheté, incarnée avec une coupable élégance par Vittorio De Sica. Un film de commande qui échappe au grandiloquent, dépouillé et puissant.
vo
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
grande salle
Afin d’obtenir des fonds pour son projet au Musée du Proche-Orient, Alma accepte de participer à une expérience sociale surprenante. Pendant trois semaines elle va devoir cohabiter avec un homme… ou plutôt un robot humanoïde dont l’intelligence artificielle a été programmée en fonction de ses goûts pour être son compagnon idéal…
Rafraîchissant et surprenant, I’m Your Man mélange avec malice et philosophie les codes de la comédie romantique avec quelques thèmes classiques de la science-fiction qui prennent une tournure inédite en se retrouvant dans un cadre on ne peut plus réaliste. Avec légèreté, Maria Schrader met en perspective le sentiment amoureux et la morale qu’il serait bon d’adopter face aux ambitions de l’être humain en termes de progrès et de technologie.
vo
grande salle
Voilà le Rat Scélérat, bandit gourmand qui n’hésitera pas à vous dérober tout ce qui se mange. Qui pourra l’arrêter ?
vo
petite salle
Au-delà de sa si précieuse ressortie, la Maman et la Putain est en soi un événement; un film désenchanté, devenu mythique, qui est un jalon de l’Histoire du cinéma.
C’est une oeuvre moderne, provocante, parfois drôle, toujours poétique. À l’écran, c’est tout un Paris qui revit - et avec lui toute une jeunesse. Une éternelle jeunesse. Les cafés respirent d’une vie insolente, les nuits sont d’ivresse, les matins brumeux, les discussions sans fin, les amours incandescentes. Tout se perd, tout se retrouve.
vo
grande salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
petite salle
Tigres gourmands, malicieux, paresseux… Qu’ils s’invitent pour le thé, dévorent des spaghetti ou vivent de folles aventures, ces quatre doux félins feront rugir de joie les enfants !
vo
grande salle
Alors qu’elle rentre du lycée, Haru sauve le Prince des chats qui va, pour la remercier, lui présenter son royaume.
Un récit tendre et malicieux pour conter le passage à l’âge adulte d’une adolescente qui cherche sa place dans le monde.
vf
petite salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
grande salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
petite salle
Marcia, jeune chanteuse, compose un album avec Daredjane, musicienne jadis très connue. À la disparition de cette dernière, elle est confrontée à son ayant droit, un homme bourru peu soucieux de défendre l’oeuvre et la mémoire de l’artiste.…
Depuis le Nom des gens, on sait que Michel Leclerc aime les duos mal assortis, où les personnages doivent apprendre à dépasser leurs différences sociales et leurs a priori pour aller à la rencontre l’un de l’autre.
Autour de la musique d’une artiste protéiforme, ce sont leurs conceptions de la vie et de l’art qu’ils opposent. Les échanges plein de verve de ces deux-là font merveille, et l’atmosphère musicale de ce film tendre lui confère un charme doux.
vo
grande salle
Aussi équitable et juste que les balances qu’il fabrique dans l’usine qu’il dirige, Juan Bianco doit recevoir un Prix prestigieux. Mais entre un salarié au chômage vindicatif, un contremaître distrait et une stagiaire qui lui plaît un peu trop, Juan a du pain sur la planche pour être le « bon patron » qu’il prétend être…
Le film suit les aventures d’un manipulateur capable d’arranger tous les problèmes… si cela peut lui être profitable. Sur les plateaux de la balance, donc, une bonne dose d’humour très noir dans cette comédie au scénario aussi imprévisible que son personnage.
vo
petite salle
Gênes, 1943. Emanuele Bardone est un petit escroc, qui profite de ses contacts pour soutirer de l’argent aux familles désespérées des prisonniers de guerre. Arrêté par les Nazis, il conclut un marché avec l’occupant : se faire passer en prison pour l’héroïque Général Della Rovere, et découvrir l’identité d’un chef de la Résistance, lui aussi incarcéré.
Roberto Rossellini revient sur la période de l’Occupation, qu’il décrit avec acuité dans tout son prosaïsme. Gênes est une ville pleine d’ombres où chacun.e tente de survivre tant bien que mal. Au milieu de ce marasme, une figure de séduction et de lâcheté, incarnée avec une coupable élégance par Vittorio De Sica. Un film de commande qui échappe au grandiloquent, dépouillé et puissant.
vo
grande salle