Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Un jeune chaman
2024 - France / Mongolie / Portugal / Pays-Bas / Allemagne - Durée : 1h 43minDe Lkhagvadulam Purev-Ochir
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene Ariunbyamba, Anu-Ujin Tsermaa, Bulgan Chuluunbat, Ganzorig Tsetsgee, Myagmarnaran Gombo, Tsend-Ayush Nyamsuren
Avec Tergel Bold-Erdene, Nomin-Erdene...
Sans coeur
2024 - Brésil / France / Italie - Durée : 1h 35minDe Tião, Nara Normande
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve Jinkings, Erom Cordeiro, Ian Boechat, Kaique Brito, Alaylson Emanuel, Lucas ''Inutilismo'' da Silva, Elany Santos
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve...
Sans coeur
2024 - Brésil / France / Italie - Durée : 1h 35minDe Tião, Nara Normande
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve Jinkings, Erom Cordeiro, Ian Boechat, Kaique Brito, Alaylson Emanuel, Lucas ''Inutilismo'' da Silva, Elany Santos
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve...
Sans coeur
2024 - Brésil / France / Italie - Durée : 1h 35minDe Tião, Nara Normande
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve Jinkings, Erom Cordeiro, Ian Boechat, Kaique Brito, Alaylson Emanuel, Lucas ''Inutilismo'' da Silva, Elany Santos
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve...
Sans coeur
2024 - Brésil / France / Italie - Durée : 1h 35minDe Tião, Nara Normande
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve Jinkings, Erom Cordeiro, Ian Boechat, Kaique Brito, Alaylson Emanuel, Lucas ''Inutilismo'' da Silva, Elany Santos
Avec Maya de Vicq, Eduarda Samara, Maeve...
L'Esprit Coubertin
2024 - France - Durée : 1h 18minDe Jérémie Sein
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Lottie Andersen, Suzy Bemba, Aure Atika, Chloé Lecerf, Kevin Garnichat, Garance Bocobza
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo...
L'Esprit Coubertin
2024 - France - Durée : 1h 18minDe Jérémie Sein
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Lottie Andersen, Suzy Bemba, Aure Atika, Chloé Lecerf, Kevin Garnichat, Garance Bocobza
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo...
Les Derniers Hommes
2024 - France / Belgique - Durée : 2h 00minDe David Oelhoffen
Avec Guido Caprino, Andrzej Chyra, Nuno Lopes, Wim Willaert, Francesco Casisa, Axel Granberger, Felix Meyer, Yann Goven, Arnaud Churin, Aurélien Caeyman, Maxence Perrin, Guillaume Verdier, Teng Va
Avec Guido Caprino, Andrzej Chyra, Nuno Lopes, ...
L'Esprit Coubertin
2024 - France - Durée : 1h 18minDe Jérémie Sein
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Lottie Andersen, Suzy Bemba, Aure Atika, Chloé Lecerf, Kevin Garnichat, Garance Bocobza
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo...
L'Esprit Coubertin
2024 - France - Durée : 1h 18minDe Jérémie Sein
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Lottie Andersen, Suzy Bemba, Aure Atika, Chloé Lecerf, Kevin Garnichat, Garance Bocobza
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo...
L'Esprit Coubertin
2024 - France - Durée : 1h 18minDe Jérémie Sein
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Lottie Andersen, Suzy Bemba, Aure Atika, Chloé Lecerf, Kevin Garnichat, Garance Bocobza
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo...
L'Esprit Coubertin
2024 - France - Durée : 1h 18minDe Jérémie Sein
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Lottie Andersen, Suzy Bemba, Aure Atika, Chloé Lecerf, Kevin Garnichat, Garance Bocobza
Avec Benjamin Voisin, Emmanuelle Bercot, Rivaldo...
Tous les films du mercredi 24 au mardi 30 (semaine 202417)
Las du quotidien morne dans une banque, deux employés décident de dérober de quoi finir le restant de leurs jours à l’abri du besoin. Et ce n’est que le début d’une situation qui ne va cesser de déraper.
Voici un nouveau film qui prend toutes les libertés avec les codes traditionnels, aussi bien ceux de la société que ceux du cinéma, multipliant les embardées et les échappées belles !
Récemment orpheline,Violette, 8 ans, part vivre chez son oncle Régis. Celui-ci travaille comme agent d’entretien au château de Versailles. Entre eux deux, le courant ne passe pas,si bien queViolette décide de ne plus parler... L’histoire de deux personnalités opposées, qui vont apprendre à s’apprivoiser pour traverser ensemble le deuil.
Du 13 au 30 avril 2024, c'est le festival Télérama Enfants ! Toutes les places sont à 3.5€ pour les films du festival !
En pique-nique, à la belle étoile ou même chez le dentiste, le
duo Gros-pois et Petit-point émerveille les jeunes spectateurs
dans six aventures déjantées !
Du 13 au 30 avril 2024, c'est le festival Télérama Enfants ! Toutes les places sont à 3.5€ pour les films du festival !
En 1968, Martin Luther King est assassiné et la guerre du Biafra entraîne une terrible famine. Gabriel a fui le Nigéria et vit à San Francisco, au contact de la communauté afro-américaine comme des milieux bohèmes blancs...
Une perle rare du cinéma indépendant à découvrir pour la première fois au cinéma ! Dans une magnifique photographie noir et blanc, le personnage de Gabriel nous offre un regard décapant sur l’Amérique de l’époque.
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
Christine Angot, au moment de la promotion de son livre Le Voyage dans l’Est, décide de faire parler son entourage. Ceux et celles qui sont au courant de l’inceste que son père lui a fait subir, et qui l’y abandonnent.
Une famille est un film qui refuse les portes que l’on ferme au nez, les explications faussement rationnelles ou les lâchetés. À l’image de l’oeuvre littéraire de sa réalisatrice, il est entier, puissant. Mais aussi de plus en plus bouleversant, à mesure que les douleurs de chacun se révèlent et que les choses, enfin, sont dites, permettant une discussion sensible entre mère et fille, face à une mer qui ouvre sur tous les possibles.
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
fraude fiscale, un couple âgé et endetté décide de passer un concours de rock, une adolescente s'inquiète de sa première fois. Une nuit comme les autres ?
Jean-Christophe Meurisse impose à travers ces histoires son esprit corrosif et passe au crible du rire les travers de notre société contemporaine.
Dans l'Italie du XIVe siècle, des moines bénédictins sont retrouvés, mystérieusement morts, dans une abbaye. Les autorités religieuses dépêchent Baskerville, qui mènera l'enquête accompagné d'un jeune apprenti.
On replonge avec délice dans le plus noir des secrets, au cours d'une enquête menée d'une main de maître par Jean-Jacques Annaud, qui restitue avec talent ce Moyen Âge où deux guides s'opposent : la religion et la science.
« Il était une fois un garçon qui était né avec des ciseaux-mains ».
Tim Burton nous fait entrer dans son film comme dans un
conte de fées. Mais s’il en épouse parfaitement la structure, Edward
aux mains d’argent ressemble plus à un conte fantastique
et satirique aux allures gothiques. Hommage au cinéma des
années 1930 (Frankenstein en tête), le film joue sur les codes du
cinéma pour mieux opérer une critique grinçante de la normalité
et célébrer la marginalité.
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
Mossane a 14 ans, et déjà, on veut la marier. Amoureuse d'un autre, elle cherche à éviter cette union.
Mossane fait de la beauté de son personnage une malédiction qu'elle doit combattre, sous peine de ne plus s'appartenir à elle-même.
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
Las du quotidien morne dans une banque, deux employés décident de dérober de quoi finir le restant de leurs jours à l’abri du besoin. Et ce n’est que le début d’une situation qui ne va cesser de déraper.
Voici un nouveau film qui prend toutes les libertés avec les codes traditionnels, aussi bien ceux de la société que ceux du cinéma, multipliant les embardées et les échappées belles !
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Petite salle
Récemment orpheline,Violette, 8 ans, part vivre chez son oncle Régis. Celui-ci travaille comme agent d’entretien au château de Versailles. Entre eux deux, le courant ne passe pas,si bien queViolette décide de ne plus parler... L’histoire de deux personnalités opposées, qui vont apprendre à s’apprivoiser pour traverser ensemble le deuil.
Du 13 au 30 avril 2024, c'est le festival Télérama Enfants ! Toutes les places sont à 3.5€ pour les films du festival !
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Grande salle
En pique-nique, à la belle étoile ou même chez le dentiste, le
duo Gros-pois et Petit-point émerveille les jeunes spectateurs
dans six aventures déjantées !
Du 13 au 30 avril 2024, c'est le festival Télérama Enfants ! Toutes les places sont à 3.5€ pour les films du festival !
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Grande salle
En 1968, Martin Luther King est assassiné et la guerre du Biafra entraîne une terrible famine. Gabriel a fui le Nigéria et vit à San Francisco, au contact de la communauté afro-américaine comme des milieux bohèmes blancs...
Une perle rare du cinéma indépendant à découvrir pour la première fois au cinéma ! Dans une magnifique photographie noir et blanc, le personnage de Gabriel nous offre un regard décapant sur l’Amérique de l’époque.
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Petite salle
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Grande salle
Christine Angot, au moment de la promotion de son livre Le Voyage dans l’Est, décide de faire parler son entourage. Ceux et celles qui sont au courant de l’inceste que son père lui a fait subir, et qui l’y abandonnent.
Une famille est un film qui refuse les portes que l’on ferme au nez, les explications faussement rationnelles ou les lâchetés. À l’image de l’oeuvre littéraire de sa réalisatrice, il est entier, puissant. Mais aussi de plus en plus bouleversant, à mesure que les douleurs de chacun se révèlent et que les choses, enfin, sont dites, permettant une discussion sensible entre mère et fille, face à une mer qui ouvre sur tous les possibles.
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Petite salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Petite salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
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Petite salle
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Grande salle / Version SME sur demande
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Petite salle
fraude fiscale, un couple âgé et endetté décide de passer un concours de rock, une adolescente s'inquiète de sa première fois. Une nuit comme les autres ?
Jean-Christophe Meurisse impose à travers ces histoires son esprit corrosif et passe au crible du rire les travers de notre société contemporaine.
En 1968, Martin Luther King est assassiné et la guerre du Biafra entraîne une terrible famine. Gabriel a fui le Nigéria et vit à San Francisco, au contact de la communauté afro-américaine comme des milieux bohèmes blancs...
Une perle rare du cinéma indépendant à découvrir pour la première fois au cinéma ! Dans une magnifique photographie noir et blanc, le personnage de Gabriel nous offre un regard décapant sur l’Amérique de l’époque.
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Petite salle
Dans l'Italie du XIVe siècle, des moines bénédictins sont retrouvés, mystérieusement morts, dans une abbaye. Les autorités religieuses dépêchent Baskerville, qui mènera l'enquête accompagné d'un jeune apprenti.
On replonge avec délice dans le plus noir des secrets, au cours d'une enquête menée d'une main de maître par Jean-Jacques Annaud, qui restitue avec talent ce Moyen Âge où deux guides s'opposent : la religion et la science.
En 1968, Martin Luther King est assassiné et la guerre du Biafra entraîne une terrible famine. Gabriel a fui le Nigéria et vit à San Francisco, au contact de la communauté afro-américaine comme des milieux bohèmes blancs...
Une perle rare du cinéma indépendant à découvrir pour la première fois au cinéma ! Dans une magnifique photographie noir et blanc, le personnage de Gabriel nous offre un regard décapant sur l’Amérique de l’époque.
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Grande salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
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Petite salle
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Grande salle
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Petite salle
Christine Angot, au moment de la promotion de son livre Le Voyage dans l’Est, décide de faire parler son entourage. Ceux et celles qui sont au courant de l’inceste que son père lui a fait subir, et qui l’y abandonnent.
Une famille est un film qui refuse les portes que l’on ferme au nez, les explications faussement rationnelles ou les lâchetés. À l’image de l’oeuvre littéraire de sa réalisatrice, il est entier, puissant. Mais aussi de plus en plus bouleversant, à mesure que les douleurs de chacun se révèlent et que les choses, enfin, sont dites, permettant une discussion sensible entre mère et fille, face à une mer qui ouvre sur tous les possibles.
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Grande salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
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Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Petite salle / Version SME sur demande
« Il était une fois un garçon qui était né avec des ciseaux-mains ».
Tim Burton nous fait entrer dans son film comme dans un
conte de fées. Mais s’il en épouse parfaitement la structure, Edward
aux mains d’argent ressemble plus à un conte fantastique
et satirique aux allures gothiques. Hommage au cinéma des
années 1930 (Frankenstein en tête), le film joue sur les codes du
cinéma pour mieux opérer une critique grinçante de la normalité
et célébrer la marginalité.
vo
Grande salle
En pique-nique, à la belle étoile ou même chez le dentiste, le
duo Gros-pois et Petit-point émerveille les jeunes spectateurs
dans six aventures déjantées !
Du 13 au 30 avril 2024, c'est le festival Télérama Enfants ! Toutes les places sont à 3.5€ pour les films du festival !
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Petite salle
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Petite salle
En 1968, Martin Luther King est assassiné et la guerre du Biafra entraîne une terrible famine. Gabriel a fui le Nigéria et vit à San Francisco, au contact de la communauté afro-américaine comme des milieux bohèmes blancs...
Une perle rare du cinéma indépendant à découvrir pour la première fois au cinéma ! Dans une magnifique photographie noir et blanc, le personnage de Gabriel nous offre un regard décapant sur l’Amérique de l’époque.
vo
Grande salle
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
Christine Angot, au moment de la promotion de son livre Le Voyage dans l’Est, décide de faire parler son entourage. Ceux et celles qui sont au courant de l’inceste que son père lui a fait subir, et qui l’y abandonnent.
Une famille est un film qui refuse les portes que l’on ferme au nez, les explications faussement rationnelles ou les lâchetés. À l’image de l’oeuvre littéraire de sa réalisatrice, il est entier, puissant. Mais aussi de plus en plus bouleversant, à mesure que les douleurs de chacun se révèlent et que les choses, enfin, sont dites, permettant une discussion sensible entre mère et fille, face à une mer qui ouvre sur tous les possibles.
vo
Petite salle
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
vo
Grande salle
Récemment orpheline,Violette, 8 ans, part vivre chez son oncle Régis. Celui-ci travaille comme agent d’entretien au château de Versailles. Entre eux deux, le courant ne passe pas,si bien queViolette décide de ne plus parler... L’histoire de deux personnalités opposées, qui vont apprendre à s’apprivoiser pour traverser ensemble le deuil.
Du 13 au 30 avril 2024, c'est le festival Télérama Enfants ! Toutes les places sont à 3.5€ pour les films du festival !
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Petite salle
Mossane a 14 ans, et déjà, on veut la marier. Amoureuse d'un autre, elle cherche à éviter cette union.
Mossane fait de la beauté de son personnage une malédiction qu'elle doit combattre, sous peine de ne plus s'appartenir à elle-même.
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Grande salle
Dans l'Italie du XIVe siècle, des moines bénédictins sont retrouvés, mystérieusement morts, dans une abbaye. Les autorités religieuses dépêchent Baskerville, qui mènera l'enquête accompagné d'un jeune apprenti.
On replonge avec délice dans le plus noir des secrets, au cours d'une enquête menée d'une main de maître par Jean-Jacques Annaud, qui restitue avec talent ce Moyen Âge où deux guides s'opposent : la religion et la science.
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Grande salle
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Petite salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
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Grande salle
Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Petite salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
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Christine Angot, au moment de la promotion de son livre Le Voyage dans l’Est, décide de faire parler son entourage. Ceux et celles qui sont au courant de l’inceste que son père lui a fait subir, et qui l’y abandonnent.
Une famille est un film qui refuse les portes que l’on ferme au nez, les explications faussement rationnelles ou les lâchetés. À l’image de l’oeuvre littéraire de sa réalisatrice, il est entier, puissant. Mais aussi de plus en plus bouleversant, à mesure que les douleurs de chacun se révèlent et que les choses, enfin, sont dites, permettant une discussion sensible entre mère et fille, face à une mer qui ouvre sur tous les possibles.
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Petite salle
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Grande salle
Takumi et sa fille connaissent tous les arbres de la forêt et ses sentiers. Ils savent où est l’eau de source, si délicieuse, qui fait la renommée de leur petit village, où chacun se connaît. Un projet immobilier - l’installation d’un camping de luxe, glamping – risque bien de mettre à mal ce bel équilibre.
A la lecture de ce résumé, on pourrait croire à un énième film sur l’écologie et la lutte des petits contre les puissants. Le Mal n’existe pas ne pourrait aucunement se limiter à cet aspect. Hamaguchi prouve une nouvelle fois qu’il est l’un des plus grands cinéastes de la parole, aussi bien lors de réunions publiques que de discussions dans l’intimité de la voiture. Et comment dire l’élégance de ces mouvements de caméra et de ces plans séquences, jamais gratuits, et qui donnent au film une grâce fascinante ?
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Petite salle
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
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Grande salle
Le dernier été d'un groupe de jeunes gens, avant la séparation de la rentrée...
À l’image de l’île, les héros de ce film sont entre deux eaux : entre l’adolescence et l’âge adulte, l’envie de partir et celle de rester… et le film en train de se faire, et déjà achevé. Car Damien Manivel nous propose une expérience sans doute inédite : faire apparaître dans son film la réalité du tournage (indications du réalisateur, répétition), brouillant nos repères pour nous faire vivre un intense moment de cinéma.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage ORIGINES D'UN MONDE (Emma Zwickert , 5'15) :
- Jeudi 25 à 17h30
- Vendredi 26 à 18h30
- Samedi 27 à 15h
- Dimanche 28 à 21h
- Lundi 29 à 18h
- Mardi 30 à 18h
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Zé étudie dur au lycée tout en oeuvrant comme chaman. Sa rencontre avec Marla fait vaciller ses certitudes. Le premier long métrage de la mongole Lkhagvadulam Purev-Ochir décrit les turpitudes de l’adolescence entremêlées à de dures responsabilités. Un portrait attachant et sensible de la jeunesse dans la Mongolie contemporaine.
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Petite salle
Après Sur l’Adamant et Averroès & Rosa Parks, voici le dernier volet du triptyque que le documentariste consacre aux patient.e.s et aux soignant.e.s de l’hôpital Esquirol. Nous voici chez les patient.e.s, auxquels des soignant.e.s viennent rendre visite pour les aider à réparer les objets en panne. C’est une double intimité que nous découvrons : celle des patient.es à leur domicile et celle de leur relation avec les soignant.es. La « réparation » prend alors une toute autre signification, et devient autant celle des êtres que des objets.
Les séances suivantes seront précédées du court métrage THE LIFt (Robert Zemeckis, 7'20) :
- Mercredi 17 à 20h30
- Jeudi 18 à 18h30
- Dimanche 21 à 20h45
- Mardi 23 à 18h30
- Mercredi 24 à 20h45
- Jeudi 25 à 18h
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Grande salle / Version SME sur demande
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
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Petite salle
En 1968, Martin Luther King est assassiné et la guerre du Biafra entraîne une terrible famine. Gabriel a fui le Nigéria et vit à San Francisco, au contact de la communauté afro-américaine comme des milieux bohèmes blancs...
Une perle rare du cinéma indépendant à découvrir pour la première fois au cinéma ! Dans une magnifique photographie noir et blanc, le personnage de Gabriel nous offre un regard décapant sur l’Amérique de l’époque.
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Grande salle
Tous les films du mercredi 01 au mardi 07 (semaine 202418)
Elle est cadre infirmière depuis 40 ans. 40 ans de garde, de rencontres, de soins. Aujourd'hui, il est temps pour elle de prendre sa retraite. Mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire !
Sébastien Lifshitz prouve qu'il est l'un des plus fins portraitistes du cinéma français. En suivant Madame Hofmann dans son quotidien, aussi bien professionnel que familial, il raconte sur le long terme la vie d'une femme doit apprendre à réinventer son existence.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage L'AUGMENTATION (Régis Granet, 2'20) :
- Mercredi 1er à 16h
- Jeudi 2 à 21h
- Samedi 4 à 19h
- Lundi 6 à 20h15
- Mardi 7 à 17h15
Plein d’inventivité, Le Magicien d’Oz fait partie des oeuvres que l’on aime autant découvrir que redécouvrir, tant ses possibilités de lecture sont infinies. Un film culte qui inspira nombre de cinéastes, et une belle pierre à apporter à l’édifice de tout.e cinéphile en devenir ! Alors partez au-delà de l'arc-en-ciel !
Roumanie, début du XXe siècle. Dans un village, la tension monte entre un tavernier juif et son employé chrétien. Jusqu’au jour où ce dernier lui fait une promesse : la nuit de Pâques, lui et sa famille seront tués.
Andrei Cohn travaille patiemment cette atmosphère étouffante, où l’escalade de la haine semble inéluctable. Plus que l’illustration d’un événement historique, il explore les peurs et préjugés enfouis en chacun.
Tamara profite de ses dernières vacances avant de partir à Brasilia. Un jour, elle entend parler d’une fille surnommée « Sans Coeur ». Elle ressent une attirance immédiate pour cette fille mystérieuse.
Une chronique adolescente qui nous plonge en 1996 au Brésil, entre découverte du corps, quête d’identité et réalités sociales d'un pays divisé.
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
C’était un fameux contrebandier, défiant l’autorité royale dans la France de l’Ancien Régime. Après la mort de Mandrin, en 1755, Belissard et ses hommes reprennent le combat. Avec au coeur un rêve : voir publiés Les Chants de Mandrin, hymne poétique à cet homme en lutte.
En passant du béton des cités à la campagne française, Rabah Ameur-Zaïmeche ne perd en rien de son mordant, ni de son regard aigu sur le fonctionnement de la société. Sobre et percutant.
Nounourse et ses amis vivent des aventures du quotidien, qu’il s’agisse d’aller dormir ou d’avoir un petit frère...
Un ensemble de films courts qui nous rappelle que les moments les plus extraordinaires ne sont pas toujours ceux que l'on croit !
Le 25 avril 1974, ou la Révolution des oeillets, voit la chute de la dictature lazariste qui pesait sur le Portugal depuis 1933. À travers plusieurs personnages qui vivent ce moment extraordinaire de l'Histoire, Maria de Medeiros fait le portrait d'un pays en plein chavirement, au moment où la liberté semble enfin pouvoir poindre.
Le chef d’oeuvre de Fritz Lang, qui retrace le quotidien d’une ville plongée dans la terreur !
Venez le découvrir dans une version inédite en ciné-concert par l’orchestre à cordes adulte du conservatoire. Ce film parlant, mais sans musique originalement, est proposé en exclusivité avec des arrangements et une composition originale de Gabriel Ortega, chef d’orchestre du conservatoire. Une version du film unique en son genre !
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
Elle est cadre infirmière depuis 40 ans. 40 ans de garde, de rencontres, de soins. Aujourd'hui, il est temps pour elle de prendre sa retraite. Mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire !
Sébastien Lifshitz prouve qu'il est l'un des plus fins portraitistes du cinéma français. En suivant Madame Hofmann dans son quotidien, aussi bien professionnel que familial, il raconte sur le long terme la vie d'une femme doit apprendre à réinventer son existence.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage L'AUGMENTATION (Régis Granet, 2'20) :
- Mercredi 1er à 16h
- Jeudi 2 à 21h
- Samedi 4 à 19h
- Lundi 6 à 20h15
- Mardi 7 à 17h15
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Petite salle
Plein d’inventivité, Le Magicien d’Oz fait partie des oeuvres que l’on aime autant découvrir que redécouvrir, tant ses possibilités de lecture sont infinies. Un film culte qui inspira nombre de cinéastes, et une belle pierre à apporter à l’édifice de tout.e cinéphile en devenir ! Alors partez au-delà de l'arc-en-ciel !
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Grande salle
Roumanie, début du XXe siècle. Dans un village, la tension monte entre un tavernier juif et son employé chrétien. Jusqu’au jour où ce dernier lui fait une promesse : la nuit de Pâques, lui et sa famille seront tués.
Andrei Cohn travaille patiemment cette atmosphère étouffante, où l’escalade de la haine semble inéluctable. Plus que l’illustration d’un événement historique, il explore les peurs et préjugés enfouis en chacun.
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Petite salle
Tamara profite de ses dernières vacances avant de partir à Brasilia. Un jour, elle entend parler d’une fille surnommée « Sans Coeur ». Elle ressent une attirance immédiate pour cette fille mystérieuse.
Une chronique adolescente qui nous plonge en 1996 au Brésil, entre découverte du corps, quête d’identité et réalités sociales d'un pays divisé.
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Grande salle
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
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Petite salle / Version SME sur demande
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Grande salle
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
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Petite salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
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Roumanie, début du XXe siècle. Dans un village, la tension monte entre un tavernier juif et son employé chrétien. Jusqu’au jour où ce dernier lui fait une promesse : la nuit de Pâques, lui et sa famille seront tués.
Andrei Cohn travaille patiemment cette atmosphère étouffante, où l’escalade de la haine semble inéluctable. Plus que l’illustration d’un événement historique, il explore les peurs et préjugés enfouis en chacun.
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Grande salle
Elle est cadre infirmière depuis 40 ans. 40 ans de garde, de rencontres, de soins. Aujourd'hui, il est temps pour elle de prendre sa retraite. Mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire !
Sébastien Lifshitz prouve qu'il est l'un des plus fins portraitistes du cinéma français. En suivant Madame Hofmann dans son quotidien, aussi bien professionnel que familial, il raconte sur le long terme la vie d'une femme doit apprendre à réinventer son existence.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage L'AUGMENTATION (Régis Granet, 2'20) :
- Mercredi 1er à 16h
- Jeudi 2 à 21h
- Samedi 4 à 19h
- Lundi 6 à 20h15
- Mardi 7 à 17h15
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Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
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Roumanie, début du XXe siècle. Dans un village, la tension monte entre un tavernier juif et son employé chrétien. Jusqu’au jour où ce dernier lui fait une promesse : la nuit de Pâques, lui et sa famille seront tués.
Andrei Cohn travaille patiemment cette atmosphère étouffante, où l’escalade de la haine semble inéluctable. Plus que l’illustration d’un événement historique, il explore les peurs et préjugés enfouis en chacun.
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Petite salle
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
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Grande salle
C’était un fameux contrebandier, défiant l’autorité royale dans la France de l’Ancien Régime. Après la mort de Mandrin, en 1755, Belissard et ses hommes reprennent le combat. Avec au coeur un rêve : voir publiés Les Chants de Mandrin, hymne poétique à cet homme en lutte.
En passant du béton des cités à la campagne française, Rabah Ameur-Zaïmeche ne perd en rien de son mordant, ni de son regard aigu sur le fonctionnement de la société. Sobre et percutant.
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
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Tamara profite de ses dernières vacances avant de partir à Brasilia. Un jour, elle entend parler d’une fille surnommée « Sans Coeur ». Elle ressent une attirance immédiate pour cette fille mystérieuse.
Une chronique adolescente qui nous plonge en 1996 au Brésil, entre découverte du corps, quête d’identité et réalités sociales d'un pays divisé.
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Grande salle
Plein d’inventivité, Le Magicien d’Oz fait partie des oeuvres que l’on aime autant découvrir que redécouvrir, tant ses possibilités de lecture sont infinies. Un film culte qui inspira nombre de cinéastes, et une belle pierre à apporter à l’édifice de tout.e cinéphile en devenir ! Alors partez au-delà de l'arc-en-ciel !
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Nounourse et ses amis vivent des aventures du quotidien, qu’il s’agisse d’aller dormir ou d’avoir un petit frère...
Un ensemble de films courts qui nous rappelle que les moments les plus extraordinaires ne sont pas toujours ceux que l'on croit !
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Grande salle
Le 25 avril 1974, ou la Révolution des oeillets, voit la chute de la dictature lazariste qui pesait sur le Portugal depuis 1933. À travers plusieurs personnages qui vivent ce moment extraordinaire de l'Histoire, Maria de Medeiros fait le portrait d'un pays en plein chavirement, au moment où la liberté semble enfin pouvoir poindre.
Elle est cadre infirmière depuis 40 ans. 40 ans de garde, de rencontres, de soins. Aujourd'hui, il est temps pour elle de prendre sa retraite. Mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire !
Sébastien Lifshitz prouve qu'il est l'un des plus fins portraitistes du cinéma français. En suivant Madame Hofmann dans son quotidien, aussi bien professionnel que familial, il raconte sur le long terme la vie d'une femme doit apprendre à réinventer son existence.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage L'AUGMENTATION (Régis Granet, 2'20) :
- Mercredi 1er à 16h
- Jeudi 2 à 21h
- Samedi 4 à 19h
- Lundi 6 à 20h15
- Mardi 7 à 17h15
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Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
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Petite salle / Version SME sur demande
Nounourse et ses amis vivent des aventures du quotidien, qu’il s’agisse d’aller dormir ou d’avoir un petit frère...
Un ensemble de films courts qui nous rappelle que les moments les plus extraordinaires ne sont pas toujours ceux que l'on croit !
Plein d’inventivité, Le Magicien d’Oz fait partie des oeuvres que l’on aime autant découvrir que redécouvrir, tant ses possibilités de lecture sont infinies. Un film culte qui inspira nombre de cinéastes, et une belle pierre à apporter à l’édifice de tout.e cinéphile en devenir ! Alors partez au-delà de l'arc-en-ciel !
Le chef d’oeuvre de Fritz Lang, qui retrace le quotidien d’une ville plongée dans la terreur !
Venez le découvrir dans une version inédite en ciné-concert par l’orchestre à cordes adulte du conservatoire. Ce film parlant, mais sans musique originalement, est proposé en exclusivité avec des arrangements et une composition originale de Gabriel Ortega, chef d’orchestre du conservatoire. Une version du film unique en son genre !
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
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Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
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Tamara profite de ses dernières vacances avant de partir à Brasilia. Un jour, elle entend parler d’une fille surnommée « Sans Coeur ». Elle ressent une attirance immédiate pour cette fille mystérieuse.
Une chronique adolescente qui nous plonge en 1996 au Brésil, entre découverte du corps, quête d’identité et réalités sociales d'un pays divisé.
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Petite salle
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
vo
Grande salle / Version SME sur demande
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Petite salle
Elle est cadre infirmière depuis 40 ans. 40 ans de garde, de rencontres, de soins. Aujourd'hui, il est temps pour elle de prendre sa retraite. Mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire !
Sébastien Lifshitz prouve qu'il est l'un des plus fins portraitistes du cinéma français. En suivant Madame Hofmann dans son quotidien, aussi bien professionnel que familial, il raconte sur le long terme la vie d'une femme doit apprendre à réinventer son existence.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage L'AUGMENTATION (Régis Granet, 2'20) :
- Mercredi 1er à 16h
- Jeudi 2 à 21h
- Samedi 4 à 19h
- Lundi 6 à 20h15
- Mardi 7 à 17h15
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Grande salle
Alors que Sidonie est invitée pour faire la promotion d'un de ses livres au Japon, elle se retrouve confrontée à de drôles de visions, tandis que son défunt mari réapparaît !
C’est avec émotion qu’Élise Girard parvient à retranscrire la complexité de l’expérience du deuil. Dans ce Japon fantasmé et étrange, c’est avec empathie que l'on voit le personnage avancer, comme il peut, vers l’autre rive.
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Petite salle
Elle est cadre infirmière depuis 40 ans. 40 ans de garde, de rencontres, de soins. Aujourd'hui, il est temps pour elle de prendre sa retraite. Mais c'est parfois plus facile à dire qu'à faire !
Sébastien Lifshitz prouve qu'il est l'un des plus fins portraitistes du cinéma français. En suivant Madame Hofmann dans son quotidien, aussi bien professionnel que familial, il raconte sur le long terme la vie d'une femme doit apprendre à réinventer son existence.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage L'AUGMENTATION (Régis Granet, 2'20) :
- Mercredi 1er à 16h
- Jeudi 2 à 21h
- Samedi 4 à 19h
- Lundi 6 à 20h15
- Mardi 7 à 17h15
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Petite salle
Roumanie, début du XXe siècle. Dans un village, la tension monte entre un tavernier juif et son employé chrétien. Jusqu’au jour où ce dernier lui fait une promesse : la nuit de Pâques, lui et sa famille seront tués.
Andrei Cohn travaille patiemment cette atmosphère étouffante, où l’escalade de la haine semble inéluctable. Plus que l’illustration d’un événement historique, il explore les peurs et préjugés enfouis en chacun.
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Grande salle
Tamara profite de ses dernières vacances avant de partir à Brasilia. Un jour, elle entend parler d’une fille surnommée « Sans Coeur ». Elle ressent une attirance immédiate pour cette fille mystérieuse.
Une chronique adolescente qui nous plonge en 1996 au Brésil, entre découverte du corps, quête d’identité et réalités sociales d'un pays divisé.
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Petite salle
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Petite salle
Tous les films du mercredi 08 au mardi 14 (semaine 202419)
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret. Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
Nounourse et ses amis vivent des aventures du quotidien, qu’il s’agisse d’aller dormir ou d’avoir un petit frère...
Un ensemble de films courts qui nous rappelle que les moments les plus extraordinaires ne sont pas toujours ceux que l'on croit !
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant à la famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie.
Retrouvez cette famille hors-norme dans des vacances pas comme les autres ! Une adaptation du manga haute en couleur dans un film d’espionnage aux personnages hilarants.
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
Sur une île grecque, les touristes affluent. Parmi cette foule, Jacqueline, que Callie, une guide, remarque : une rencontre que ni l’une ni l’autre n’attendait, et qui pourrait les transformer.
On ne sait qui est l’échappée dans ce film bouleversant, mais on sait que cette rencontre est de celles qui nous touche profondément : à travers les ruines de cette île grecque, on entrevoit les vestiges du passé des personnages, et l'espoir d’une reconstruction, lente et douce, vers laquelle ceux-ci avancent solidairement.
Les séances suivantes sont précédées du court-métrage LA NOTTE (Francesca Sofia Rosso, Simone Pratola, Martina Generali, 6'30) :
- Mercredi 8 à 20h30
- Samedi 11 à 20h30
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
Inde, 1938. Chuyia, à peine âgée de 7 ans, est envoyée à la mort de son mari dans une maison où les veuves vivent en pénitence, le crâne rasé. Peu à peu, la révolte gronde dans cet univers de femmes, alors que la lutte du pays pour l’indépendance s’intensifie.
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
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Grande salle
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret. Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
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Petite salle
Nounourse et ses amis vivent des aventures du quotidien, qu’il s’agisse d’aller dormir ou d’avoir un petit frère...
Un ensemble de films courts qui nous rappelle que les moments les plus extraordinaires ne sont pas toujours ceux que l'on croit !
vf
Grande salle
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant à la famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie.
Retrouvez cette famille hors-norme dans des vacances pas comme les autres ! Une adaptation du manga haute en couleur dans un film d’espionnage aux personnages hilarants.
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Petite salle
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
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Grande salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Petite salle
Sur une île grecque, les touristes affluent. Parmi cette foule, Jacqueline, que Callie, une guide, remarque : une rencontre que ni l’une ni l’autre n’attendait, et qui pourrait les transformer.
On ne sait qui est l’échappée dans ce film bouleversant, mais on sait que cette rencontre est de celles qui nous touche profondément : à travers les ruines de cette île grecque, on entrevoit les vestiges du passé des personnages, et l'espoir d’une reconstruction, lente et douce, vers laquelle ceux-ci avancent solidairement.
Les séances suivantes sont précédées du court-métrage LA NOTTE (Francesca Sofia Rosso, Simone Pratola, Martina Generali, 6'30) :
- Mercredi 8 à 20h30
- Samedi 11 à 20h30
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Grande salle
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
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Petite salle
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
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Grande salle
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant à la famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie.
Retrouvez cette famille hors-norme dans des vacances pas comme les autres ! Une adaptation du manga haute en couleur dans un film d’espionnage aux personnages hilarants.
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Grande salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Petite salle
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
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Grande salle
Sur une île grecque, les touristes affluent. Parmi cette foule, Jacqueline, que Callie, une guide, remarque : une rencontre que ni l’une ni l’autre n’attendait, et qui pourrait les transformer.
On ne sait qui est l’échappée dans ce film bouleversant, mais on sait que cette rencontre est de celles qui nous touche profondément : à travers les ruines de cette île grecque, on entrevoit les vestiges du passé des personnages, et l'espoir d’une reconstruction, lente et douce, vers laquelle ceux-ci avancent solidairement.
Les séances suivantes sont précédées du court-métrage LA NOTTE (Francesca Sofia Rosso, Simone Pratola, Martina Generali, 6'30) :
- Mercredi 8 à 20h30
- Samedi 11 à 20h30
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Petite salle
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret. Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
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Grande salle
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
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Petite salle
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
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Grande salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Petite salle
Sur une île grecque, les touristes affluent. Parmi cette foule, Jacqueline, que Callie, une guide, remarque : une rencontre que ni l’une ni l’autre n’attendait, et qui pourrait les transformer.
On ne sait qui est l’échappée dans ce film bouleversant, mais on sait que cette rencontre est de celles qui nous touche profondément : à travers les ruines de cette île grecque, on entrevoit les vestiges du passé des personnages, et l'espoir d’une reconstruction, lente et douce, vers laquelle ceux-ci avancent solidairement.
Les séances suivantes sont précédées du court-métrage LA NOTTE (Francesca Sofia Rosso, Simone Pratola, Martina Generali, 6'30) :
- Mercredi 8 à 20h30
- Samedi 11 à 20h30
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Grande salle
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret. Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
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Petite salle
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
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Grande salle / Version SME sur demande
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant à la famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie.
Retrouvez cette famille hors-norme dans des vacances pas comme les autres ! Une adaptation du manga haute en couleur dans un film d’espionnage aux personnages hilarants.
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Petite salle
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
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Petite salle
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret. Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
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Petite salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Grande salle
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
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Grande salle
Nounourse et ses amis vivent des aventures du quotidien, qu’il s’agisse d’aller dormir ou d’avoir un petit frère...
Un ensemble de films courts qui nous rappelle que les moments les plus extraordinaires ne sont pas toujours ceux que l'on croit !
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Petite salle
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant à la famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie.
Retrouvez cette famille hors-norme dans des vacances pas comme les autres ! Une adaptation du manga haute en couleur dans un film d’espionnage aux personnages hilarants.
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Petite salle
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
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Grande salle
Sur une île grecque, les touristes affluent. Parmi cette foule, Jacqueline, que Callie, une guide, remarque : une rencontre que ni l’une ni l’autre n’attendait, et qui pourrait les transformer.
On ne sait qui est l’échappée dans ce film bouleversant, mais on sait que cette rencontre est de celles qui nous touche profondément : à travers les ruines de cette île grecque, on entrevoit les vestiges du passé des personnages, et l'espoir d’une reconstruction, lente et douce, vers laquelle ceux-ci avancent solidairement.
Les séances suivantes sont précédées du court-métrage LA NOTTE (Francesca Sofia Rosso, Simone Pratola, Martina Generali, 6'30) :
- Mercredi 8 à 20h30
- Samedi 11 à 20h30
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Petite salle
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
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Grande salle
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
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Grande salle / Version SME sur demande
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
vo
Petite salle
Loid est un espion. Yor, une tueuse à gages. Ensemble, ils mènent une double vie en jouant à la famille parfaite. Ce qu'ils ignorent, c'est que leur fille adoptive, Anya, connaît leurs secrets grâce à son don de télépathie.
Retrouvez cette famille hors-norme dans des vacances pas comme les autres ! Une adaptation du manga haute en couleur dans un film d’espionnage aux personnages hilarants.
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Grande salle
Inde, 1938. Chuyia, à peine âgée de 7 ans, est envoyée à la mort de son mari dans une maison où les veuves vivent en pénitence, le crâne rasé. Peu à peu, la révolte gronde dans cet univers de femmes, alors que la lutte du pays pour l’indépendance s’intensifie.
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
vo
Grande salle
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
vo
Petite salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Grande salle
Sur une île grecque, les touristes affluent. Parmi cette foule, Jacqueline, que Callie, une guide, remarque : une rencontre que ni l’une ni l’autre n’attendait, et qui pourrait les transformer.
On ne sait qui est l’échappée dans ce film bouleversant, mais on sait que cette rencontre est de celles qui nous touche profondément : à travers les ruines de cette île grecque, on entrevoit les vestiges du passé des personnages, et l'espoir d’une reconstruction, lente et douce, vers laquelle ceux-ci avancent solidairement.
Les séances suivantes sont précédées du court-métrage LA NOTTE (Francesca Sofia Rosso, Simone Pratola, Martina Generali, 6'30) :
- Mercredi 8 à 20h30
- Samedi 11 à 20h30
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Petite salle
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
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Grande salle
Jamal, psychiatre passionné par son métier, se heurte jour après jour à la violence des institutions qui maltraitent autant les patients que ceux qui la font vivre.
État limite dresse le portrait d’un service de soins en psychiatrie. Il nous plonge dans la réalité anxiogène d’une société qui délaisse la psychiatrie, ses soignants et ses patients. Nicolas Peduzzi, revient une fois de plus poser sa caméra sur des personnages en marge, conjuguant beauté des plans et constat sociétal effrayant.
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Grande salle
Mélissa, gardienne de prison, est mutée en Corse dans une unité particulière : les détenus (la plupart membres du grand banditisme corse) vivent en milieu ouvert. Entre ces hommes affables, mais dangereux, et la jeune femme désireuse de trouver sa place se noue alors une relation étrange.
À la beauté des espaces ouverts de l’île répondent les murs de la prison, filmés avec une précision toute documentaire,
vo
Petite salle / Version SME sur demande
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Grande salle
C’est une expérience étrange, limite. Sans doute dérangeante. Le réalisateur Mehran Tamadon demande à l’actrice Zar Amir Ebrahimi de l’aider pour un projet : il lui demande, à elle qui a subi des interrogatoires idéologiques en Iran, de jouer à son tour le rôle de l’interrogateur. Lui sera sa victime.
Mehran Tamadon utilise le film comme un miroir tendu au bourreau, où il lui montre la réalité de ses actes. Mais peu à peu, le sujet du film devient le bien-fondé de ce projet, à la frontière entre réalité et fiction, et les interrogations qu’il soulève, nous plongeant dans une réflexion aussi passionnante que troublante.
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Petite salle
Trois enfants dégourdis passent leurs journées loin des parents, à vivre dans la forêt des aventures épiques dont seuls eux ont le secret. Entre les "Goonies" et "Stranger Things", un premier film à la belle énergie !
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Grande salle
Un couple vient s'installer aux États-Unis. Lui est vénézuélien, elle est espagnole. À l'aéroport, ils sont arrêtés, sans comprendre pourquoi, et soumis à un interrogatoire serré.
Dans ce huis-clos aussi bref qu'intense, un étau se resserre peu à peu sur les personnages et les spectateurs et spectatrices, dans l’atmosphère confinée d'une petite salle. Un film au suspense soutenu, qui se révèle une dénonciation féroce du « rêve américain. »
Les séances précédentes seront précédées du court métrage LA VESTE ROSE (Monica Santos, 8'20) :
- Mercredi 1er à 20h45
- Samedi 4 à 15h
- Lundi 6 à 18h30
- Mardi 7 à 21h
- Jeudi 9 à 17h30
- Dimanche 12 à 21h
- Lundi 13 à 21h
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Petite salle
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 15 au mardi 21 (semaine 202420)
Zoé et Volta ont grandi dans un Kosovo profondément marqué par la guerre. En cette année 2007, les cousines n'ont qu'un désir : quitter leur campagne, étudier en ville. Vivre leur vie.
Ce second long métrage dresse un portrait touchant de la jeunesse kosovare, coincée entre ses aspirations et les réalités sociales et économiques. À travers l'émancipation difficile de ces deux femmes, c'est celle de tout un pays que raconte la cinéaste.
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
Des phénomènes paranormaux ? Appelez SOS Fantômes !
Pour leur retour sur grand écran, une famille vient s’associer
à la fameuse équipe, et ils ne seront pas de trop pour sauver
New York d’une terrifiante invasion d’esprits frappeurs !
Une comédie d’action pour toute la famille, chasseurs en herbe
et traqueurs avertis !
Knit’s Island est un refuge sur internet. Dans cette réalité virtuelle, inspirée des conceptions survivalistes, de véritables communautés se sont développées. Les trois réalisateurs se sont immergés dans ce monde alternatif, partant à la rencontre de celles et ceux qui y voient une échappatoire ou un moyen d'assouvir leurs fantasmes. Une exploration troublante, qui interroge à travers ce monde virtuel notre propre réalité.
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
Leïla Shahid, voix essentielle de la Palestine, évoque la trajectoire de sa mère, Sirine Husseini Shahid, née à Jérusalem en 1920.
Par la voix de l'ambassadrice et un riche choix d'images d'archives, photographiques et filmiques, Serge Le Péron fait dialoguer les temporalités, revenant sur des décennies d'histoire pour interroger le destin d'un peuple et d'un territoire. À travers son récit, c'est aussi un portrait de Leïla Shahid qui, peu à peu, se dessine.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
Blonde, accorte, le regard doux, Rosalie a tout de ce qu'on pourrait espérer d'une épouse dans cette France du XIXe siècle. Sans amour, elle épouse Abel, un tenancier de café qui découvre le douloureux secret de sa femme...
Après La Danseuse, Stéphanie Di Giusto s'intéresse à une autre figure historique et marginale, un être dont la supposée monstruosité réside dans le regard de ceux qui la contemplent, et qui se révélera peut-être capable de faire de cette singularité sa plus grande force.
Sur une bande-son signée Max Romeo, The Abyssinians ou encore Grounation, Le Premier Rasta est un trépidant documentaire consacré à Leonard Howell (1887-1981), voyageur, marin, rebelle et fondateur du mouvement rasta.
Réalisé par la journaliste Hélène Lee d’après son livre éponyme, découvrez l’histoire politique, sociale, musicale et spirituelle pour le moins mouvementée de la Jamaïque !
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
La réalisatrice rêvait d'aller dans l'espace. Ce à quoi on lui a répliqué que l'espace, c'était pour les hommes. Avec ce film de science-fiction (dé)tonnant, elle prouve avec brio le contraire à ses détracteurs. Elle nous fait partager son espace à elle, espace tout autant physique que mental. Humoristique et queer, le film prolonge aussi la réflexion autour de la figure du cyborg menée par l'essayiste américaine Donna Haraway, questionnant le rapport entre l'humain et la machine.
Les villageois croient que dans l'étang vit un dragon. Si la cloche du village ne sonne pas, il sera libéré et fondra sur eux. L'arrivée d'un étranger vient bouleverser ce rite.
Masahiro Shinoda mêle les traditions et le folklore japonais (mention spéciale à l'homme-crabe !) à une dénonciation de la violence tapie dans le coeur des hommes.
Quatre contes slaves qui nous mènent au fond des bois !
Chaque récit est rempli d’aventures, de mystères et d’amitié,
offrant un voyage magique à travers la nature sauvage de la
vaste Taïga.
Quel plus grand bonheur que d’ouvrir une boîte et de tomber sur des images oubliées de son propre passé ? C’est l’expérience à laquelle James Ivory (Retour à Howard’s End…) nous invite, alors que le cinéaste de 95 ans redécouvre des bobines d’un documentaire inachevé sur Kaboul, tournées durant sa jeunesse. Là, on apprend ses doutes, la conscience inavouée de son homosexualité. Un touchant retour aux origines qui s'appuie sur les images d'un monde à jamais disparu.
Zoé et Volta ont grandi dans un Kosovo profondément marqué par la guerre. En cette année 2007, les cousines n'ont qu'un désir : quitter leur campagne, étudier en ville. Vivre leur vie.
Ce second long métrage dresse un portrait touchant de la jeunesse kosovare, coincée entre ses aspirations et les réalités sociales et économiques. À travers l'émancipation difficile de ces deux femmes, c'est celle de tout un pays que raconte la cinéaste.
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Petite salle
Po est entraîné dans un nouveau défi : la redoutable Caméléone, capable de changer d’apparence, est bien décidée à dérober son bâton de sagesse. Notre panda favori aura besoin de toute sa maîtrise de l’art du kung-fu.
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Grande Salle
Des phénomènes paranormaux ? Appelez SOS Fantômes !
Pour leur retour sur grand écran, une famille vient s’associer
à la fameuse équipe, et ils ne seront pas de trop pour sauver
New York d’une terrifiante invasion d’esprits frappeurs !
Une comédie d’action pour toute la famille, chasseurs en herbe
et traqueurs avertis !
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Grande salle
Knit’s Island est un refuge sur internet. Dans cette réalité virtuelle, inspirée des conceptions survivalistes, de véritables communautés se sont développées. Les trois réalisateurs se sont immergés dans ce monde alternatif, partant à la rencontre de celles et ceux qui y voient une échappatoire ou un moyen d'assouvir leurs fantasmes. Une exploration troublante, qui interroge à travers ce monde virtuel notre propre réalité.
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Grande salle
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
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Petite salle
Leïla Shahid, voix essentielle de la Palestine, évoque la trajectoire de sa mère, Sirine Husseini Shahid, née à Jérusalem en 1920.
Par la voix de l'ambassadrice et un riche choix d'images d'archives, photographiques et filmiques, Serge Le Péron fait dialoguer les temporalités, revenant sur des décennies d'histoire pour interroger le destin d'un peuple et d'un territoire. À travers son récit, c'est aussi un portrait de Leïla Shahid qui, peu à peu, se dessine.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Petite salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Grande salle
Blonde, accorte, le regard doux, Rosalie a tout de ce qu'on pourrait espérer d'une épouse dans cette France du XIXe siècle. Sans amour, elle épouse Abel, un tenancier de café qui découvre le douloureux secret de sa femme...
Après La Danseuse, Stéphanie Di Giusto s'intéresse à une autre figure historique et marginale, un être dont la supposée monstruosité réside dans le regard de ceux qui la contemplent, et qui se révélera peut-être capable de faire de cette singularité sa plus grande force.
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Petite salle / SME sur demande
Sur une bande-son signée Max Romeo, The Abyssinians ou encore Grounation, Le Premier Rasta est un trépidant documentaire consacré à Leonard Howell (1887-1981), voyageur, marin, rebelle et fondateur du mouvement rasta.
Réalisé par la journaliste Hélène Lee d’après son livre éponyme, découvrez l’histoire politique, sociale, musicale et spirituelle pour le moins mouvementée de la Jamaïque !
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
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Petite salle
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
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Grande salle
Zoé et Volta ont grandi dans un Kosovo profondément marqué par la guerre. En cette année 2007, les cousines n'ont qu'un désir : quitter leur campagne, étudier en ville. Vivre leur vie.
Ce second long métrage dresse un portrait touchant de la jeunesse kosovare, coincée entre ses aspirations et les réalités sociales et économiques. À travers l'émancipation difficile de ces deux femmes, c'est celle de tout un pays que raconte la cinéaste.
vo
Petite salle
La réalisatrice rêvait d'aller dans l'espace. Ce à quoi on lui a répliqué que l'espace, c'était pour les hommes. Avec ce film de science-fiction (dé)tonnant, elle prouve avec brio le contraire à ses détracteurs. Elle nous fait partager son espace à elle, espace tout autant physique que mental. Humoristique et queer, le film prolonge aussi la réflexion autour de la figure du cyborg menée par l'essayiste américaine Donna Haraway, questionnant le rapport entre l'humain et la machine.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Petite salle
Les villageois croient que dans l'étang vit un dragon. Si la cloche du village ne sonne pas, il sera libéré et fondra sur eux. L'arrivée d'un étranger vient bouleverser ce rite.
Masahiro Shinoda mêle les traditions et le folklore japonais (mention spéciale à l'homme-crabe !) à une dénonciation de la violence tapie dans le coeur des hommes.
Knit’s Island est un refuge sur internet. Dans cette réalité virtuelle, inspirée des conceptions survivalistes, de véritables communautés se sont développées. Les trois réalisateurs se sont immergés dans ce monde alternatif, partant à la rencontre de celles et ceux qui y voient une échappatoire ou un moyen d'assouvir leurs fantasmes. Une exploration troublante, qui interroge à travers ce monde virtuel notre propre réalité.
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Grande salle
Des phénomènes paranormaux ? Appelez SOS Fantômes !
Pour leur retour sur grand écran, une famille vient s’associer
à la fameuse équipe, et ils ne seront pas de trop pour sauver
New York d’une terrifiante invasion d’esprits frappeurs !
Une comédie d’action pour toute la famille, chasseurs en herbe
et traqueurs avertis !
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Grande salle
Quatre contes slaves qui nous mènent au fond des bois !
Chaque récit est rempli d’aventures, de mystères et d’amitié,
offrant un voyage magique à travers la nature sauvage de la
vaste Taïga.
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Petite salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Grande salle
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
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Petite salle
Blonde, accorte, le regard doux, Rosalie a tout de ce qu'on pourrait espérer d'une épouse dans cette France du XIXe siècle. Sans amour, elle épouse Abel, un tenancier de café qui découvre le douloureux secret de sa femme...
Après La Danseuse, Stéphanie Di Giusto s'intéresse à une autre figure historique et marginale, un être dont la supposée monstruosité réside dans le regard de ceux qui la contemplent, et qui se révélera peut-être capable de faire de cette singularité sa plus grande force.
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Grande salle / SME sur demande
Blonde, accorte, le regard doux, Rosalie a tout de ce qu'on pourrait espérer d'une épouse dans cette France du XIXe siècle. Sans amour, elle épouse Abel, un tenancier de café qui découvre le douloureux secret de sa femme...
Après La Danseuse, Stéphanie Di Giusto s'intéresse à une autre figure historique et marginale, un être dont la supposée monstruosité réside dans le regard de ceux qui la contemplent, et qui se révélera peut-être capable de faire de cette singularité sa plus grande force.
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Grande salle
Des phénomènes paranormaux ? Appelez SOS Fantômes !
Pour leur retour sur grand écran, une famille vient s’associer
à la fameuse équipe, et ils ne seront pas de trop pour sauver
New York d’une terrifiante invasion d’esprits frappeurs !
Une comédie d’action pour toute la famille, chasseurs en herbe
et traqueurs avertis !
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Petite salle
Zoé et Volta ont grandi dans un Kosovo profondément marqué par la guerre. En cette année 2007, les cousines n'ont qu'un désir : quitter leur campagne, étudier en ville. Vivre leur vie.
Ce second long métrage dresse un portrait touchant de la jeunesse kosovare, coincée entre ses aspirations et les réalités sociales et économiques. À travers l'émancipation difficile de ces deux femmes, c'est celle de tout un pays que raconte la cinéaste.
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Grande salle
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
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Petite salle
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
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Grande salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
vo
Petite salle
Knit’s Island est un refuge sur internet. Dans cette réalité virtuelle, inspirée des conceptions survivalistes, de véritables communautés se sont développées. Les trois réalisateurs se sont immergés dans ce monde alternatif, partant à la rencontre de celles et ceux qui y voient une échappatoire ou un moyen d'assouvir leurs fantasmes. Une exploration troublante, qui interroge à travers ce monde virtuel notre propre réalité.
vo
Petite salle
Blonde, accorte, le regard doux, Rosalie a tout de ce qu'on pourrait espérer d'une épouse dans cette France du XIXe siècle. Sans amour, elle épouse Abel, un tenancier de café qui découvre le douloureux secret de sa femme...
Après La Danseuse, Stéphanie Di Giusto s'intéresse à une autre figure historique et marginale, un être dont la supposée monstruosité réside dans le regard de ceux qui la contemplent, et qui se révélera peut-être capable de faire de cette singularité sa plus grande force.
vo
Grande salle / SME sur demande
Quatre contes slaves qui nous mènent au fond des bois !
Chaque récit est rempli d’aventures, de mystères et d’amitié,
offrant un voyage magique à travers la nature sauvage de la
vaste Taïga.
vo
Petite salle
Des phénomènes paranormaux ? Appelez SOS Fantômes !
Pour leur retour sur grand écran, une famille vient s’associer
à la fameuse équipe, et ils ne seront pas de trop pour sauver
New York d’une terrifiante invasion d’esprits frappeurs !
Une comédie d’action pour toute la famille, chasseurs en herbe
et traqueurs avertis !
vo
Petite salle
Une nouvelle fois, Claus Drexel va écouter ceux et celles à qui l'on donne rarement la parole, ou qu'on écoute peu. D'une maison modeste à un château, d'une cuisine à une chambre d'EHPAD, il vient leur demander ce que signifie être âgé, les fait revenir sur leurs souvenirs, leur présent, parfois leurs espoirs ou leurs angoisses. Sortant des clichés, il propose des portraits d'une grande empathie, qui n'est pas sans humour.
vo
Grande salle
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
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Petite salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Grande salle
Zoé et Volta ont grandi dans un Kosovo profondément marqué par la guerre. En cette année 2007, les cousines n'ont qu'un désir : quitter leur campagne, étudier en ville. Vivre leur vie.
Ce second long métrage dresse un portrait touchant de la jeunesse kosovare, coincée entre ses aspirations et les réalités sociales et économiques. À travers l'émancipation difficile de ces deux femmes, c'est celle de tout un pays que raconte la cinéaste.
vo
Grande salle
Trois personnes, interrogées et torturées par des agents du régime iranien, se livrent devant la caméra de Mehran Tamadon. À travers des mots, des gestes et des objets, chacun retranscrit avec émotion le traumatisme qui le hante.
Avec Mon pire ennemi, le film forme un diptyque d'une grande subtilité tout autant sur la violence des tortures menées par l'État que sur le pouvoir cathartique de la parole et du cinéma.
vo
Grande salle
Knit’s Island est un refuge sur internet. Dans cette réalité virtuelle, inspirée des conceptions survivalistes, de véritables communautés se sont développées. Les trois réalisateurs se sont immergés dans ce monde alternatif, partant à la rencontre de celles et ceux qui y voient une échappatoire ou un moyen d'assouvir leurs fantasmes. Une exploration troublante, qui interroge à travers ce monde virtuel notre propre réalité.
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Petite salle
Quel plus grand bonheur que d’ouvrir une boîte et de tomber sur des images oubliées de son propre passé ? C’est l’expérience à laquelle James Ivory (Retour à Howard’s End…) nous invite, alors que le cinéaste de 95 ans redécouvre des bobines d’un documentaire inachevé sur Kaboul, tournées durant sa jeunesse. Là, on apprend ses doutes, la conscience inavouée de son homosexualité. Un touchant retour aux origines qui s'appuie sur les images d'un monde à jamais disparu.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Petite salle
Tous les films du mercredi 22 au mardi 28 (semaine 202421)
Trois époques de la vie d'une tribu autochtone au Brésil, les Krahô. Des luttes pour l'occupation des terres au rapport que la tribu entretient avec d'autres autochtones ou les pouvoirs publics, le film retrace des décennies de combats, jusqu'à l'implication contemporaine contre le bolsonarisme. Une oeuvre vibrante, autant des couleurs de la forêt que des cris de ceux et celles qui se battent pour sa survie.
Dans une petite ville américaine, le jeune Hogarth Hughes s’ennuie
et se sent bien seul. Jusqu’au jour où, dans d’étranges circonstances,
il fait une rencontre inattendue : celle d’un gigantesque géant de fer,
auquel il vient en aide. Ces deux êtres isolés deviennent rapidement
amis, mais la vie du géant est menacée par l’armée.
Une splendide histoire d’amitié par le créateur de Ratatouille !
Quel plus grand bonheur que d’ouvrir une boîte et de tomber sur des images oubliées de son propre passé ? C’est l’expérience à laquelle James Ivory (Retour à Howard’s End…) nous invite, alors que le cinéaste de 95 ans redécouvre des bobines d’un documentaire inachevé sur Kaboul, tournées durant sa jeunesse. Là, on apprend ses doutes, la conscience inavouée de son homosexualité. Un touchant retour aux origines qui s'appuie sur les images d'un monde à jamais disparu.
Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Viggo Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus…
Augusto Góngora et Paulina Urrutia ont lutté toute leur vie. Contre Pinochet, contre l'intolérance, la restriction des libertés. Depuis huit ans, ils doivent mener un nouveau combat : Augusto est atteint de la maladie d'alzheimer.
Durant quatre ans, la réalisatrice Maite Alberdi est restée au côté de ce couple exceptionnel, recueillant moments du quotidien et évocations de souvenirs. Car à travers les récits d'Augusto, c'est bien toute la mémoire douloureuse du Chili qui refait surface.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
Durant la guerre d'Indochine, un groupe d'hommes de la Légion est traqué par les troupes japonaises. Entre les marais et la jungle, ils avancent, cherchant un hypothétique refuge.
Pensé en collaboration avec Jacques Perrin, qui avait déjà donné corps à cette période historique peu traitée par le cinéma dans La 317e Section, Les Derniers Hommes est un film sec, implacable. Dans les vastes espaces sourd une menace permanente, qui transforme des hommes en animaux aux abois.
Quatre contes slaves qui nous mènent au fond des bois !
Chaque récit est rempli d’aventures, de mystères et d’amitié,
offrant un voyage magique à travers la nature sauvage de la
vaste Taïga.
C’est l’histoire d’une grande amitié : celle de Nina et Djoul, qui viennent de se faire expulser du squat qui leur servait jusqu’ici d’abri. Qu’à cela ne tienne, les deux amies prennent la route vers de nouveaux horizons, un seul objectif en tête : se réjouir et faire la fête !
Après Revivre, Karim Dridi tourne de nouveau sa caméra vers un duo : non plus celui du couple parental, mais celui d'un couple amical. Porté par un regard d’une grande sensibilité, le cinéaste nous accompagne à la découverte de ces personnes en marge.
Deux sœurs sont hébergées par une vieille dame. Elles comprennent vite que sa maison recèle bien des secrets...
Trois époques de la vie d'une tribu autochtone au Brésil, les Krahô. Des luttes pour l'occupation des terres au rapport que la tribu entretient avec d'autres autochtones ou les pouvoirs publics, le film retrace des décennies de combats, jusqu'à l'implication contemporaine contre le bolsonarisme. Une oeuvre vibrante, autant des couleurs de la forêt que des cris de ceux et celles qui se battent pour sa survie.
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Petite salle
Dans une petite ville américaine, le jeune Hogarth Hughes s’ennuie
et se sent bien seul. Jusqu’au jour où, dans d’étranges circonstances,
il fait une rencontre inattendue : celle d’un gigantesque géant de fer,
auquel il vient en aide. Ces deux êtres isolés deviennent rapidement
amis, mais la vie du géant est menacée par l’armée.
Une splendide histoire d’amitié par le créateur de Ratatouille !
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Grande salle
Quel plus grand bonheur que d’ouvrir une boîte et de tomber sur des images oubliées de son propre passé ? C’est l’expérience à laquelle James Ivory (Retour à Howard’s End…) nous invite, alors que le cinéaste de 95 ans redécouvre des bobines d’un documentaire inachevé sur Kaboul, tournées durant sa jeunesse. Là, on apprend ses doutes, la conscience inavouée de son homosexualité. Un touchant retour aux origines qui s'appuie sur les images d'un monde à jamais disparu.
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Petite salle
Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
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Grande salle
L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Viggo Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus…
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Augusto Góngora et Paulina Urrutia ont lutté toute leur vie. Contre Pinochet, contre l'intolérance, la restriction des libertés. Depuis huit ans, ils doivent mener un nouveau combat : Augusto est atteint de la maladie d'alzheimer.
Durant quatre ans, la réalisatrice Maite Alberdi est restée au côté de ce couple exceptionnel, recueillant moments du quotidien et évocations de souvenirs. Car à travers les récits d'Augusto, c'est bien toute la mémoire douloureuse du Chili qui refait surface.
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Grande salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Grande salle
Trois époques de la vie d'une tribu autochtone au Brésil, les Krahô. Des luttes pour l'occupation des terres au rapport que la tribu entretient avec d'autres autochtones ou les pouvoirs publics, le film retrace des décennies de combats, jusqu'à l'implication contemporaine contre le bolsonarisme. Une oeuvre vibrante, autant des couleurs de la forêt que des cris de ceux et celles qui se battent pour sa survie.
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Grande salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Petite salle
Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
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Petite salle / SME sur demande
L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Viggo Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus…
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Trois époques de la vie d'une tribu autochtone au Brésil, les Krahô. Des luttes pour l'occupation des terres au rapport que la tribu entretient avec d'autres autochtones ou les pouvoirs publics, le film retrace des décennies de combats, jusqu'à l'implication contemporaine contre le bolsonarisme. Une oeuvre vibrante, autant des couleurs de la forêt que des cris de ceux et celles qui se battent pour sa survie.
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Grande salle
Augusto Góngora et Paulina Urrutia ont lutté toute leur vie. Contre Pinochet, contre l'intolérance, la restriction des libertés. Depuis huit ans, ils doivent mener un nouveau combat : Augusto est atteint de la maladie d'alzheimer.
Durant quatre ans, la réalisatrice Maite Alberdi est restée au côté de ce couple exceptionnel, recueillant moments du quotidien et évocations de souvenirs. Car à travers les récits d'Augusto, c'est bien toute la mémoire douloureuse du Chili qui refait surface.
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Petite salle
Durant la guerre d'Indochine, un groupe d'hommes de la Légion est traqué par les troupes japonaises. Entre les marais et la jungle, ils avancent, cherchant un hypothétique refuge.
Pensé en collaboration avec Jacques Perrin, qui avait déjà donné corps à cette période historique peu traitée par le cinéma dans La 317e Section, Les Derniers Hommes est un film sec, implacable. Dans les vastes espaces sourd une menace permanente, qui transforme des hommes en animaux aux abois.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Petite salle
Trois époques de la vie d'une tribu autochtone au Brésil, les Krahô. Des luttes pour l'occupation des terres au rapport que la tribu entretient avec d'autres autochtones ou les pouvoirs publics, le film retrace des décennies de combats, jusqu'à l'implication contemporaine contre le bolsonarisme. Une oeuvre vibrante, autant des couleurs de la forêt que des cris de ceux et celles qui se battent pour sa survie.
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Petite salle
Augusto Góngora et Paulina Urrutia ont lutté toute leur vie. Contre Pinochet, contre l'intolérance, la restriction des libertés. Depuis huit ans, ils doivent mener un nouveau combat : Augusto est atteint de la maladie d'alzheimer.
Durant quatre ans, la réalisatrice Maite Alberdi est restée au côté de ce couple exceptionnel, recueillant moments du quotidien et évocations de souvenirs. Car à travers les récits d'Augusto, c'est bien toute la mémoire douloureuse du Chili qui refait surface.
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Grande salle
Dans une petite ville américaine, le jeune Hogarth Hughes s’ennuie
et se sent bien seul. Jusqu’au jour où, dans d’étranges circonstances,
il fait une rencontre inattendue : celle d’un gigantesque géant de fer,
auquel il vient en aide. Ces deux êtres isolés deviennent rapidement
amis, mais la vie du géant est menacée par l’armée.
Une splendide histoire d’amitié par le créateur de Ratatouille !
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Grande salle
Quatre contes slaves qui nous mènent au fond des bois !
Chaque récit est rempli d’aventures, de mystères et d’amitié,
offrant un voyage magique à travers la nature sauvage de la
vaste Taïga.
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Petite salle
Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
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Petite salle
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Grande salle
Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
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Grande salle / SME sur demande
Dans une petite ville américaine, le jeune Hogarth Hughes s’ennuie
et se sent bien seul. Jusqu’au jour où, dans d’étranges circonstances,
il fait une rencontre inattendue : celle d’un gigantesque géant de fer,
auquel il vient en aide. Ces deux êtres isolés deviennent rapidement
amis, mais la vie du géant est menacée par l’armée.
Une splendide histoire d’amitié par le créateur de Ratatouille !
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Petite salle
C’est l’histoire d’une grande amitié : celle de Nina et Djoul, qui viennent de se faire expulser du squat qui leur servait jusqu’ici d’abri. Qu’à cela ne tienne, les deux amies prennent la route vers de nouveaux horizons, un seul objectif en tête : se réjouir et faire la fête !
Après Revivre, Karim Dridi tourne de nouveau sa caméra vers un duo : non plus celui du couple parental, mais celui d'un couple amical. Porté par un regard d’une grande sensibilité, le cinéaste nous accompagne à la découverte de ces personnes en marge.
À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Petite salle
L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Viggo Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus…
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Augusto Góngora et Paulina Urrutia ont lutté toute leur vie. Contre Pinochet, contre l'intolérance, la restriction des libertés. Depuis huit ans, ils doivent mener un nouveau combat : Augusto est atteint de la maladie d'alzheimer.
Durant quatre ans, la réalisatrice Maite Alberdi est restée au côté de ce couple exceptionnel, recueillant moments du quotidien et évocations de souvenirs. Car à travers les récits d'Augusto, c'est bien toute la mémoire douloureuse du Chili qui refait surface.
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À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
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Petite salle / SME sur demande
Trois époques de la vie d'une tribu autochtone au Brésil, les Krahô. Des luttes pour l'occupation des terres au rapport que la tribu entretient avec d'autres autochtones ou les pouvoirs publics, le film retrace des décennies de combats, jusqu'à l'implication contemporaine contre le bolsonarisme. Une oeuvre vibrante, autant des couleurs de la forêt que des cris de ceux et celles qui se battent pour sa survie.
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Petite salle
Deux sœurs sont hébergées par une vieille dame. Elles comprennent vite que sa maison recèle bien des secrets...
vf
L’Ouest américain, dans les années 1860. Après avoir fait la rencontre de Holger Olsen (Viggo Mortensen), immigré d’origine danoise, Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), jeune femme résolument indépendante, accepte de le suivre dans le Nevada, pour vivre avec lui. Mais lorsque la guerre de Sécession éclate, Olsen décide de s’engager et Vivienne se retrouve seule. Elle doit désormais affronter Rudolph Schiller (Danny Huston), le maire corrompu de la ville, et Alfred Jeffries (Garret Dillahunt), important propriétaire terrien. Il lui faut surtout résister aux avances plus qu’insistantes de Weston (Solly McLeod), le fils brutal et imprévisible d’Alfred. Quand Olsen rentre du front, Vivienne et lui ne sont plus les mêmes. Ils doivent réapprendre à se connaître pour s’accepter tels qu’ils sont devenus…
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À Casablanca, trois femmes : une mère, sa fille, et la conductrice d’un camion qu’elles ont prise en otage, sont poursuivies par la police. Alors qu’elles sillonnent les routes de l’Atlas, l’horizon de leur cavale se rétrécit mais qu’importe, le but reste le même : revendiquer leur liberté. Peut-on parler d’un Thelma et Louise à la marocaine ? On y pense en tout cas devant Reines ! À travers ces trois personnages, ses trois reines, la cinéaste questionne l’émancipation féminine sous un prisme inédit, loin de la théorie, et qui ne manque pas d’action !
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Grande salle
Augusto Góngora et Paulina Urrutia ont lutté toute leur vie. Contre Pinochet, contre l'intolérance, la restriction des libertés. Depuis huit ans, ils doivent mener un nouveau combat : Augusto est atteint de la maladie d'alzheimer.
Durant quatre ans, la réalisatrice Maite Alberdi est restée au côté de ce couple exceptionnel, recueillant moments du quotidien et évocations de souvenirs. Car à travers les récits d'Augusto, c'est bien toute la mémoire douloureuse du Chili qui refait surface.
vo
Grande salle
Nous voici aux J.O. et… tous les espoirs reposent sur Paul, un tireur pas très sûr de lui. Et qui a bien du mal à concilier exploits sportifs et attirance pour toutes les joies que peut offrir le Village olympique !
Cette comédie potache se révèle être un attachant récit initiatique, où vivre ses premières amours vaut bien une médaille d’or !
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