Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Tous les films du mercredi 22 au mardi 28 (semaine 202543)
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
À Téhéran, un couple cherche de l’aide dans un café, alors qu’il vient de percuter un chien avec son véhicule. Lorsque la porte s’ouvre, le mari croit reconnaître les traits de son ancien tortionnaire…
Jafar Panahi nous entraîne sur les routes d’un thriller haletant, aussi cocasse que glaçant. Le cinéaste pose un questionnement sur les limites de notre humanité, qu’il en soit de l’aveuglement conduit par notre haine, au sort que nous réservons à nos propres bourreaux.
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
- Vendredi 24 à 18h
- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
Ils n'ont pas le même âge, ni les mêmes origines. George, Joumana et Perla-Joe n'ont qu'une chose en commun : ils ont grandi au Liban ; et chacun.e en emporte un souvenir bien personnel. Avec pudeur et curiosité, Myriam El Hajj tourne sa caméra vers leurs témoignages, pour livrer un récit sensible, une histoire intime de son pays.
Gondo, homme d'affaire intraitable, reçoit un inquiétant coup de téléphone : son fils, Jun, a été enlevé, et on lui réclame une rançon.
Du Kurosawa très noir, adapté d'une nouvelle d'Ed McBain. À travers ce récit à suspense, qui devient aussi un dilemme moral, le réalisateur scrute la société japonaise d'après-guerre, le monde violent de l'entreprise et
des rapports de classe. Glaçant et magistral.
« New York Herald Tribune ! » Encore une fois, le cri de Patricia va retentir le long des Champs-Elysées, nous ramenant dans le Paris des années 1960.
Richard Linklater raconte, avec une bonne dose d’humour, le tournage de "À bout de souffle", manifeste de liberté signé Jean-Luc Godard ! S’amusant avec nos attentes, le réalisateur sort de la mythologie pour raconter la débrouille et les embrouilles, le travail collectif et les coups de sang. Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur ce chef-d'œuvre pour mieux y replonger !
Entroncamento, c’est la ville où Laura rejoint son cousin, après s’être sortie de sales affaires dont on ne connaîtra jamais tout à fait la vérité.
Dans cette ville de banlieue portugaise où les loups rôdent, chacun·e devra se faire sa place…
Pedro Cabeleira tisse son scénario à la manière d’une toile, dont l’on découvre seulement peu à peu les réels tenants. Redéfinissant les codes du film de brigands à sa façon, il en profite pour donner la part belle à un
personnage féminin loin des clichés, complexe et insaisissable.
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
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Petite salle
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
À Téhéran, un couple cherche de l’aide dans un café, alors qu’il vient de percuter un chien avec son véhicule. Lorsque la porte s’ouvre, le mari croit reconnaître les traits de son ancien tortionnaire…
Jafar Panahi nous entraîne sur les routes d’un thriller haletant, aussi cocasse que glaçant. Le cinéaste pose un questionnement sur les limites de notre humanité, qu’il en soit de l’aveuglement conduit par notre haine, au sort que nous réservons à nos propres bourreaux.
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Petite salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Grande salle
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
- Vendredi 24 à 18h
- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
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Grande salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
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Grande salle
Ils n'ont pas le même âge, ni les mêmes origines. George, Joumana et Perla-Joe n'ont qu'une chose en commun : ils ont grandi au Liban ; et chacun.e en emporte un souvenir bien personnel. Avec pudeur et curiosité, Myriam El Hajj tourne sa caméra vers leurs témoignages, pour livrer un récit sensible, une histoire intime de son pays.
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Petite salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Petite salle
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
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Grande salle
Ils n'ont pas le même âge, ni les mêmes origines. George, Joumana et Perla-Joe n'ont qu'une chose en commun : ils ont grandi au Liban ; et chacun.e en emporte un souvenir bien personnel. Avec pudeur et curiosité, Myriam El Hajj tourne sa caméra vers leurs témoignages, pour livrer un récit sensible, une histoire intime de son pays.
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Petite salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
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- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
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Gondo, homme d'affaire intraitable, reçoit un inquiétant coup de téléphone : son fils, Jun, a été enlevé, et on lui réclame une rançon.
Du Kurosawa très noir, adapté d'une nouvelle d'Ed McBain. À travers ce récit à suspense, qui devient aussi un dilemme moral, le réalisateur scrute la société japonaise d'après-guerre, le monde violent de l'entreprise et
des rapports de classe. Glaçant et magistral.
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Petite salle
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Grande salle
« New York Herald Tribune ! » Encore une fois, le cri de Patricia va retentir le long des Champs-Elysées, nous ramenant dans le Paris des années 1960.
Richard Linklater raconte, avec une bonne dose d’humour, le tournage de "À bout de souffle", manifeste de liberté signé Jean-Luc Godard ! S’amusant avec nos attentes, le réalisateur sort de la mythologie pour raconter la débrouille et les embrouilles, le travail collectif et les coups de sang. Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur ce chef-d'œuvre pour mieux y replonger !
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Petite salle
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
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- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
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Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Entroncamento, c’est la ville où Laura rejoint son cousin, après s’être sortie de sales affaires dont on ne connaîtra jamais tout à fait la vérité.
Dans cette ville de banlieue portugaise où les loups rôdent, chacun·e devra se faire sa place…
Pedro Cabeleira tisse son scénario à la manière d’une toile, dont l’on découvre seulement peu à peu les réels tenants. Redéfinissant les codes du film de brigands à sa façon, il en profite pour donner la part belle à un
personnage féminin loin des clichés, complexe et insaisissable.
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
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La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
- Vendredi 24 à 18h
- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
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Petite salle
« New York Herald Tribune ! » Encore une fois, le cri de Patricia va retentir le long des Champs-Elysées, nous ramenant dans le Paris des années 1960.
Richard Linklater raconte, avec une bonne dose d’humour, le tournage de "À bout de souffle", manifeste de liberté signé Jean-Luc Godard ! S’amusant avec nos attentes, le réalisateur sort de la mythologie pour raconter la débrouille et les embrouilles, le travail collectif et les coups de sang. Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur ce chef-d'œuvre pour mieux y replonger !
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Petite salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Grande salle
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
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Petite salle
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
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Grande salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
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Grande salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Petite salle
« New York Herald Tribune ! » Encore une fois, le cri de Patricia va retentir le long des Champs-Elysées, nous ramenant dans le Paris des années 1960.
Richard Linklater raconte, avec une bonne dose d’humour, le tournage de "À bout de souffle", manifeste de liberté signé Jean-Luc Godard ! S’amusant avec nos attentes, le réalisateur sort de la mythologie pour raconter la débrouille et les embrouilles, le travail collectif et les coups de sang. Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur ce chef-d'œuvre pour mieux y replonger !
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Grande salle
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Ils n'ont pas le même âge, ni les mêmes origines. George, Joumana et Perla-Joe n'ont qu'une chose en commun : ils ont grandi au Liban ; et chacun.e en emporte un souvenir bien personnel. Avec pudeur et curiosité, Myriam El Hajj tourne sa caméra vers leurs témoignages, pour livrer un récit sensible, une histoire intime de son pays.
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Grande salle
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
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- Vendredi 24 à 18h
- Dimanche 26 à 21h
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À Téhéran, un couple cherche de l’aide dans un café, alors qu’il vient de percuter un chien avec son véhicule. Lorsque la porte s’ouvre, le mari croit reconnaître les traits de son ancien tortionnaire…
Jafar Panahi nous entraîne sur les routes d’un thriller haletant, aussi cocasse que glaçant. Le cinéaste pose un questionnement sur les limites de notre humanité, qu’il en soit de l’aveuglement conduit par notre haine, au sort que nous réservons à nos propres bourreaux.
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Petite salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Grande salle
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Matthias, concertiste jadis prometteur, retourne à Lyon pour accompagner son mentor, Elena, pianiste ; là-bas, il y a aussi une femme, follement aimée, qu’il tremble de revoir.
Arnaud Desplechin ose le romantisme, la puissance des sentiments et leur fatalité, qu’il convoque dans cet hommage à "La Femme d’à côté", de François Truffaut. Mais cette violence est contrebalancée par un solide sens de l’humour, des répliques qui décalent les situations et chassent le tragique, dans un récit d’apprentissage féroce et lumineux.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Toutes les séances du 8 au 14 octobre, ainsi que les séances du vendredi 24 à 20h45 et du mardi 28 à 20h45 sont précédées du court métrage L'HEURE BLEUE (Antoine Bonnet, Mathilde Loubes, 5'22)
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Petite salle
Ils n'ont pas le même âge, ni les mêmes origines. George, Joumana et Perla-Joe n'ont qu'une chose en commun : ils ont grandi au Liban ; et chacun.e en emporte un souvenir bien personnel. Avec pudeur et curiosité, Myriam El Hajj tourne sa caméra vers leurs témoignages, pour livrer un récit sensible, une histoire intime de son pays.
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Grande salle
À Téhéran, un couple cherche de l’aide dans un café, alors qu’il vient de percuter un chien avec son véhicule. Lorsque la porte s’ouvre, le mari croit reconnaître les traits de son ancien tortionnaire…
Jafar Panahi nous entraîne sur les routes d’un thriller haletant, aussi cocasse que glaçant. Le cinéaste pose un questionnement sur les limites de notre humanité, qu’il en soit de l’aveuglement conduit par notre haine, au sort que nous réservons à nos propres bourreaux.
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Petite salle
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
- Vendredi 24 à 18h
- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
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Grande salle
« New York Herald Tribune ! » Encore une fois, le cri de Patricia va retentir le long des Champs-Elysées, nous ramenant dans le Paris des années 1960.
Richard Linklater raconte, avec une bonne dose d’humour, le tournage de "À bout de souffle", manifeste de liberté signé Jean-Luc Godard ! S’amusant avec nos attentes, le réalisateur sort de la mythologie pour raconter la débrouille et les embrouilles, le travail collectif et les coups de sang. Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur ce chef-d'œuvre pour mieux y replonger !
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Petite salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Grande salle
« New York Herald Tribune ! » Encore une fois, le cri de Patricia va retentir le long des Champs-Elysées, nous ramenant dans le Paris des années 1960.
Richard Linklater raconte, avec une bonne dose d’humour, le tournage de "À bout de souffle", manifeste de liberté signé Jean-Luc Godard ! S’amusant avec nos attentes, le réalisateur sort de la mythologie pour raconter la débrouille et les embrouilles, le travail collectif et les coups de sang. Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur ce chef-d'œuvre pour mieux y replonger !
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Petite salle
La mère de Lucie, archéologue, lui propose de l’accompagner explorer un chantier de fouilles dans le village de son enfance !
Antoine Lanciaux aura mis dix ans pour réaliser ce film, superbement raconté en papier découpé. Le tournage a nécessité l'occupation de neuf plateaux pendant treize mois. Deux mille pantins, créés à différentes
échelles, colorés selon qu'ils apparaissaient de jour ou de nuit, ont permis d'incarner Lucie et ses ami·es. Un travail de titan d'une minutie folle : chaque animateur·rice tournait six secondes et demi de film par jour !
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Dan et Mika, compères de toujours, vivent en Haute-Marne, dans la « Diagonale du vide ». À la suite d’une énième incartade, la justice s’en mêle et leur donne six mois pour se reprendre en mains. Un défi qui
mettra leur amitié à rude épreuve.
Après "Petit Paysan, Hubert Charuel réinvestit les territoires français des laissé·es-pour-compte", mais change sa perspective : ce n’est pas l’isolement que le cinéaste filme ici, mais plutôt le lien infaillible d’une relation d’amitié, aussi vitale que nocive pour les concernés.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage FAREWELL (Leon Vidmar, 6') :
- Jeudi 16 à 20h30
- Lundi 20 à 20h45
- Mardi 21 à 20h15
- Jeudi 23 à 20h30
- Vendredi 24 à 18h
- Dimanche 26 à 21h
- Mardi 28 à 18h30
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Grande salle
Gondo, homme d'affaire intraitable, reçoit un inquiétant coup de téléphone : son fils, Jun, a été enlevé, et on lui réclame une rançon.
Du Kurosawa très noir, adapté d'une nouvelle d'Ed McBain. À travers ce récit à suspense, qui devient aussi un dilemme moral, le réalisateur scrute la société japonaise d'après-guerre, le monde violent de l'entreprise et
des rapports de classe. Glaçant et magistral.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 29 au mardi 04 (semaine 202544)
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
Qui est donc cette Eve mystérieuse ? Tout autour d’elle, des personnages évoquent l’actrice de talent, la jeune arriviste, la manipulatrice séductrice, l’oie blanche... Mais saurez-vous vraiment tout sur Eve ?
Immense classique de l’âge d’or hollywoodien, Eve est un fascinant jeu de miroirs. Maître des récits enchâssés et styliste d’une grande élégance, Mankiewicz nous fait pénétrer dans les coulisses du monde du théâtre,
où tout est jeu, sur scène comme dans la vie privée.
Une sorcière bien affairée avec sa potion commet une erreur… et réveille par accident un terrible dragon. Il lui faudra toute son inventivité, ses pouvoirs magiques et l’aide de son fidèle chat pour se tirer des griffes de la redoutable bête !
Chloé, la vingtaine, ne s’entend pas avec sa famille. Ou plutôt : sa famille ne comprend décidément pas son besoin impétueux de liberté, qui la fait toujours tout envoyer en l’air. Alors, Chloé quitte le foyer pour rejoindre un groupe de marginaux qui vogue à bord de son van, sans autre but que de vivre.
Vasilis Kekatos signe ici un road movie à la grecque, et livre une ode à la marginalité et à la vie comme terrain de tous les possibles !
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
La rencontre entre Kat, une fillette qui vient de perdre sa mère, et Casper, un adorable fantôme prêt à tout pour l’épauler.
Un film culte qui a marqué toute une génération d’enfants et d’adultes !
Un photographe de fantômes et un exorciste un brin fantaisiste se retrouvent dans une maison soit-disant hantée.
Manifestations extraordinaires ? Objets qui se déplacent d'euxmêmes ? Slime un peu partout ? Appelez les Ghostbusters !
Interdit aux -12 ans
Une nuit, à 2h17, presque tou·tes les enfants d’une des classes d'une petite ville se sont levé·es et ont disparu. Les habitant·es traumatisé·es tentent de lever le voile sur ce mystère.
Interdit aux -12 ans
Pour survivre dans ce royaume, Elvira n'a qu'un choix : devenir la plus belle, quel qu'en soit le prix. Ou le sacrifice. Une reprise scandinave du mythe de Cendrillon, à faire pâlir "The Substance" !
On vous concocte un programme effrayant, sanglant, atrocement et délicieusement flippant !
AU PROGRAMME
A kind of testament, Stephen Vuillemin
Chew, Félix Dobaire
Dieu est timide, Jocelyn Charles
Dani et Christian sont sur le point de se séparer quand la famille de Dani est touchée par une tragédie. Attristé par le deuil de la jeune femme, Christian ne peut se résoudre à la laisser seule et l’emmène avec lui et ses amis à un festival estival qui n’a lieu que tous les 90 ans et se déroule dans un village suédois isolé. Mais ce qui commence comme des vacances insouciantes dans un pays où le soleil ne se couche pas va vite prendre une tournure beaucoup plus sinistre et inquiétante.
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
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Petite salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Grande salle
Qui est donc cette Eve mystérieuse ? Tout autour d’elle, des personnages évoquent l’actrice de talent, la jeune arriviste, la manipulatrice séductrice, l’oie blanche... Mais saurez-vous vraiment tout sur Eve ?
Immense classique de l’âge d’or hollywoodien, Eve est un fascinant jeu de miroirs. Maître des récits enchâssés et styliste d’une grande élégance, Mankiewicz nous fait pénétrer dans les coulisses du monde du théâtre,
où tout est jeu, sur scène comme dans la vie privée.
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Petite salle
Une sorcière bien affairée avec sa potion commet une erreur… et réveille par accident un terrible dragon. Il lui faudra toute son inventivité, ses pouvoirs magiques et l’aide de son fidèle chat pour se tirer des griffes de la redoutable bête !
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Grande salle
Chloé, la vingtaine, ne s’entend pas avec sa famille. Ou plutôt : sa famille ne comprend décidément pas son besoin impétueux de liberté, qui la fait toujours tout envoyer en l’air. Alors, Chloé quitte le foyer pour rejoindre un groupe de marginaux qui vogue à bord de son van, sans autre but que de vivre.
Vasilis Kekatos signe ici un road movie à la grecque, et livre une ode à la marginalité et à la vie comme terrain de tous les possibles !
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Grande salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Chloé, la vingtaine, ne s’entend pas avec sa famille. Ou plutôt : sa famille ne comprend décidément pas son besoin impétueux de liberté, qui la fait toujours tout envoyer en l’air. Alors, Chloé quitte le foyer pour rejoindre un groupe de marginaux qui vogue à bord de son van, sans autre but que de vivre.
Vasilis Kekatos signe ici un road movie à la grecque, et livre une ode à la marginalité et à la vie comme terrain de tous les possibles !
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Petite salle
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Grande salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Grande salle
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
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Petite salle
Une sorcière bien affairée avec sa potion commet une erreur… et réveille par accident un terrible dragon. Il lui faudra toute son inventivité, ses pouvoirs magiques et l’aide de son fidèle chat pour se tirer des griffes de la redoutable bête !
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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La rencontre entre Kat, une fillette qui vient de perdre sa mère, et Casper, un adorable fantôme prêt à tout pour l’épauler.
Un film culte qui a marqué toute une génération d’enfants et d’adultes !
Un photographe de fantômes et un exorciste un brin fantaisiste se retrouvent dans une maison soit-disant hantée.
Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Petite salle
Manifestations extraordinaires ? Objets qui se déplacent d'euxmêmes ? Slime un peu partout ? Appelez les Ghostbusters !
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Interdit aux -12 ans
Une nuit, à 2h17, presque tou·tes les enfants d’une des classes d'une petite ville se sont levé·es et ont disparu. Les habitant·es traumatisé·es tentent de lever le voile sur ce mystère.
Interdit aux -12 ans
Pour survivre dans ce royaume, Elvira n'a qu'un choix : devenir la plus belle, quel qu'en soit le prix. Ou le sacrifice. Une reprise scandinave du mythe de Cendrillon, à faire pâlir "The Substance" !
On vous concocte un programme effrayant, sanglant, atrocement et délicieusement flippant !
AU PROGRAMME
A kind of testament, Stephen Vuillemin
Chew, Félix Dobaire
Dieu est timide, Jocelyn Charles
Dani et Christian sont sur le point de se séparer quand la famille de Dani est touchée par une tragédie. Attristé par le deuil de la jeune femme, Christian ne peut se résoudre à la laisser seule et l’emmène avec lui et ses amis à un festival estival qui n’a lieu que tous les 90 ans et se déroule dans un village suédois isolé. Mais ce qui commence comme des vacances insouciantes dans un pays où le soleil ne se couche pas va vite prendre une tournure beaucoup plus sinistre et inquiétante.
Chloé, la vingtaine, ne s’entend pas avec sa famille. Ou plutôt : sa famille ne comprend décidément pas son besoin impétueux de liberté, qui la fait toujours tout envoyer en l’air. Alors, Chloé quitte le foyer pour rejoindre un groupe de marginaux qui vogue à bord de son van, sans autre but que de vivre.
Vasilis Kekatos signe ici un road movie à la grecque, et livre une ode à la marginalité et à la vie comme terrain de tous les possibles !
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Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Manifestations extraordinaires ? Objets qui se déplacent d'euxmêmes ? Slime un peu partout ? Appelez les Ghostbusters !
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Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Qui est donc cette Eve mystérieuse ? Tout autour d’elle, des personnages évoquent l’actrice de talent, la jeune arriviste, la manipulatrice séductrice, l’oie blanche... Mais saurez-vous vraiment tout sur Eve ?
Immense classique de l’âge d’or hollywoodien, Eve est un fascinant jeu de miroirs. Maître des récits enchâssés et styliste d’une grande élégance, Mankiewicz nous fait pénétrer dans les coulisses du monde du théâtre,
où tout est jeu, sur scène comme dans la vie privée.
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Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Après le décès de ses parents, Violette doit désormais vivre avec Régis, son oncle taciturne qui travaille comme agent d’entretien au château de Versailles.
On retrouve cet adorable duo comique qui aborde la question du deuil avec humour et tendresse !
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Petite salle
Manifestations extraordinaires ? Objets qui se déplacent d'euxmêmes ? Slime un peu partout ? Appelez les Ghostbusters !
vo
Grande salle
Qui est donc cette Eve mystérieuse ? Tout autour d’elle, des personnages évoquent l’actrice de talent, la jeune arriviste, la manipulatrice séductrice, l’oie blanche... Mais saurez-vous vraiment tout sur Eve ?
Immense classique de l’âge d’or hollywoodien, Eve est un fascinant jeu de miroirs. Maître des récits enchâssés et styliste d’une grande élégance, Mankiewicz nous fait pénétrer dans les coulisses du monde du théâtre,
où tout est jeu, sur scène comme dans la vie privée.
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Petite salle
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
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Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Chloé, la vingtaine, ne s’entend pas avec sa famille. Ou plutôt : sa famille ne comprend décidément pas son besoin impétueux de liberté, qui la fait toujours tout envoyer en l’air. Alors, Chloé quitte le foyer pour rejoindre un groupe de marginaux qui vogue à bord de son van, sans autre but que de vivre.
Vasilis Kekatos signe ici un road movie à la grecque, et livre une ode à la marginalité et à la vie comme terrain de tous les possibles !
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Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Chloé, la vingtaine, ne s’entend pas avec sa famille. Ou plutôt : sa famille ne comprend décidément pas son besoin impétueux de liberté, qui la fait toujours tout envoyer en l’air. Alors, Chloé quitte le foyer pour rejoindre un groupe de marginaux qui vogue à bord de son van, sans autre but que de vivre.
Vasilis Kekatos signe ici un road movie à la grecque, et livre une ode à la marginalité et à la vie comme terrain de tous les possibles !
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Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
vo
Petite salle
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
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Grande salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Grande salle
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
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Petite salle
Après la guerre, le docteur Mengele, l’« Ange de la mort » d'Auschwitz, a fui en Amérique latine. Quel sera le sort de ce criminel de guerre dans un monde où il est traqué ?
On retrouve l’univers et les obsessions de Serebrennikov dans cette adaptation du roman d’Olivier Guez : la question de la culpabilité et du châtiment, un monde mortifère et labyrinthique, servi par une mise en scène audacieuse, qui joue du contraste entre noir et blanc et couleur pour évoquer l’impensable, les camps de la mort.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 05 au mardi 11 (semaine 202545)
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
Pagnol a du pain sur la planche : on vient de lui commander un feuilleton littéraire sur son enfance en Provence. Alors, forcément, ses souvenirs l’entraînent...
Après le cinéma de Tati, c’est à celui de Pagnol que Sylvain Chomet rend hommage, en rappelant le rôle fondateur de cet auteur longtemps sous-estimé, doutant de lui-même et de son œuvre, et pourtant innovateur du cinéma parlant en France. Ça tombe bien, le Luxy programmera deux de ses films !
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
Abraham Ségal tisse un fil rouge entre les existences : des existences faites de souffrance, d’exil, de questionnement… Mais aussi des pulsions de vie faites de créativité et résolument tournées vers la solidarité. On
croise dans ce film un rescapé des attentats du Bataclan, des pensionnaires d’un l’entrepôt multi-associatif d’aide aux migrant·es, ou encore l’artiste Ernest Pignon Ernest, qui, à travers le récit de sa pratique, nous parle de son engagement et de l'art comme moyen de transcender les injustices de nos vies.
Une sorcière bien affairée avec sa potion commet une erreur… et réveille par accident un terrible dragon. Il lui faudra toute son inventivité, ses pouvoirs magiques et l’aide de son fidèle chat pour se tirer des griffes de la redoutable bête !
Merlusse, c’est un enseignant détesté de ses élèves qui craignent autant sa sévérité que son visage balafré. Et ce Noël, quelques lycéens délaissés seront contraints de rester à l’internat sous sa surveillance tant redoutée...
Moins connu que la trilogie marseillaise, "Merlusse" est un film à redécouvrir, et qui inspira "Winter Break" d’Alexander Payne. Pagnol revient dans le lycée de son enfance, qu’il filme dans toute sa décrépitude, s’autorisant toutes formes d’innovations visuelles, mais aussi sonores.
Les trois filles de M. Narai sont toutes différentes les unes des autres. L’aînée est veuve, la cadette se moque du mariage tandis que la benjamine rêve de la Capitale. Cette dernière va d’ailleurs se mettre en tête de s’occuper des affaires amoureuses de ses soeurs.
Kinuyo Tanaka propose une comédie enjouée et pleine de vie. En adaptant un scénario inédit de Yasujiro Ozu, auquel elle emprunte l’acteur fétiche, Chishû Ryû, la cinéaste se place du côté de la vive jeune fille par qui les bouleversements arrivent, et refuse la moindre résignation : aux jeux de l’amour, rira bien qui rira la dernière.
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
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Petite salle
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Pagnol a du pain sur la planche : on vient de lui commander un feuilleton littéraire sur son enfance en Provence. Alors, forcément, ses souvenirs l’entraînent...
Après le cinéma de Tati, c’est à celui de Pagnol que Sylvain Chomet rend hommage, en rappelant le rôle fondateur de cet auteur longtemps sous-estimé, doutant de lui-même et de son œuvre, et pourtant innovateur du cinéma parlant en France. Ça tombe bien, le Luxy programmera deux de ses films !
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Grande salle
Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Grande salle
Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Petite salle
Pagnol a du pain sur la planche : on vient de lui commander un feuilleton littéraire sur son enfance en Provence. Alors, forcément, ses souvenirs l’entraînent...
Après le cinéma de Tati, c’est à celui de Pagnol que Sylvain Chomet rend hommage, en rappelant le rôle fondateur de cet auteur longtemps sous-estimé, doutant de lui-même et de son œuvre, et pourtant innovateur du cinéma parlant en France. Ça tombe bien, le Luxy programmera deux de ses films !
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Grande salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
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- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
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Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Avis aux amateur·rices de film hors-normes !
Le nouveau film de Radu Jude est une expérience de cinéma absolument déconcertante, plutôt irrésumable et franchement décalée !
Un cinéaste décide de s’en remettre à l’IA pour créer un film sur Dracula. Le résultat ? Des scènes de comédies, des séquences générées par l’ordinateur (et souvent de mauvais goût), voire des moments à la limite
de la pornographie. Radu Jude pousse à ses limites une IA capable du pire.
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Petite salle
Abraham Ségal tisse un fil rouge entre les existences : des existences faites de souffrance, d’exil, de questionnement… Mais aussi des pulsions de vie faites de créativité et résolument tournées vers la solidarité. On
croise dans ce film un rescapé des attentats du Bataclan, des pensionnaires d’un l’entrepôt multi-associatif d’aide aux migrant·es, ou encore l’artiste Ernest Pignon Ernest, qui, à travers le récit de sa pratique, nous parle de son engagement et de l'art comme moyen de transcender les injustices de nos vies.
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Pagnol a du pain sur la planche : on vient de lui commander un feuilleton littéraire sur son enfance en Provence. Alors, forcément, ses souvenirs l’entraînent...
Après le cinéma de Tati, c’est à celui de Pagnol que Sylvain Chomet rend hommage, en rappelant le rôle fondateur de cet auteur longtemps sous-estimé, doutant de lui-même et de son œuvre, et pourtant innovateur du cinéma parlant en France. Ça tombe bien, le Luxy programmera deux de ses films !
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Une sorcière bien affairée avec sa potion commet une erreur… et réveille par accident un terrible dragon. Il lui faudra toute son inventivité, ses pouvoirs magiques et l’aide de son fidèle chat pour se tirer des griffes de la redoutable bête !
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Grande salle
Merlusse, c’est un enseignant détesté de ses élèves qui craignent autant sa sévérité que son visage balafré. Et ce Noël, quelques lycéens délaissés seront contraints de rester à l’internat sous sa surveillance tant redoutée...
Moins connu que la trilogie marseillaise, "Merlusse" est un film à redécouvrir, et qui inspira "Winter Break" d’Alexander Payne. Pagnol revient dans le lycée de son enfance, qu’il filme dans toute sa décrépitude, s’autorisant toutes formes d’innovations visuelles, mais aussi sonores.
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Petite salle
Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Petite salle
Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Les trois filles de M. Narai sont toutes différentes les unes des autres. L’aînée est veuve, la cadette se moque du mariage tandis que la benjamine rêve de la Capitale. Cette dernière va d’ailleurs se mettre en tête de s’occuper des affaires amoureuses de ses soeurs.
Kinuyo Tanaka propose une comédie enjouée et pleine de vie. En adaptant un scénario inédit de Yasujiro Ozu, auquel elle emprunte l’acteur fétiche, Chishû Ryû, la cinéaste se place du côté de la vive jeune fille par qui les bouleversements arrivent, et refuse la moindre résignation : aux jeux de l’amour, rira bien qui rira la dernière.
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Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Grande salle
Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Petite salle
Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Pagnol a du pain sur la planche : on vient de lui commander un feuilleton littéraire sur son enfance en Provence. Alors, forcément, ses souvenirs l’entraînent...
Après le cinéma de Tati, c’est à celui de Pagnol que Sylvain Chomet rend hommage, en rappelant le rôle fondateur de cet auteur longtemps sous-estimé, doutant de lui-même et de son œuvre, et pourtant innovateur du cinéma parlant en France. Ça tombe bien, le Luxy programmera deux de ses films !
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Grande salle
Ils et elles étaient policier, enseignante, facteur ou encore juge... Des métiers que ces personnes aimaient, et dont elles ont pourtant démissionné, épuisé·es, désabusé·es, en colère.
Le réalisateur les réunit dans l’espace clos d’un vieil hôpital et leur offre un endroit où s’exprimer, raconter des expériences individuelles qui se recoupent et offrent un portrait saisissant de la fonction publique et de ses difficultés dans la France contemporaine.
Les séances suivantes sont précédées du court métrage RESSOURCES HUMAINES (Trinidad Plass Caussade, Titouan Tillier, Isaac Wenzek, 3'30) :
- Mercredi 29 à 14h
- Dimanche 2 à 19h
- Lundi 3 à 20h
- Mardi 4 à 18h
- Mercredi 5 à 14h
- Mardi 11 à 15h30
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Petite salle
Abraham Ségal tisse un fil rouge entre les existences : des existences faites de souffrance, d’exil, de questionnement… Mais aussi des pulsions de vie faites de créativité et résolument tournées vers la solidarité. On
croise dans ce film un rescapé des attentats du Bataclan, des pensionnaires d’un l’entrepôt multi-associatif d’aide aux migrant·es, ou encore l’artiste Ernest Pignon Ernest, qui, à travers le récit de sa pratique, nous parle de son engagement et de l'art comme moyen de transcender les injustices de nos vies.
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Plongez dans l’univers de la petite Amélie, une enfant belge qui grandit au Japon.
Adaptée du roman d’Amélie Nothomb, voilà une délicieuse surprise colorée, qui garde de l’œuvre originelle le sens de l’humour et l’importance de la perception de l’enfant sur le monde fascinant qui l’entoure.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrage pour personnes sourdes et malentendantes.
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Petite salle
Karine et Jimmy peinent à joindre les deux bouts, entre l’usine et une entreprise fragile. Quand éclate le mouvement des Gilets jaunes, il et elle entrevoient un espoir.
De politique, il est souvent question dans le cinéma de Thomas Kruithof, à qui l’on devait notamment "Les Promesses". Sortant cette fois de la sphère du pouvoir, il se plonge dans le quotidien, décrit sans misérabilisme, des classes défavorisées, tout en osant une histoire d’amour déchirante.
Ce film est disponible en version audiodécrite et sous-titrée pour les personnes sourdes et malentendantes.
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Grande salle
Ce sera le symbole de la modernité : l’Arche de la Défense. Son inventeur, danois, est mandaté par Mitterrand pour mener à bien ce chantier titanesque et urgent.
On retrouve la mise en scène presque documentaire, de Stéphane Demoustier dans cette course contre la montre où la fidélité à l'idéal artistique est malmenée.
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Petite salle
Thierry Klifa ne laisse que peu de doutes quant à la réelle affaire qu’il met ici à l’écran, où Isabelle Huppert incarne une Liliane Bettencourt réinventée. Son ton est, lui, plus ambigu : baroque, opulent, la fascination qui entoure le décorum de l'héritière nous déroute d'abord, avant de nous entraîner dans un thriller jubilatoire, porté par un duo Lafitte / Huppert au sommet !
Les séances suivantes sont précédées du court métrage DENISE D'AUBERVILLIERS (Audrey Espinasse, Sami Lorentz, 7') :
- Mercredi 29 à 20h30
- Jeudi 30 à 17h30
- Vendredi 31 à 14h
- Samedi 1er à 20h30
- Mardi 4 à 17h45
- Jeudi 6 à 20h30
- Mardi 11 à 20h30
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Merlusse, c’est un enseignant détesté de ses élèves qui craignent autant sa sévérité que son visage balafré. Et ce Noël, quelques lycéens délaissés seront contraints de rester à l’internat sous sa surveillance tant redoutée...
Moins connu que la trilogie marseillaise, "Merlusse" est un film à redécouvrir, et qui inspira "Winter Break" d’Alexander Payne. Pagnol revient dans le lycée de son enfance, qu’il filme dans toute sa décrépitude, s’autorisant toutes formes d’innovations visuelles, mais aussi sonores.
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Petite salle
Tous les films du mercredi 19 au mardi 25 (semaine 202547)
George Fahmy, l’acteur le plus adulé d’Égypte, accepte sous la contrainte de jouer dans un film commandé par les plus hautes autorités du pays. Il se retrouve plongé dans le cercle étroit du pouvoir. Comme un papillon de nuit attiré par la lumière, il entame une liaison avec la mystérieuse épouse du général qui supervise le film.
Le dossier 137 est en apparence une affaire de plus pour Stéphanie, enquêtrice à l’IGPN, la police des polices. Une manifestation tendue, un jeune homme blessé par un tir de LBD, des circonstances à éclaircir pour établir une responsabilité. Mais un élément inattendu va troubler Stéphanie, pour qui le dossier 137 devient autre chose qu’un simple numéro.
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
George Fahmy, l’acteur le plus adulé d’Égypte, accepte sous la contrainte de jouer dans un film commandé par les plus hautes autorités du pays. Il se retrouve plongé dans le cercle étroit du pouvoir. Comme un papillon de nuit attiré par la lumière, il entame une liaison avec la mystérieuse épouse du général qui supervise le film.
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Le cinéma Le Luxy ne propose pas de séance au public ce jour
Le dossier 137 est en apparence une affaire de plus pour Stéphanie, enquêtrice à l’IGPN, la police des polices. Une manifestation tendue, un jeune homme blessé par un tir de LBD, des circonstances à éclaircir pour établir une responsabilité. Mais un élément inattendu va troubler Stéphanie, pour qui le dossier 137 devient autre chose qu’un simple numéro.
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